Machallah ton histoire Diana!
MAMAN
Le bébé : On m'a dit que tu vas m'envoyer sur terre mais comment vais-je vivre là-bas, alors que je suis si petit et sans défense ?
Une personne t'attend et elle prendra soin de toi.
Le bébé : Ici, je n'ai rien d'autre à faire que sourire et chanter pour être heureux. Que devrais-je faire sur terre ?
La personne, qui t'attend, chantera pour toi et sourira aussi pour toi toujours, tu ressentiras alors son amour et tu sera heureux.
Le bébé : Et comment serais-je capable de comprendre ce que l'on me dira, si je ne connais pas la langue ?
La personne t'apprendra les mots les plus beaux et les plus tendres que tu n'as jamais entendus et avec beaucoup de soin et de patience elle t'apprendra à parler.
Le bébé : Et que devrais-je faire pour parler à Dieu ?
La personne t'aidera à te prosterner et il t'apprendra à prier
Le bébé : Qui me protègera ?
La personne te protègera au péril de sa vie.
Le bébé : Mais je serai toujours triste...
La personne te parlera toujours de Dieu et il t'apprendra à revenir vers Dieu ainsi Il sera toujours près de toi.
A ce moment-là il y eut un grand silence et l'on pouvait entendre des voix venant de la Terre (les docteurs de la salle d'accouchement) et l'enfant pressé parce qu'il devait partir tout de suite posa une dernière question.
Le bébé : Si je dois partir maintenant, dis moi s'il te plaît le nom de cette personne ?
Tu l'appelleras simplement "maman".
« Saches que celui qui t’a conseillé t’a aimé et celui qui t’a flatté t'a trompé »
Machallah ton histoire Diana!
salam a toutes.
Vraiment Machallah pour cette belle histoire diana
The happiest people in the world are not those who have no problems, but those who learn to live with things that are less than perfect
Bonjour
Ton histoire est jolie! On attend avec impatience celle de warante aussi.
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux deux
extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.
Cela dura deux ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne
livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la
jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
Au bout de deux ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source. "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
"Pourquoi ? De quoi as-tu honte" demanda le porteur d'eau. "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces deux ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts" , lui dit la jarre abîmée.
Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion répondit : "Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin" . Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau. Le porteur d'eau dit à la jarre. " T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite ?C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton côté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin. Pendant deux ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de Magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses. "
Morale de l'histoire :Nous avons tous des éclats, des blessures, des
défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes !
Vous devez prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien en eux.
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
et ben ... tres belle histoire!!!!
Bayou...
Je ne connais pas de belles histoires...
Contente toi de celles de Tribal que je m'octroie par procuration...
Ce que j'aime dans ces histoires c'est la morale... sincèrement ca nous ouvre les yeux sur beaucoup de choses et nous permettent de relativiser sur nos caprices et chichis de bonnes femmes
PEACE LOVE AND UNITY
C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années. De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman.
Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions?
Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah(si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions.
Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement.
Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté).
Jeune homme: J'ai 3 questions:
1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme.
2.Qu'est- ce que le takdir(destiné) ?
3. Si le shaitan(Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu.Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça rendu à ce moment là ?
Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme.
Jeune homme(douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi !?
Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions.
Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas.
Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ?
Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr.
Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe?
Jeune homme: Oui.
Savant: Montre moi la forme de la douleur !
Jeune homme: Je ne peux pas.
Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme.
Savant: La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ?
Jeune homme: Non.
Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ?
Jeune homme: Non.
Savant: C'est ce que le takdir(destiné).
Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé?
Jeune homme: Elle a été créé de peau.
Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé?
Jeune homme: De peau.
Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé?
Jeune homme: Douleureux.
Savant: Même si Shaitan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insh-Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan.
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
C'est 1 histoire que j'avais piqué sur l'ancien Forum et que je souhaite re diffuser pour ceux qui ne la connaisse pas.
Salam aleycoum
Il était 4 h du matin
Lorsque la mort frappa à la porte.
Qui est-ce ? S'écria l'homme hébété.
Je suis Izraël. Laisse-moi donc entrer!
