Emission sur l'incendie du boulevard Vincent Auriol

[Ibrahim Soukouna]

Hier soir j'ai vu une émission américaine " Les maçon du coeur" J'ai pensé direct à se sujet.

Il y avait une femme noire avec ses huit enfants dans une petite maison en mauvaise état, trou dans le plafond et murs,fil électrique dangereux qui pende robinet en mauvaise état etc...

Il ont envoyé leur vidéo a l'émission en question et il sont parti les reveillés le matin pour les prendre dans un limousine et les envoyer faire un séjour quelquepart.
Ensuite ils ont détruit entierement leur maison et en une semaine ou huit jour ils ont raconstruit entierement maison en plus grand et on refait tous la déco,en y remetant des nouveau meubles et accessoir ,avec des nouvau vetement et jeux et ont rempli le nouveau frigo lol.

Il lui ont donné un cheque pour les études de leurs enfants et la cerise sur le gateau il lui ont donner un cheque qui termine complètement l'enprunt qu'elle a fait pour acheter la maison.

C'était le bonheur pour eux et j'était égaré car bien que j'avait entendu parler de cette émission mais c'était la première fois que je l'ai regarder en entier car toute l'émission c'est ça(reconstruire les maisons des gens en difficulté).

Dommage que cela n'arrive pas à tous le monde mais dans la vie tous est possible avec Dieu.

[miss ében]

Personne n'a pu oublier les incendies qui ont ravagé, il y a trois ans, plusieurs immeubles parisiens qui abritaient essentiellement des ressortissants étrangers en situation régulière.

Le bilan humain est lourd :

- plus de 50 personnes - parmi lesquels 33 enfants - ont péri dans les flammes ;
- 5 personnes sont toujours lourdement handicapées ;
- des dizaines de familles resteront traumatisées à vie.

Trois ans après les faits, le traitement judiciaire de l'incendie du Boulevard Vincent Auriol n'a bizarrement produit aucun résultats et ne permet donc toujours pas aux familles de faire leur deuil !!!

AU DELA DU DEVOIR DE MEMOIRE POUR NOS FAMILLES ET AMIS,
BATTONS-NOUS POUR QUE CETTE VERITE QUI DERANGE TANT SOIT ETABLIE

Tous ensemble, tous en blanc, le dimanche 24 août 2008
à 14 H 30 devant le 20 boulevard Vincent Auriol Paris 13e.


Diby MAGASSA

[dab]

Tout le monde pleure pour la paix mais personne se bat pour la justice.

[ROUMBALOVE]

Tout le monde pleure pour la paix mais personne se bat pour la justice.

C'est vrai tu a raison

Faut-il pour autant baisser les bras? bien-sûr que non!

C'est scandaleux!!!! Mais le plus grave c'est la souffrance des familles qui restent sans réponses!!!

Le statut de victime pour ces familles n'est pas reconnu par l'institution judiciaire! Les familles des victimes veulent connaître la vérité et que justice soit rendue. Pour cela, alors qu'elles sont dans la détresse, elles doivent se battre encore et encore. La justice est d'une lenteur incroyable mais pas pour tout le monde. Quand vous êtes riche et puissant, cela va beaucoup plus vite

[Hadiya WAGUE]

Fatou, rescapée des incendies

Durée : 55 minutes
Sous-titrage malentendant (Antiope).
Stéréo

Auteur : Mireille Dumas

Le sujet
A travers l'histoire de Fatou, seule rescapée de sa famille lors de l'incendie du boulevard Auriol en 2005 à Paris, gros plan sur les conditions de vie des immigrés.

Née au Mali et habitant en France depuis 17 ans, Fatou, 20 ans, s'envole pour la toute première fois pour son pays d'origine pour l'enterrement de sa fille de 4 ans et de ses sept frères et soeurs, décédés dans l'incendie de l'hôtel du boulevard Vincent Auriol, à Paris, en 2005. Ces événements ont relancé le débat sur les conditions de vie de ces populations qui travaillent en France depuis plusieurs dizaines d'années. Comment l'habitat social a-t-il pu se détériorer à ce point ? A travers l'histoire de Fatou se dessine le portrait de l'immigration malienne.

