Elections en Cote d'ivoire , Gbagbo veut confisquer le pouvoir

[sil93]

Après la proclamation de la victoire de Laurent Gbagbo à la présidentielle ivoirienne, le représentant de l'ONU reconnaît celle d'Alassane Ouattara
Laurent Gbagbo (g) et Alassane Ouattara (d). Reuters/Luc Gnago - AFP/Sia Kambou




Par RFI
Le représentant du secrétaire général de l'ONU a reconnu, ce vendredi 3 décembre 2010, la victoire d'Alassane Ouattara au second tour de la présidentielle ivoirienne, peu après la proclamation de celle du président sortant Laurent Gbagbo par le Conseil constitutionnel.




Notre dossier spécial

Présidentielle en Côte d'Ivoire



Les événements s'accélèrent à Abidjan. En milieu d'après-midi, le président du Conseil constitutionnel Paul Yao N’Dré, depuis une salle du Conseil à Abidjan, annonçait la victoire de Laurent Gbagbo avec 51,45 % des suffrages exprimés à Laurent Gbagbo, contre 48,55 % pour Alassane Ouattara, après, indiquait-il, les annulations prononcées des résultats dans 7 départements du nord du pays.
La veille, le président de la CEI Youssouf Bakayoko avait, à l’inverse, proclamé les résultats provisoires donnant la victoire d’Alassane Ouattara avec 54,1 % des voix.

Mais en fin de journée, nouveau rebondissement dans la succession d'événements de ces dernières 48 heures, le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU en Côte d'Ivoire, Yong Jin Choi, tient une conférence de presse dans la capitale économique au cours de laquelle il reconnaît la victoire d'Alassane Ouattara, donnant ainsi raison au président de la CEI. « La proclamation des résultats définitifs par le président du Conseil constitutionnel, avec l'annulation du vote dans sept départements du nord, qui donne la victoire au candidat Laurent Gbagbo, peut seulement être interprétée comme une décision ne correspondant pas aux faits », affirme-t-il.
Sa réaction était très attendue, car le représentant de l'ONU a pour mandat de certifier le processus électoral. Pour ce faire, l'ONUCI, étroitement associé à l'organisation du scrutin.

Encore un dirigeant qui fait honte à sa nation. La côte d'ivoire était un pays exemple de la sous région et aujourd'hui un pays dans l'obscurité totale. Quelle Honte M. Bagbo et ce sois disant conseil constitutionnel.
Je pleure mon Continent qui avance en reculant.

[lass77]

Et bien oui Gbagbo s'investit lui meme comme president de la republique de cote d'ivoire . je hate d'entretendre la reaction des pays africains pour la communauté internationale c'est claire Ouatara est le president élu ivoirien.Tous les scenarios sont possibles . le conseil de securité se reunit lundi pour discuter de la suite à donner .

[Mamadou Lamine]

Laurent Gbagbo doit admettre sa défaite
04.12.10

Il arrive que des élections prennent une importance toute particulière dans l'histoire d'un pays. En Côte d'Ivoire, l'élection présidentielle dont le second tour a eu lieu dimanche 28 novembre en fait partie.

Depuis plus de dix ans, le pays est enfermé dans une longue crise. La Côte d'Ivoire a vécu successivement un coup d'Etat, une rébellion, la partition de son territoire national et un climat de grande animosité politique. Pour rompre avec ce cycle mortifère et destructeur, les Ivoiriens ont voté en masse (plus de 80 % de participation) et attendu avec la même ferveur teintée d'inquiétude le résultat de ce scrutin.

Vendredi, le pays s'est subitement retrouvé avec, en apparence, deux présidents. L'un, Alassane Ouattara, candidat de l'opposition, a vu sa large victoire annoncée par la Commission électorale indépendante (CEI). Ses 54 % des voix ont été "certifiés" par les Nations unies selon la procédure exceptionnellement mise en place pour ce scrutin particulier. Il a aussitôt été félicité par plusieurs dirigeants internationaux, dont les présidents américain, Barack Obama, et français, Nicolas Sarkozy.