Alors l'homme se mit à trembler,
Comme pris d'une fièvre subite.
Il cria à sa femme endormie :
Ne le laisse pas me prendre la vie !
S'il vous plaît, O Ange de la mort !
Laissez-moi, je ne suis pas encore prêt.
Ma famille vit à mes dépens,
De grâce, ton acte suspend .
Déjà l'ange de la mort se tenait au seuil de sa porte.
Ô mon ami, l'ordre d'Allah ne peut être différé,
Prépare-toi, pour la tombe,
C'est pour maintenant.
Je te couvrirai d'or,
Mais épargne-moi la tombe sombre.
Pourquoi as-tu peur, ô homme, de mourir selon le vœu d'Allah ?
Viens, souris-moi et ne t'attriste point,
Soit heureux de revenir vers Lui.
Ô ange j'ai honte de moi, je n'avais pas le temps de penser à Allah,
Du matin au soir, je faisais ma richesse sans pensée pour ce moment.
Aux ordres d'Allah, je n'ai point obéi,
Tout comme jamais, cinq fois par jour, je n'ai prié.
Les "Ramadhan" venaient, les "Ramadhan" passaient,
Mais toujours sans mon repentir.
Le Hajj fut déjà Faraz sur moi,
Mais de mon argent, je ne voulus point me départir.
La charité, j'ignorais,
Mais l'usure et l'intérêt, je m'en accaparais.
Mes engagements, j'oubliais.
L’administration, je craignais,
De ma foi, j'avais honte.
Le blâme des mécréants m’effrayait.
La détresse de mes frères m’ennuyait.
Les artifices de ce monde m'attiraient.
Les mécréants, j'imitais,
Le champagne et le vin, j'appréciais.
Les femmes m'attiraient.
Malheur sur moi!
Ô ange, accorde-moi donc un sursis.
J'ai peur, dit l'ange, que ce moment soit le dernier de ta vie .
Ne sais-tu pas, qu'à la mort, goûtera chaque âme ?
Tu as vécu dans ce monde et tes parents tu as négligé,
Tandis que le mendiant, affamé, tu repoussais.
Tes filles chantent et dansent dans les boîtes de nuits.
Tes fils se sont perdus avec des femmes sans vertu ni foi.
Au lieu de procréer des musulmans,
Tu as fait de tes enfants des mécréants.
Riches, mais si pauvres !
L'appel du muezzin, tu ignorais,
Tout comme le Coran t'est étranger.
Tes promesses ne furent jamais tenu,
Et ton arme favorite était la calomnie.
Tes employés, tu sous-payais,
Et le fruit de leur travail, tu récoltais,
Jamais partagé avec le pauvre ou l'orphelin.
Les malades tu fuyais la compagnie.
Ô ange de la mort,
Je sais, j'ai honte
Que n'ai-je reçu de ta part,
Des signes, quelques avertissements,
De cette mort si imminente !
Âme misérable, le Créateur y a pourvu.
Point donc ne L'insulte, Il est parfait.
Mais à Ses signes tu restais sourd et aveugle.
Tes cheveux blancs t'annonçaient le retour...
Ta vue faiblissante t'annonçait le retour...
Ta force qui s'étiole t'annonçait le retour..
Ton échine recourbée t'annonçait le retour...
Voilà des avertissements suffisants,
Pour des gens qui réfléchissent !
Mais ta préoccupation se confinait à ce monde.
Puisque le Coran tu as ignoré,
Sache au moins alors, qu'il y était écrit
Que ce monde n'est qu'un éclair devant l'éternité.
Mais les avertissements du Coran, tu as dédaigné!
Cesse de pleurnicher, O humain!
Vers ton Créateur sera ton retour,
Car ton âme je la prends maintenant.
Le répit m'est interdit.
Un cri de l'homme et sur le sol il s'affaissa.
Son corps immobile, son visage éteint.
Il semblait se reposer, du sommeil éternel.
Son corps ne pouvait simplement plus exprimer
La douleur alors toujours intense de l'âme qu'on arrache.
Qu'Allah nous épargne du châtiment de l'enfer. Amine.
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
Amine
Craint Dieu où que tu soit