La critique

Dans la nuit du 25 au 26 août 2005, le feu prend au numéro 20 du boulevard Vincent-Auriol, dans le 13e arrondissement de Paris. L'immeuble est insalubre. Cent trente personnes s'y entassent. Dix-huit d'entre elles dont 14 enfants vont périr dans les flammes. Toutes d'origine malienne, toutes en situation régulière. Beaucoup renouvelaient depuis des années leur demande d'attribution d'un logement HLM, sans résultat. Alors ils continuaient à vivre, entassés dans des chambres, où les rats venaient les visiter pendant leur sommeil. Les Diarra décidèrent d'enterrer leurs enfants au village. Comme le père, grièvement blessé, ne pouvait se déplacer, la mission d'accompagner les neuf cercueils (celui de sa petite fille, ceux de ses sept frères et soeurs, celui de son cousin) échut à Fatou, 20 ans. 75% des immigrés maliens viennent de la région de Kayes. Les Diarra sont originaires de la partie la plus pauvre, au nord, en bordure du Sahara. Sur ce continent qu'elle avait quitté toute petite, la jeune femme se sentit au début terriblement seule. Au chagrin s'ajoutait le sentiment d'être une étrangère. Aujourd'hui, elle habite à Paris un appartement à loyer modéré, dans le 18e; il n'aura fallu qu'une semaine pour qu'un logement se libère. «Pourquoi fallait-il attendre tant de morts pour être relogés, je voudrais savoir...»

[Moussa diaba]

Fatou, rescapée des incendies

Durée : 55 minutes
Sous-titrage malentendant (Antiope).
Stéréo

Auteur : Mireille Dumas

Le sujet
A travers l'histoire de Fatou, seule rescapée de sa famille lors de l'incendie du boulevard Auriol en 2005 à Paris, gros plan sur les conditions de vie des immigrés.

Née au Mali et habitant en France depuis 17 ans, Fatou, 20 ans, s'envole pour la toute première fois pour son pays d'origine pour l'enterrement de sa fille de 4 ans et de ses sept frères et soeurs, décédés dans l'incendie de l'hôtel du boulevard Vincent Auriol, à Paris, en 2005. Ces événements ont relancé le débat sur les conditions de vie de ces populations qui travaillent en France depuis plusieurs dizaines d'années. Comment l'habitat social a-t-il pu se détériorer à ce point ? A travers l'histoire de Fatou se dessine le portrait de l'immigration malienne.

La critique

Dans la nuit du 25 au 26 août 2005, le feu prend au numéro 20 du boulevard Vincent-Auriol, dans le 13e arrondissement de Paris. L'immeuble est insalubre. Cent trente personnes s'y entassent. Dix-huit d'entre elles dont 14 enfants vont périr dans les flammes. Toutes d'origine malienne, toutes en situation régulière. Beaucoup renouvelaient depuis des années leur demande d'attribution d'un logement HLM, sans résultat. Alors ils continuaient à vivre, entassés dans des chambres, où les rats venaient les visiter pendant leur sommeil. Les Diarra décidèrent d'enterrer leurs enfants au village. Comme le père, grièvement blessé, ne pouvait se déplacer, la mission d'accompagner les neuf cercueils (celui de sa petite fille, ceux de ses sept frères et soeurs, celui de son cousin) échut à Fatou, 20 ans. 75% des immigrés maliens viennent de la région de Kayes. Les Diarra sont originaires de la partie la plus pauvre, au nord, en bordure du Sahara. Sur ce continent qu'elle avait quitté toute petite, la jeune femme se sentit au début terriblement seule. Au chagrin s'ajoutait le sentiment d'être une étrangère. Aujourd'hui, elle habite à Paris un appartement à loyer modéré, dans le 18e; il n'aura fallu qu'une semaine pour qu'un logement se libère. «Pourquoi fallait-il attendre tant de morts pour être relogés, je voudrais savoir...»

Merci pour l'info Hadiya.

[maryama]

Salut hadiya,

je me demande si c'est pas une rediffusion de l'émission dont on a débattu ici :http://www.soninkara.com/forums/fran...riol-2785.html

[Hadiya WAGUE]

Salut hadiya,

je me demande si c'est pas une rediffusion de l'émission dont on a débattu ici :http://www.soninkara.com/forums/fran...riol-2785.html

Effectivement ça se pourrait ! j'avais juste regardé un bout de celui ci !

C'est clair comme le précise ce lien et les messages il faut toujours regarder les émissions nous concernant avec objectivité !

[Jade]

Je pense aussi qu'il doit s'agir du même sujet, dont Maryama a mis le lien du thread.

[miss ében]

Pour toutes les personnes qui ne l'ont pas vu la fois précédente c'est l'occasion .

PEACE