"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
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New york Post...
Dominique Strauss-Kahn may have more to worry about than a possible prison sentence.
The IMF chief's alleged sex-assault victim lives in a Bronx apartment rented exclusively for adults with HIV or AIDS, The Post has learned.
The hotel maid, a West African immigrant, has occupied the fourth-floor High Bridge pad with her 15-year-old daughter since January -- and before that, lived in another Bronx apartment set aside by Harlem Community AIDS United strictly for adults with the virus and their families.
The Post has not been able to ascertain whether the maid, 32, has HIV/AIDS because of medical confidentiality laws.
AP
PRESSURE: IMF chief Dominique Strauss-Kahn, here with wife Anne Sinclair, is sitting in a Rikers Island cell under suicide watch after being charged with the attempted rape of a hotel maid.
But the agency rents apartments only for adults with the disease. A Harlem United worker said at least one adult in the household has to be HIV-positive or have AIDS to qualify for one of their units. A healthy adult with a child with HIV or AIDS is not eligible.
"The [current] apartment isn't rented under her name. Harlem [Community AIDS] United places their tenants in our building," explained an employee of the apartment building's property manager, Chaim Gross, of Brooklyn.
The maid had previously lived in another High Bridge apartment rented by Harlem United, a source said. She had moved there with her child in 2008.
According to the agency, it is not uncommon for people with HIV/AIDS to move around.
Her lawyer, Jeffrey Shapiro, and a close family friend said the chambermaid is a widow who lives alone with her daughter. Public records list her as the only adult in the current apartment and the only adult having lived in her previous apartment.
Neighbors also say it was just her and the child in both places.
The Harlem United workers who talked to The Post were not specifically addressing the maid's living situation, only their agency's housing policies. Officials at Harlem United declined to comment because of confidentiality.
The woman has accused France's leading presidential contender of forcing her to perform oral sex on him twice and then trying to rape her as she tried to clean his Sofitel hotel room in Times Square on Saturday.
She told cops that after he sodomized her, she spit out his semen on the floor, a law-enforcement source said. Investigators are running DNA tests on the sample.
According to the federal Centers for Disease Control: "It is possible for either partner to become infected with HIV through performing or receiving oral sex."
Strauss-Kahn's lawyers declined comment last night.
The humiliated, 62-year-old suspect was ordered held without bail Monday and placed under suicide watch at Rikers Island -- reduced to wearing shoes without laces and a medical device to make sure he's breathing.
Read more: Accuser in IMF Strauss-Kahn hotel sex case lives in apartment for AIDS victims - NYPOST.com
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Le traitement réservé au patron du FMI par la presse et la justice new-yorkaise peut surprendre, voire choquer. Cela ne devrait pas.
L’arrestation de DSK par les autorités portuaires de l’aéroport de New York et son inculpation ont mis une claque à tout le monde. Normal, un scandale politico-sexuel, ça envoie. Mais la plus grosse claque, ce n‘est pas vraiment l’événement, c’est son traitement. Ok, il y a Twitter, le demain-tous-journalistes, l’interweb mondial... on commence à connaître. Le truc inédit, c’est ce traitement américain d’une affaire française.
Deux tabloïds ont mené la danse. Le New York Post a révélé l’info dès le samedi soir, et le Daily News a donné le ton avec sa une «Le Perv». Nos médias, dont les contacts en fait-div et police-justice sont quasi-exclusivement français, ont dû pour la plupart suivre les investigations de leur confrères américains malgré la présence de leurs correspondants sur place. L’après-midi, chaînes d’info et sites internet ont fait du remplissage faute de news en attendant une comparution qui n’a finalement jamais eu lieu. i-Télé et BFM ont occupé l’antenne avec une armée d’éditorialistes, les sites d’infos ont gratté les fonds de tiroir (théorie complotiste en home du Monde.fr, citation de Mixbeat par un Le Parisien en mal de sources..., Tristane Banon et sa mère ont fait leur apparition.