L'autre, Laurent Gbagbo, le président sortant, a été déclaré vainqueur par le Conseil constitutionnel. Cet organisme, qui lui est totalement acquis, affirme avoir examiné, en l'espace de quelques heures, quelque 22 000 procès verbaux émanant des bureaux de vote pour justifier l'annulation des résultats dans neuf départements du pays. Ces annulations permettent d'inverser les chiffres du scrutin. Laurent Gbagbo a été félicité par la Guinée.

Cette situation est dangereuse. En 2002, une guerre civile a éclaté en Côte d'Ivoire en raison, déjà, de fortes tensions politiques. A l'époque, l'armée s'était scindée, mais aucun des deux camps ne disposait de forces importantes. Aujourd'hui, les ex-rebelles, qui n'ont pas été désarmés au cours du processus de paix qui a rendu l'élection possible, se trouvent à Abidjan, où les forces loyalistes disposent de matériel et d'hommes. Des miliciens venus de l'ouest pourraient aussi être utilisés si les violences éclatent.

Un homme, à présent, porte la responsabilité du sort de la Côte d'Ivoire : le président sortant, Laurent Gbagbo. Il peut continuer de refuser le verdict des urnes, s'enfermer dans une situation de rupture avec la communauté internationale, mais cela ne pourra pas se passer sans violences.

Il peut aussi permettre à un pays divisé de bénéficier de l'effet apaisant d'une élection exemplaire, admettre sa défaite et quitter le pouvoir la tête haute.

La période où les coups de force électoraux s'opéraient dans l'indifférence générale est révolue. L'Afrique est en voie d'intégration accélérée dans les échanges de la planète. Cela crée des responsabilités nouvelles.

L'histoire, si chère au président Gbagbo, oubliera rapidement les arguties juridiques en cours à Abidjan pour tenter de justifier son hold-up électoral. Elle n'oubliera pas, en revanche, celui qui ferait plonger la Côte d'Ivoire dans le chaos.

Le Monde

Ya de quoi réfléchir si l’Afrique est prête pour la démocratie.

[lass77]

Voilà le scénario qui a changé Gbagbo à reconnaitre sa defaite


Laurent Gbabo a perdu la présidentielle ivoirienne. Mais il veut confisquer le pouvoir. Selon nos sources, le président sortant aurait voulu appeler son adversaire Alassane Dramane Ouattara pour le féliciter. Mais c’est un petit groupe restreint qui s’est opposé à cette initiative. Et la première personne se nomme Simone Gbagbo la première Dame ivoirienne.

Devant les membres du Quartier Général de Laurent, la dame a dit à son mari : «Si tu acceptes ces résultats, t’es pas un garçon». Les autres membres du « clan Gbagabo » ont peur de voir Ouattara prendre le pouvoir. C’est la raison pour laquelle, ils s’opposent à la proclamation des résultats provisoires. Maintenant, Gbagbo tente d’écarter la CENI du processus pour donner ses résultats à son cousin Président du Conseil constitutionnel qui ne va pas hésiter à déclarer Gbagbo vainqueur


Alors que pensez vous de ce revirement ? j'ai toujours pensé que si les premières dames Africaines qui sont aussi mères avaient des bons comportements , l'Afrique gagnerait beaucoup.

[Hadiya WAGUE]

Franchement il faut virer cette canaille du pouvoir !

Barack Obama a formellement menacé le président ivoirien sortant Laurent Gbagbo d'une opposition des Etats-Unis et de sanctions s'il continuait à s'accrocher au pouvoir. Cette décision a été révélée par un responsable de la présidence américaine, lundi 6 décembre, alors que la pression internationale s'accentue pour que la crise en Côte d'Ivoire, déchirée entre deux présidents proclamés, soit résolue au plus vite.


