En tant que Secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme, elle n'a fait que dire tout haut ce qu'il en est réellement de la position de Sarkozy autour de cette affaire (JO de Pékin et violences contre Tibétains).
Se rendant compte une nouvelle fois de son erreur, qu'est celle d'avoir "vendu la mèche" sans y faire gaffe, elle a de nouveau, comme à son habitude voulut rattraper le coup par un démenti.
Elle n'est pas à son premier coup d'essai, et jense que dans un dossier aussi brûlant et sensible, tel que celui-ci, il est préférable qu'elle soit assistée, par une personne de son ministère qui la reprenne aussitôt dès lors qu'elle commet des bourdes, face aux médias.