La routine. Un peu limite, mais la routine. On a mangé du DSK toute la journée, on s’est couchés un peu secoués mais, habitués aux traitement de ce genre d’affaires quand elle surviennent en France, on imaginait que le lendemain, Dominique Strauss-Kahn dormirait tranquillement chez lui après avoir vu le juge, attendant que la procédure suive paisiblement son cours. Quelques papiers dans la presse, l'infamie habituelle sur les réseaux sociaux pendant quelques jours et tout allait vite rentrer dans l’ordre.
Oui. Mais on n’est pas en France. DSK s’est fourré dans un merdier à bannière étoilée. Les règles ne sont pas tout à fait les mêmes. Il s’en est vite aperçu, les Français aussi. Lundi, les tabloïds en ont remis une couche en une, la photo de Strauss-Kahn shooté à la sortie du commissariat a fait le tour des télés et des sites internet. L’ambiance NY Unité spéciale, c’est marrant sur TF1, mais quand ça concerne quelqu’un qu’on connaît, ça ne fait pas tout à fait pareil.
Belle plaque, nouvelle claque. Pas le temps de débattre sur la présomption d’innocence et l’opportunité de publier l’image d’un homme-présumé-innoncent-inculpé-et-entravé qu’à 17 heures, hop, ce fut l’heure du passage devant la juge qui n’a pas l’air commode.
Un merdier à bannière étoilée
Les télés françaises se sont contentées de nous montrer la façade du palais de justice en attendant que leurs journalistes, coincés en salle d’audience, viennent débriefer à l’antenne. Les infos junkies ont tremblé parce que les quelques journalistes twittos présents à l’audience auraient pu être sommés d’éteindre leurs portables pendant les débats. Ils ne l’ont pas été. On apprendra donc en direct, sur Twitter et sur i-Télé qui lit Twitter que Strauss-Kahn allait rester en prison. Encore une claque.
Ah et tiens, personne n’y avait pensé dans sa petite cervelle de Français, mais aux Etats-Unis, on peut les filmer, les débats. Qu’à cela ne tienne, on a eu les images. Le visage d’un DSK en légère panique, barbu et froissé, un poil dépassé par les événements, est apparu sur les écrans. On a aussitôt revécu la scène avec lui, sauf que là, nous, on connaissait la fin. Dernière claque de la journée.
Forcément, ça a fait beaucoup. Les possibles 70 ans d'incarcération sur Rikers Island, la fermeté du système judiciaire américain que, finalement, on ne comprend pas si bien, la couverture totale et jusqu’au-boutiste de ce genre d’affaire par les médias américains, sur lesquels les Français sont bien obligés de se caler...
Ambiance crue et cruelle où une bonne affaire criminelle motive n’importe quel procureur désireux de se faire réélire et n’importe quel média goulu d’audience, où la chaîne TruTV diffuse quotidiennement des procès de droit commun et où un petit juge texan peut faire vaciller un président des Etats-Unis.
Le soir-même, au JT de France 2 de 20 heures, si mes sources sont bonnes, un(e) journaliste semblait s’étonner qu’il n’y ait pas de secteur VIP dans les prisons américaines. Un autre, dans Mots croisés, avoua combien il était secoué, choqué, presque scandalisé que la police se soit organisée avec la presse pour faciliter le travail des photographes, qui ont mitraillé Strauss-Kahn à Harlem. «Il a été traité comme un vulgaire criminel», disait-il en substance. Pas exactement. Le président du FMI a simplement été traité comme un Américain —un peu connu. Et encore —enferré dans le système politico-médiatique américain. On n’a juste pas l’habitude.
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Ce sont des conneries par lesquelles ils essaient de noyer le poisson. Tous les témoignages convergent sur la personnalité de notre cousine guinéenne : travailleuse, responsable et discrète. Elle était mariée avec un guinéen et aujourd'hui divorcée. Qu'on nous colle la paix avec ces informations qu'on entend qu'en France.