"Pour la Maison Blanche, Alassane Ouattara est le vainqueur légitime de l'élection" du 28 novembre, malgré l'investiture samedi de M. Gbagbo à la magistrature suprême de ce pays d'Afrique de l'Ouest, a rappelé le responsable américain.

LES ÉTATS-UNIS ENVISAGENT DES SANCTIONS

Le président américain a fait remettre à M. Gbagbo une lettre par voie diplomatique en fin de semaine dernière, lui présentant le choix qui s'offre à lui, selon la même source. Les termes de ce choix sont "soit de respecter les résultats de cette élection et vous écarter", soit "de faire face à un isolement accru sur la scène internationale" et de "subir les conséquences de vos actes injustes", a ajouté le responsable, évoquant en particulier des "sanctions ciblées".

Dans cette lettre, le président a aussi affirmé être prêt, si M. Gbagbo s'inclinait, à l'inviter à Washington "pour discuter de la façon dont vous pouvez continuer à jouer un rôle en Afrique de l'Ouest à l'avenir", a révélé le responsable.

Un autre responsable de la Maison Blanche a développé cette idée de sanctions, révélant que les Etats-Unis "discutent de la crise avec un grand nombre de partenaires", dont la France, la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), les pays limitrophes de Côte d'Ivoire et l'Union africaine. "Nous avons été clairs et nets : ceux qui incitent à la violence devront répondre de leurs actes", a ajouté ce responsable.

L'ONU RETIRE DU PERSONNEL

Lundi, les Nations unies ont annoncé le retrait d'une partie de son personnel non essentiel, soit 460 personnes. La mission de l'ONU dans le pays compte plus de 10 000 casques bleus, policiers et employés civils. Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon demeurait "profondément préoccupé" par la crise.

A l'étranger, la crise inspire toujours une "grande inquiétude", selon l'expression employée par la Banque mondiale et la Banque africaine de développement, qui s'interrogeaient sur la poursuite de leur aide. France Télécom-Orange a aussi décidé de rapatrier ses salariés français ou binationaux non indispensables ainsi que leurs familles, soit une vingtaine de personnes.

Au moins 20 personnes ont été tuées par balles depuis le second tour de la présidentielle le 28 novembre, à Abidjan et dans l'ouest notamment, a annoncé Amnesty International. Autre signe que la tension restait forte : le couvre-feu nocturne qui devait s'achever ce lundi, tout en étant allégé de quelques heures, a été prolongé d'une semaine par Laurent Gbagbo.

LES ÉTATS D'AFRIQUE DE L'OUEST SE RÉUNISSENT

Pour tenter de résoudre la crise, la Cédéao doit tenir un sommet mardi 7 décembre à Abuja auquel, selon un porte-parole, aucun dirigeant ivoirien n'a été convié. Ce sommet s'ouvre dans l'urgence pour tenter de trouver une solution, alors que le pays, coupé en deux depuis huit ans, se retrouve avec deux présidents et que leurs partisans pourraient être tentés de se radicaliser, plongeant le pays dans le chaos.

Alassane Ouattara bénéficie d'un très large soutien international. L'ONU, les Etats-Unis, la France, l'Union européenne, la Grande-Bretagne, la Francophonie mais aussi l'Union africaine et la Cédéao ont avalisé les résultats de la CEI et reconnu sa victoire.

Alors que l'Union européenne faisait planer la menace de sanctions, la France a appelé à "une transition ordonnée, sereine et digne". Dépêché dimanche par l'Union africaine pour tenter une médiation, l'ex-chef d'Etat sud-africain Thabo Mbeki a exhorté les dirigeants ivoiriens à faire "tout leur possible" pour "préserver la paix", après une nouvelle rencontre avec M. Gbagbo. Il a quitté le pays en fin de journée.


Source : lemonde

[Fodyé Cissé]

Voilà le scénario qui a changé Gbagbo à reconnaitre sa defaite


Laurent Gbabo a perdu la présidentielle ivoirienne. Mais il veut confisquer le pouvoir. Selon nos sources, le président sortant aurait voulu appeler son adversaire Alassane Dramane Ouattara pour le féliciter. Mais c’est un petit groupe restreint qui s’est opposé à cette initiative. Et la première personne se nomme Simone Gbagbo la première Dame ivoirienne.

