ha la la la betise de certains n'a vraiment pas de limite....au final ils y gagnent quoi franchement!
Bonjour,
TchoooUne centaine de jeunes armés jusqu'aux dents se sont bagarrés dans le quartier de Pigalle. Neuf sont en garde à vue. Il s'agirait d'une guerre entre bandes rivales venues de banlieue.
DES AFFRONTEMENTS spectaculaires ont opposé près d'une centaine de jeunes armés, pour certains, de hachoirs, de couteaux et de bombes lacrymogènes en plein Paris, dans la nuit de lundi à mardi. Ce énième épisode d'une mystérieuse « guerre des bandes » qui, selon un magistrat, enflamme depuis plusieurs semaines le nord de la capitale, s'est joué dans le quartier de Pigalle (IXe arrondissement).
Jusqu'au petit matin, de petits groupes très mobiles se sont violemment affrontés. Des scènes ahurissantes dans un des hauts lieux touristiques de la capitale, même si la police n'a pas eu à prendre en charge de blessés graves. Elle a procédé à une trentaine d'interpellations et neuf fauteurs de troubles ont été placés en garde à vue.
« Une nuée de criquets »
Selon les premiers éléments de l'enquête, il semble que cette rixe soit la réplique d'un incident survenu il y a environ trois semaines dans une discothèque branchée du quartier. Depuis lors, les affrontements se sont multipliés entre deux bandes rivales formées de jeunes originaires des Hauts-de-Seine, de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne.
Dimanche soir, déjà, deux hommes avaient reçu des coups de couteau dans les sous-sols de la Gare du Nord. Cinq personnes avaient été interpellées, dont quatre devaient être déférées hier soir alors que le parquet de Paris s'apprêtait à ouvrir une information judiciaire pour « tentative d'assassinat ».
Sur le lieu de ces échauffourées, boulevard de Clichy, le verre éclaté éparpillé sur les trottoirs restait hier la seule trace visible du violent spectacle de la veille. Selon des témoins, les affrontements les plus durs se sont joués en une quinzaine de minutes autour de la place Pigalle, peu après minuit et demi. « On a vu sortir des bandes de la bouche de métro et à peine dehors, deux coups de feu ont été tirés et la bataille rangée a commencé », raconte François, qui était aux premières loges.
Les scènes d'émeute se sont ensuite déplacées sur le boulevard de Clichy pour atterrir sur la place Blanche, à proximité du Moulin-Rouge. Plusieurs commerces encore ouverts à cette heure-là ont tout bonnement décidé de fermer boutique. « On s'est dépêché de baisser les rideaux et de s'enfermer à l'intérieur. On ne voulait pas prendre le risque d'être des cibles potentielles. Je vous assure qu'on ne se serait pas aventurés à traverser le terre-plein », se souvient Cédric, rabatteur dans un sex-shop.
Mickaël, lui, a vécu les bagarres depuis sa fenêtre. « Ça criait de tous les côtés, ça courait de partout. C'était la panique. Il y avait des gars qui disaient : « chope-le », « attrape-le ». J'en ai carrément vu plusieurs qui se sont servis d'une bouteille pour frapper à trois reprises un mec qui était à terre. On avait l'impression qu'une nuée de criquets s'abattait sur un champ de blé », raconte le garçon d'une vingtaine d'années habitant le quartier. « Quand je suis rentrée chez moi, j'ai vu un jeune homme allongé par terre, il y avait beaucoup de sang autour de lui, la rue était coupée, j'entendais des sirènes de partout. C'était le Bronx », précise Céline, encore bouleversée.
Agissant désormais sous l'autorité d'un juge d'instruction, les enquêteurs de la police urbaine de proximité, qui se sont heurtés hier au mutisme des gardés à vue, vont devoir établir l'origine exacte de ces incidents à répétition et déterminer la façon dont les bandes rivales ont organisé leurs rendez-vous guerriers.
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
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"Le verbe, même laché avec le maximum de précaution, ne sait jamais le sort qui l'attend"... L'os de la parole, Adame Ba Konaré
Dernière modification par papisko12 01/09/2007 à 16h44
Dieu fait les parents,le choix fait les amis. Quand mes amis sont borgnes,je les regarde de profil
ce n'est pas la peine de cherche a savoir s'ils y'avaient des blacks ou pas!
dés quand dit boite de nuit,il y a black qui va avec(sefyu remixé).
les magrebins était present mais ont close leur bizz.
ces voyoux au lieu de reflechir pensent que a ce divertir et au finish figting,shooting.
Dernière modification par hamady 29/08/2007 à 18h07
Suite ...
Qui vivra verra ...Des bagarres entre deux bandes rivales - qui n'ont pas fait de blessé - ont eu lieu près de la gare du Nord à Paris dimanche après-midi, pour la troisième fois en une semaine. Quinze personnes ont été placées en garde à vue, selon la Préfecture de police (PP).
Lundi matin, le ministre François Fillon s'est rendu à la gare du Nord et a promis plus de moyens et de sévérité pour faire face à la multiplication des violences entre jeunes dans cette gare parisienne. «On va être extrêmement sévères» et «mettre des moyens supplémentaires», a-t-il déclaré lors d'une très courte visite devant les caméras.
Un déplacement pas au goût de tous les badauds. Loukman*, jeune du quartier Stalingrad et qui passe ses journées devant la gare, s'énerve. «Il vient faire son cinéma. Le déploiement du Premier ministre, des officiels et de la Brigade Anti-Criminalité (BAC), c'est bien beau mais ça ne réglera pas nos problèmes. Il peut même revenir dans dix ans, la situation sera toujours la même. Les émeutes, c'est le fruit de la précarité, c'est tout», explique-t-il. Ses copains acquiessent.
La gare du Nord, nouveau point de fixation des bandes
La gare du Nord est, selon des sources policières, un «point de fixation» de ces bandes qui viennent notamment du Val d'Oise ou de la Seine-Saint-Denis et y transitent.
Mais la «sécurisation des lieux s'avère difficile» tant en raison «de la configuration des lieux» que du passage quotidien de quelque 600.000 voyageurs.
Frédéric Lagache d'Alliance (second syndicat de gardiens de la paix) a dénoncé la semaine dernière le «manque d'anticipation» policière dans ce domaine et plaidé lundi dans ce même sens.
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.