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Affaire DSK : les derniers développements de l'enquête
LEMONDE.FR avec AFP
DSK, le 4 avril 2011, à Washington.AFP/MANDEL NGAN
Les enquêteurs reconstituent minutieusement le fil des événements entre l'arrivée de la victime présumée dans la chambre de l'ancien directeur du Fonds monétaire international et l'interpellation du Français.
Délai entre départ de l'hôtel et l'alerte du Sofitel. Les policiers enquêtant sur la tentative de viol présumée de Dominique Strauss-Kahn s'interrogent sur le délai d'une heure entre son départ de l'hôtel et l'alerte donnée par le Sofitel, a appris Reuters mercredi de source proche du dossier.
Ils estiment que la femme de chambre, qui l'accuse d'agression sexuelle et de tentative de viol, est entrée dans la chambre peu après 12 heures, heure locale. A 12 h 29 ou 12 h 30, selon les caméras de surveillance de l'hôtel et des témoins, Strauss-Kahn a quitté l'hôtel en hâte, sans passer par la réception, et hélé un taxi.
Les policiers pensent que la femme de chambre a presque immédiatement rapporté l'agression présumée à plusieurs collègues. Le premier appel de l'hôtel au 911, le numéro d'urgence de la police, a été reçu à 13 h 32, selon les documents cités par cette source. La sécurité du Sofitel a dit qu'elle souhaitait rapporter une agression sexuelle. Les premières équipes de police sont arrivées sur place treize minutes plus tard.
Pour cette source, il y a deux explications possible à ce délai d'une heure. La première est que la victime présumée a été tellement choquée et son récit de l'agression était si surprenant que la direction de l'hôtel a mis une heure avant d'être sûre qu'elle devait alerter les autorités. La deuxième option, privilégiée par les enquêteurs, est que la direction française de l'hôtel n'a pas voulu se précipiter pour dénoncer un client français si prestigieux. Le Sofitel de New York n'était pas joignable dans l'immédiat pour commenter ces informations.
C'est dans la suite 2806 de cet hôtel new-yorkais que la plaignante dit s'être faite agressée par Dominique Strauss-Kahn samedi 14 mai.AFP/MONIKA GRAFF
Agenda jusqu'à l'arrestation dans l'avion. Les policiers tentent aussi de détailler l'agenda de Strauss-Kahn jusqu'à son arrestation à bord d'un avion à destination de Paris, sur le tarmac de l'aéroport John Fitzgerald Kennedy de New York.
Dans la nouvelle demande de libération sous caution déposée par la défense, les avocats de l'ancien ministre de l'économie déclarent que leur client a quitté l'hôtel à 12 h 28 et qu'il s'est rendu à un rendez-vous pour déjeuner "à quelques rues de là", vers 12 h 45. Selon la source proche du dossier, les enquêteurs estiment que Strauss-Kahn a appelé l'hôtel à 15 h 30, vraisemblablement de l'aéroport, pour demander s'il n'avait rien oublié.
La police présente au Sofitel a alors prié le personnel de demander à Strauss-Kahn de préciser où il était pour qu'on lui rapporte son téléphone portable. La police a demandé au Port Authority, qui dirige les infrastructures liées au transport dans la métropole new-yorkaise, de retenir l'avion jusqu'à son arrivée. Les agents du Port Authority sont montés à bord de l'avion d'Air France vers 16 h 30 et ont prié le directeur du FMI de quitter l'appareil en silence. Il a alors été remis à la police, menotté et emmené dans un commissariat de Harlem.
Nouveau témoin. Un employé était présent dans la suite de Dominique Strauss-Kahn samedi 14 mai au moment où la victime présumée d'une agression sexuelle par le directeur du FMI est entrée, rapporte Le Figaro dans son édition de jeudi. Selon le quotidien, qui cite une source proche du Sofitel de New York où se sont déroulés les faits, la femme de chambre "aurait simplement poussé la porte qui était entrouverte".
