C'est clair!
Ce que je rajouterai, c'est que beaucoup de ces filles se font instrumentalisées par ces organismes ou associations à 2 balles qui cherchent juste une notoriété dans l'opinion nationale et des subventions. Ils ont rien à foutre que les familles de ces gens soient disloquées à jamais.
L'article précise bien ceci : "Ce renvoi du dossier au ministère public avait été sollicité par la Commission pour l'abolition des mutilations sexuelles (Cams), qui s'est in extremis constituée partie civile à l'audience, tenue à huis clos. "
Ce sont les filles qui ont été excisées, mais, c'est la CAMS qui se constitue en partie civile à leur place et demande le renvoi devant une cour d'assises. La fille qui a été victime de l'excision, est-elle sûre que la CAMS défend bien ses intérêts à elle? Comme l'a dit Cheikhna, elle doit d'abord se poser certaines questions: Ses parents qui l'ont excisée, l'ont-ils fait en pensant faire le bien oubien l'ont-ils fait en sachant pertinemment qu'ils allaient commettre un crime ?
Il y a quelques siècles, dans les sociétés occidentales, poser la ceinture de chasteté à sa fille était une chose, on ne peut plus, normale. Mais, les sociétés évoluent, et aujourd'hui, qui ose faire cela à sa fille, en France ? Beaucoup de sociétés africaines sont restées dans cette logique. Et fort heureusement, les choses changent aussi pour elles (c.f. : Sénégal: Excision et Mariages précoces: 900 localités attendues à Tamba ) et les gens commencent à prendre conscience que l'excision, c'est mal, grâce à la sensibilisation qui se fait jusque dans le fin fond des villages.
En France, on aime bien réprimer d'abord, puis sensibiliser ensuite.
Pourquoi faut-il ajouter un malheur à un autre malheur?
Ah cette immigration, mais quel gachis!![]()