"Lorsque la peine envahit ton cœur, rappelle-toi d'Allah, car Il est celui qui te voit quand plus personne ne te regarde, celui qui t'entend lorsque plus personne ne t'écoute, Il est la Présence au-delà de toute absence. Rappelle-toi de celui qui ne t'oublie jamais et Il deviendra l'apaisement de ta peine."
On peut cacher " tout le Temps " une partie de la Vérité
On peut cacher " toute la Vérité " une partie du Temps
Mais on ne peut pas cacher " tout le Temps " " toute la Vérité "
Rachida Dati a accouché ce 2 janvier. Le papa n’est autre que José Maria Aznar , comme le confirment à « Bakchich » les services marocains et un très proche conseiller de Sarkozy.
Les services secrets marocains, dûment rencardés par leurs collègues espagnols, en étaient persuadés. José Maria Aznar, l’ancien premier ministre espagnol, était bien le père de l’enfant de Rachida Dati, comme l’avait susurré Bakchich.
Or quelques jours avant l’heureux événement du 2 janvier, un des conseillers les plus proches de Nicolas Sarkozy a confirmé à Bakchich l’information. Tout en précisant que la clinique de l’ouest parisien où la Garde des Sceaux a accouché était spécialisée dans les problèmes de fertilité.
Autant d’informations dévoilées par Bakchich.On connaît la suite : « Atteinte à la vie privée », « journaliste de caniveau »…etc. Ce serait oublier que Rachida Dati, outre une médiatisation dont elle a appris à brillamment jouer, est une femme politique de premier plan. A la tête d’un ministère régalien et ô combien important, la Justice, soumis à de nombreux soubresauts, réformes. Qu’un accouchement et que l’identité du père sont, à ce titre, des informations que les citoyens ont droit de connaitre.
2009, montagnes russes pour Dati
Car les premiers jours de 2009 risquent fort de ressembler à l’année 2008 pour Rachida Dati, la Garde des Sceaux du président Sarkozy. Un mois de janvier en forme de montagnes russes.
Comme l’avait évoqué Bakchich, les services secrets marocains ont pris très au sérieux la question de la paternité de son enfant. Mohammed VI. Longtemps couvée par le pouvoir alaouite et l’ancien ministre de l’Intérieur, feu Driss Basri, Rachida Dati a toujours fait l’objet d’une attention toute particulière de la part de Rabat.
Las, le Makhzen est convaincu que sa fille prodigue lui a tourné le dos pour s’acoquiner avec le grand méchant loup. À savoir l’ancien Premier ministre espagnol, José Maria Aznar, honni de l’Atlas au Sahara occidental, après les incidents de l’îlot Persil. En 2002, des militaires des forces auxiliaires marocaines avaient pris possession de cet îlot abandonné et revendiqué par le Maroc… pour quelques heures. Jusqu’à ce que la marine espagnole les déloge manu militari. Une humiliation pour le Makhzen… peu connu pour ne pas être rancunier.
Une première fuite sur les relations entre Aznar et Dati avait eu lieu dans les colonnes du journal marocain l’Observateur, où collaborent nombre de reporters français. Immédiatement démentie par Aznar lui-même. Mais nul contre-feux allumé quand Bakchich a évoqué l’enquête des services marocains qui a conclu à la naissance d’un petit Dati-Aznar, pour janvier. Pour l’instant, la situation familiale de José Maria Aznar rend difficile une confirmation publique. Première contrariété pour la jeune maman, doublée de bien des soucis professionnels.
psttttttttt In vitro
Au début du printemps, Rachida Dati a donné un boulot fou, et bien délicat, au nouveau super service de superflics du renseignement, celui issu du mariage de la DST et des RG, alors en train de trouver ses marques. Il s’agissait de protéger la Garde des Sceaux alors qu’elle se rendait très souvent dans une clinique de l’ouest parisien, établissement spécialisé dans les problèmes de fertilité et de grossesse pas simple. Même la DGSE a été informée des navettes de Rachida. Le problème, les espions n’ont jamais réussi à percer le mystère : « Mais que faisait donc là Rachida ? » Elle rendait sans doute visite à une amie…
Toujours soumise à la grogne des magistrats, des avocats, et d’à peu près tout ce que compte le monde judiciaire, la ministre de la Justice voit aussi sa cote élyséenne plonger… encore un peu plus. Et les langues de l’Elysée n’hésitent plus même à gloser sur les dernières engueulades sarkoziennes dont elle a été la victime. « Elle est même sortie en pleurs de son bureau », confie l’une d’elles.
Une jeune maman au ministère de la famille
Si bien que, quoique soutenue par une majorité de l’électorat de droite, Dame Dati n’est plus du tout assurée de passer un nouveau printemps place Vendôme. Même Claude Guéant a jeté l’éponge. Et les conseillers de Sarko d’émettre une idée lumineuse. La transférer d’un ministre régalien vers le maroquin de Christine Boutin. Rachida Dati, ministre du Logement et de la Famille, en voilà une idée de génie. D’autant que le symbole sera fort.
L’ancien porte-parole de Nicolas candidat a accouché le 2 janvier. Soit peu avant le calendrier de remaniement. L’occasion fait souvent le larron. A moins que les sirènes du privé, en particulier Total, grand dénicheur de talent, ne la soustraient à la politique.
Rarement naissance aura donné lieu à autant d’attention. Un peu comme si Dati était encore la 2e dame de France.
(source bakchich)
FELICITATIONS ET SANTE A MADAME DATI ET A SON BEBE