"Cet homme, affecté au room service, débarrassait le couvert dans la suite. Sa collègue lui aurait demandé si elle pouvait commencer à nettoyer", écrit le journal sur son site. "L'homme lui aurait répondu qu'il avait terminé et que la suite était inoccupée, puis il est sorti. Il ne savait pas que DSK pouvait se trouver dans la salle de bains."
Le quotidien en déduit que la victime présumée n'aurait alors pas eu besoin d'introduire une carte d'accès pour entrer dans la suite et que l'heure précise de son entrée devra être déterminée par d'autres moyens. Le journal ajoute qu'aucune caméra ne serait installée dans le couloir menant à la suite.
Moquette examinée. Selon des sources proches de l'enquête, les enquêteurs examinent un morceau de la moquette de la chambre d'hôtel où résidait DSK. Le morceau a été prélevé là où la femme de chambre affirme avoir craché après que le patron du FMI l'a forcée à lui prodiguer une fellation. Selon les enquêteurs, la moquette pourrait contenir des traces de sperme, et constituer une preuve cruciale dans le dossier.
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Ce qui est aussi troublant dans cette affaire, c'est que DSK, n'étant pas n'importe qui, vaque à ses occupations comme ça à New York sans garde du corps.
Il prend une suite à 3000 $ la nuit, puis un taxi, va à des rendez-vous de déjeuner, ensuite, part à l'aéroport, tout ça, tout seul comme le ferait n'importe quel citoyen lambda.
C'est quand même étrange non ?
Lui qui est le directeur du FMI devait être une bonne cible de tous ces fous furieux anti-capitalistes, anti-occidentaux et autres terroristes du genre. Par conséquent, j'estime qu'il devait être accompagné, night and day, par des gardes du corps, surtout pour ses déplacements.
Mais, là, rien, monsieur fait tout, tout seul, se déplace tout seul dans New York, prend le 1er taxi qu'il trouve dans la rue. Étrange, non ?
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Fodyé !
J'y ai pensé aussi... Je me dis peut-être qu'il était en vivance.... Peut-être qu'il est pas très connu...étant de Washigton.
Premiers Mots de DSK depuis Rickers Island.
"C’est avec une infinie tristesse que je me vois obligé aujourd’hui de proposer au conseil d’administration ma démission de mon poste de directeur général du FMI.
Je pense d’abord en ce moment à ma femme - que j’aime plus que tout - à mes enfants, à ma famille, à mes amis.
Je pense aussi aux collaborateurs du FMI avec lesquels nous avons accompli de si grandes choses depuis plus de trois ans.
A tous, je veux dire que je réfute avec la plus extrême fermeté tout ce qui m’est reproché.
Je veux préserver cette institution que j’ai servie avec honneur et dévouement, et surtout, surtout, je veux consacrer toutes mes forces, tout mon temps et toute mon énergie à démontrer mon innocence".
Dominique Strauss-Kahn
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Ce matin était publiée dans le Parisien une interview du frère de la femme de ménage qui accuse Dominique Strauss-Kahn de l’avoir agressé. Blake Diallo, 42 ans, tient un restaurant africain au coeur de Harlem, à New-York. Sa soeur est « avant tout une victime ».
Blake Diallo a vécu 16 années en France avant de s’installer à New-York. Il tient un restaurant africain, le Café 2115, à Harlem.
L’homme de 42 ans raconte que sa soeur ne savait absolument pas qui était DSK quand les faits se sont produits. C’est en regardant les informations samedi qu’il a compris qu’il s’agissait « d’un des hommes les plus puissants du monde » ! D’après lui, elle a quitté son domicile du sud du Bronx pour un lieu secret sous la protection de la police. « Elle est incapable d’inventer une telle histoire » affirme-t-il.
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