petite question les inscription antésémite était - il écrit en francais
Je me demande bien comment ils vont bien pouvoir dépatouiller tous ça, vendeur de passage, fabriquant, grossiste, importateur, la filière sera longue à remonter.Paris l'antisémitisme en tee-shirt
Par Matthieu VERRIER
leJDD.fr
Le 19e arrondissement de Paris est une nouvelle fois au coeur d'une affaire d'antisémitisme. Un magasin de la rue de Belleville commercialisait des tee-shirts portant des inscriptions nazies utilisées dans ghetto juif de Lodz, en Pologne. Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet après une plainte du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme (BNVCA).
Rudy: Mises en examen
L'antisémitisme s'affiche sur les tee-shirts dans le 19e arrondissement de Paris. L'affaire a été révélée par le Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme (BNVCA). L'association a déposé plainte. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour "incitation à la haine raciale par des inscriptions à caractère antisémite". Le propriétaire de la boutique et une vendeuse ont été placés en garde à vue mercredi.
L'habit en cause, un débardeur imitant un haillon des années 1940, arborait un message, "parc interdit aux juifs", en allemand et en polonais. Cette même inscription était placardée dans les rues du ghetto de Lodz, en Pologne.
Le BNVCA a été alerté par une passante, qui a découvert le produit dans un magasin du 19e arrondissement. L'association dit être en possession d'un des tee-shirt incriminés, vendus 18 euros. Elle espère obtenir l'interpellation du commerçant, la saisie du stock de vêtements, la fermeture du magasin et l'identification de l'importateur.
"L'apparition de ces tee-shirts est d'autant plus troublante qu'elle se produit dans cet arrondissement de Paris où se situe le Parc des Buttes Chaumont dont les juifs se plaignent fréquemment d'être les victimes de bandes de délinquants antisémites", écrit le BNVCA dans un communiqué. C'est en effet non loin de là qu'un adolescent juif, Rudy, a été passé à tabac en juin dernier. Les agresseurs ont été mis en examen pour tentative de meurtre avec la circonstance aggravante d'antisémitisme.
Les vendeuses mises en examen
Une Chinoise et sa fille, respectivement propriétaire et vendeuse de la boutique de Belleville qui vendaient des débardeurs comportant des inscriptions antisémites, ont été déférées mercredi soir au parquet de Paris et placées sous le statut de témoin assisté avant d'être remises en liberté, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. Elles n'ont donc pas été mises en examen comme indiqué par erreur dans un premier temps. Une information judiciaire a été ouverte jeudi pour "incitation à la haine raciale par des inscriptions à caractère antisémite".
Selon une source proche de l'enquête, les deux femmes auraient affirmé au cours de leur garde à vue ne pas avoir saisi la signification des inscriptions sur ces débardeurs.
Elles auraient également indiqué que le lot de débardeurs leur avait été cédé par un autre vendeur chinois de passage. Les enquêteurs cherchent également à remonter au fabricant, au grossiste et à l'importateur éventuel de ces débardeurs sur lesquels figuraient une étiquette de la marque "Introfancy IF" avec la mention "Nought restrict" mais aucune indication quant à l'origine du pays de fabrication.
Les inscriptions qui figurent sur ces débardeurs pour femme reproduisent au mot près les panneaux de 1940 interdisant aux juifs du ghetto de Lodz (Pologne) de pénétrer dans les parcs de la ville.
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le savoir est une arme qu'on ignore
Albert SCHWEITZER
La vérité n'a pas d'heure, elle est de tous les temps, précisément lorsqu'elle nous paraît inopportune.
http://www.radio-albayane.info/
ben miskine les chinois je ne pense pas quil avait connaisance de ce qui étais écrit
le savoir est une arme qu'on ignore
Je me suis dit la même chose, elle a pas du tilter que les inscriptions étaient à caractére raciste si ceux-ci étaient en langue allemande.
En tout cas comme Jade, je dis que la justice a du pain sur la planche, ça va pas être facile de retrouver ceux qui ont fabriqué ces T-shirt.
Voilà! Voilà!