Devant les membres du Quartier Général de Laurent, la dame a dit à son mari : «Si tu acceptes ces résultats, t’es pas un garçon». Les autres membres du « clan Gbagabo » ont peur de voir Ouattara prendre le pouvoir. C’est la raison pour laquelle, ils s’opposent à la proclamation des résultats provisoires. Maintenant, Gbagbo tente d’écarter la CENI du processus pour donner ses résultats à son cousin Président du Conseil constitutionnel qui ne va pas hésiter à déclarer Gbagbo vainqueur


Alors que pensez vous de ce revirement ? j'ai toujours pensé que si les premières dames Africaines qui sont aussi mères avaient des bons comportements , l'Afrique gagnerait beaucoup.

Je ne pense pas que ce soit le seul scénario. A mon avis, le couple Gbagbo a de quoi s'inquiéter si le pouvoir lui échappe. Ils ont peur, à mon avis, d'être traînés devant la justice pour les méfaits qu'ils auraient commis. Je pense entre autre à Simone Gbagbo qui est dans la ligne de mire des juges dans l'affaire de la disparition du journaliste franco-canadien André Kieffer. Aussi longtemps qu'elle demeurera la 1ère dame de la Côte d'Ivoire, elle ne sera pas inquiétée.

[lass77]

L'entêtement de Gbagbo de vouloir s'accrocher au pouvoir aura des limites. les mises en gardes de la communauté internationales , la position de l'union africaine et de la CDEAO récemment font que l'histoire tragique peut se redessiner en Afrique de l'ouest encore. l'équation est trop simple même si elle est couteuse . il s'agira de déposer Gbagbo du pouvoir par l'usage de la force ou la partition de la cote de la cote d'ivoire car cette situation ne peut continuer ni exister dans un pays à savoir deux gouvernements. les forces nouvelles ont en fait écho. une intervention militaire ouest-Africaine appuyée par l'onu n'est pas à exclure si elle vaut la paix pour la cote d'ivoire d'une manière définitive.

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

L'entêtement de Gbagbo de vouloir s'accrocher au pouvoir aura des limites. les mises en gardes de la communauté internationales , la position de l'union africaine et de la CDEAO récemment font que l'histoire tragique peut se redessiner en Afrique de l'ouest encore. l'équation est trop simple même si elle est couteuse . il s'agira de déposer Gbagbo du pouvoir par l'usage de la force ou la partition de la cote de la cote d'ivoire car cette situation ne peut continuer ni exister dans un pays à savoir deux gouvernements. les forces nouvelles ont en fait écho. une intervention militaire ouest-Africaine appuyée par l'onu n'est pas à exclure si elle vaut la paix pour la cote d'ivoire d'une manière définitive.

Bonjour Lass,

Je pense que si toutes ces forces que tu as citées supra arrivaient, avec une infiltration dans l'armée ivoirienne, à le déposer sans un bain de sang, ce serait une belle solution pour la Côte d'Ivoire et une leçon pour tous les usurpateurs du pouvoir. Ce Gbagbo, seule la force peut le déguerpir. C'est un malade mental du pouvoir, si je peux m'exprimer ainsi.

[Fodyé Cissé]

Pour moi, une intervention militaire extérieure serait trop risquée. Non seulement, il n'y a pas de chance que cela aboutisse, car, l'armée ivoirienne pourrait faire bloc contre cette agression extérieure, mais aussi ce sont les civils qui vont en pâtir. Les escadrons de la mort en profiteront pour tuer des innocents en toute impunité, car, c'est la guerre.

Je pense que le meilleur scénario, c'est qu'un général de l'armée décide de le déposer pour ensuite remettre le pouvoir à Ouattara en l'espace de quelques jours seulement.

