Bonjour à tout le monde, mea culpa, je me suis permis de poser mes questions par rapport à l'événement Sonink'ART 2009 sur un post qui a été ouvert pour celui de 2008. Je me rectifie en réintroduisant les questions dans le présent post. Sans reprendre l’intégralité du texte déjà édité, je reste convaincu que l’organisation et la tenue régulière de cet événement ne sont d’autres que des tremplins pour faire évoluer Soninkara.com vers d’autres champs de batailles plus immenses et nobles, en tout état de cause.
C’est pourquoi, j’invite à la réflexion, si ce n’est déjà en cours, de voir comment, aujourd’hui, investir outre le champ culturel, le social voire l’économique, paramètre qui a motivé et demeure toujours la source des importantes vagues de migration quelle qu’en soit la trajectoire et la destination.
L’évolution souhaitée, pour Soninkara.com, dans la perspective d’une meilleure prise en charge de nos problèmes et du renforcement de la promotion du Soninkaaxu, est de travailler à la création d’une Fondation ou, tout au plus, à la mise en place d’une «Fédération des Soninkés d’Ici et d’Ailleurs».
Je me permets d’espérer qu’une telle problématique serait abordée au cours de la conférence dont le thème, à mon sens, cadre avec les préoccupations ici soulignées.
Aujourd’hui, la France parmi les pays européens, regorge l’essentiel de toute la communauté Soninké de la 1ere Génération d’émigrés qui se sont investi corps et âmes pour la reconstruction de ce pays. Pour ceux-là, qu’aurait été la France sans ces braves gens ? Que doivent-ils attendre de cette France qui se cherche toujours au travers des politiques d’immigration qui ne disent pas leur nom ? Qu’est-ce qu’il en est pour les générations suivantes et fils ? Quelle politique d’insertion ou d’accompagnement à dérouler pour un retour souhaité au pays d’origine ?