Ils vont surement en parler au journal de 13h
Bonjour
En écoutant nuitamment les informations, j'apprends qu'à la suite d'un banal contrôle d'identité, un individu aurait fait usage d'une arme pour tirer sur les policiers. Et ces derniers, en voulant le neutraliser avec leur arme, les balles l'ont mortellement atteint et il rend l'âme quelques temps aprés dans un hopital. Avez-vous d'autres informations plus édifiantes?
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Ils vont surement en parler au journal de 13h
ma famata traore dionsandigui triramakha mouké moussa ni mouké dantouma mouri iban triramakha te ba marafayi ba triramakha te ba triramakha banialosounsarédion moni khatidio
Le Figaro en parle dans son journal :
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Le suspect, jusqu’alors inconnu des services de police, a dégainé un pistolet à grenailles dans la galerie marchande avant d’être touché de deux balles mortelles.
QUATRE MOIS après avoir été le théâtre de scènes d’émeutes, la gare du Nord a à nouveau vécu un contrôle d’identité qui a mal tourné. Un homme a été tué, hier soir, par des policiers ayant ouvert le feu après que ce dernier eut sorti une arme en les menaçant.
Vers 19 h 20, les fonctionnaires du Service régional de la police des transports (SRPT) procédaient à des contrôles d’identité sur réquisition du procureur de la République. Une patrouille a eu l’attention attirée par une personne au comportement considéré comme « suspect » devant une boutique de la galerie marchande, située dans les sous-sols de l’interconnexion ferroviaire.
Jusqu’alors inconnu de la justice, ce ressortissant algérien, semble-t-il âgé de 25 ans, a dégainé un pistolet à grenailles. C’est au moment où les policiers du SRPT décidaient de l’emmener dans un endroit sécurisé de la gare parisienne que l’homme a entrepris de se rebeller. Sans mot dire, il a tiré à deux reprises vers trois fonctionnaires, sans les atteindre. La patrouille a riposté en ouvrant le feu trois fois, le blessant à l’abdomen et au pied.
Prise en charge par les pompiers, la victime a été transportée dans un état grave à l’hôpital Bichat, dans le XVIIIe arrondissement, où elle est décédée peu avant minuit. La brigade criminelle a été saisie d’une enquête préliminaire ouverte par le parquet du tribunal de grande instance de Paris. L’Inspection générale des services (IGS, police des polices) va quant à elle mener une enquête administrative et suivre une partie du dossier judiciaire. « Il s’agit de déterminer avant tout les circonstances des tirs de l’individu et des policiers qui ont riposté », a expliqué hier trois heures après la fusillade Mathieu Debatisse, substitut du procureur de la République de Paris. Ce dernier s’est félicité par ailleurs qu’aucun fonctionnaire n’ait été blessé lors du contrôle.
Légitime défense
La galerie marchande où les coups de feu ont été tirés était cette nuit marquée par des zones matérialisées : des rubans rouges et blancs tendus de la police interdisaient aux usagers l’accès à l’endroit du drame. Le calme régnait dans la gare, en dépit des grands départs en vacances.
Au premier stade des investigations, des témoins semblent confirmer la thèse de la légitime défense. Les fonctionnaires ont été entendus dès vendredi soir au siège de la police des polices et n'ont pas été placés en garde à vue. A priori, aucun des agents n’avait été jusqu’alors impliqué dans une fusillade.
Le 27 mars dernier, l’interpellation d’un resquilleur gare du Nord avait donné lieu à des affrontements entre les forces de l’ordre et deux cents jeunes, ainsi qu’à des scènes de vandalisme. Hier soir, c’était donc la seconde fois en quatre mois, jour pour jour, qu’un policier du même service, le Service régional des transports, faisait usage de son arme.
La galerie marchande où les coups de feu ont été tirés était cette nuit marquée par des zones matérialisées : des rubans rouges et blancs tendus de la police interdisaient aux usagers l’accès à l’endroit du drame. Le calme régnait dans la gare, en dépit des grands départs en vacances.
Medina/AFP.
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je me demande ci un jours tou ca va cesser
On nous a diviser, mais n'acceptons pas de nous diviser nous-mêmes !!!
c'est grave en tout cas paix à son ame
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Une fois de plus.....
Paix à son âme!!
Pensée pour toi semignon...
IL AVAIT DES PROBLEMES PHSYCOLOGIQUE.(source leparisien)