Par contre, vu la situation, je crois que GBagbo est bien décidé à s'accrocher au pouvoir pendant les 5 prochaines années et ce, quelque soient les sanctions que la communauté internationale infligera à la Côte d'Ivoire. Lui, de toute façon, il s'en fout, il ne mourra pas de faim. Tout ce qui l'intéresse, c'est le pouvoir. Il essayera de diviser la communauté internationale. Déjà, il paraît que la Russie s'opposerait à une sanction de l'ONU contre la Côte d'Ivoire. Ce qu'il faut savoir, c'est que les Etats privilégient d'abord leurs propres intérêts avant de s'occuper de l'intérêt du peuple ivoirien. On sait que la Côte d'Ivoire est un des plus grands producteurs de cacao dans le monde. Certains n'hésiteront pas à marchander leur soutien à GBagbo contre du Cacao.

Ouattara, lui, n'est que le président de l'hôtel où il réside. C'est triste, mais, c'est la réalité. La force publique est avec GBagbo. Je ne pense pas que Ouattara a l'intention de passer les 5 prochaines années réfugié dans cet hôtel. A un moment donné, il va bien falloir qu'il sorte.

Est-ce que sa sortie de cet hotel va créer des incidents? Est-ce qu'il y aura une scission dans l'armée. Et qui dit scission dans l'armée, dit risque de guerre civile. Et dans une guerre civile, tout peut se passer.

Lors de la dernière mutinerie qui avait divisé la Côte d'Ivoire en deux, j'avais lu quelque part où Ouattara disait qu'un char était venu pour le descendre, mais qu'il s'était enfui à temps pour aller se réfugier dans une ambassade occidentale. C'est ce même escadron de la mort qui en voulait à Ouattara qui aurait tué le général Gueï avant de jeter son cadavre comme une vulgaire ordure. Qui était derrière cet escadron de la mort? That's the question.

Ah Laaxara koota, a dunbunu ya de !!!

[Hadiya WAGUE]

Le pire dans cette situation c’est la population civile qui risque le payer. Si cela continue le risque de bain de sang est inévitable vu que le camp Gbagbo n’attend que ça. Tant qu’il aura le soutien des généraux de l’armée il va continuer à y croire et le jour où ceux ci décideront de le lâcher c’est lui même qui proposer une solution de sortie.

La communauté internationale doit continuer à faire pression et avec fermeté mais comme le précise Fodyé n’oublions pas dans cet affaire chaque État regardera tout d’abord ses avantages avant de penser à l’intérêt des Ivoiriens même si le risque qu’il y ait un risque de bain de sang. D’ailleurs la preuve avec le blocage de la Russie au conseil de sécurité et Gbagbo va jouer avec cela comme il le disait d’ailleurs que ce qui comptait dans le monde d’intérêt c’est la distribution de parts de gâteaux.

La seule possibilité que je vois, une sortie dans la paix sans bain de sang, c’est de faire en sorte qu’il ne puisse bénéficier du soutien de l’armée.

Ou bien nous savons très bien que cette armée aussi équipée soit-elle ne pourra jamais faire face à une décision de guerre avec la communauté internationale.

Ce qui serait mieux c’est de cibler ne serait ce qu’une partie de la présidence et de déposer une petite bombe je suis sûr que cela va accélérer le processus d’acceptation de la transition (j’en rigole). Les faits et gestes de ses généraux et de ses acolytes sont connus donc il faut juste agir là il faut sans dommage (une petit drone) …et la page sera tournée. Gbagbo ce n’est pas Khadafi voyons c’est un petit Président d’un pays sous perfusion et qui veut faire tête à la communauté internationale. Il sera traité comme tel ! car ils ont d’autres chat à feuilleter n’est ce pas ?

Maintenant la réconciliation risque d’être difficile car le pays cela fait dix ans que le camp Gbagbo a fait développer la haine entre le nord et le sud à tel point qu’il sera difficile une fois Ouattara au pouvoir.