Hayiranké à Paris

[MARIRENME]

Vous avez compris la leçon : on ne provoque pas un Haïranké .
La prochaine fois, je raconterai les aventures d'un autre Gajaaganké qui s'appelle L. Bathily .

Asalam,
Après sa mésaventure dans le métro et le RER , notre super Hayiranké Fodiyé décide d'aller visiter la tour Eiffel dont il a entendu parler depuis son Hayiré natal. Malgré les recommandations de prudence de ses cousins Mister Fo prend la photo de la tour , du bus au métro à chaque fois il montre la photo pour se faire guider et sa phrase du jour est: Mouwa paritiri wouari ici en désignant la photo de la tour.
Enfin Mister Hay sort du métro et un cri de joie sort de sa bouche : Alla nan maama , sere joofe paripanda...!
D'un pas d'ancien paysan en une minute il est sous la tour en sortant gros ses yeux afin de contempler cette tour qui va faire de lui un vrai parisien.
Après avoir tourné quelques minutes Fodiyé décide coute que coute à voir le sommet de la tour et malin comme ses ancêtres , il soulève la tête mais n'arrive pas à voir le sommet , il se déplace d'un mètre et soulève la tête , le pauvre il décide de ne baisser la tête qu'après avoir vu le sommet de la tour. Et notre Hayiranké le poids de sa tête le fut basculer et il se retrouva par terre à coté de la poubelle au milieu d'un tas de canettes de bière... n'arrivant même plus à se relever.
Deux policiers qui ont suivi la scène du super Hay , viennent à son secours en essayant de le mettre sur ses jambes mais Mister Fo pris de peur en voyant les policiers ne pouvait plus se tenir sur ses jambes.
Sentant le "dolo" sur les habits , le policier lui demande : Vous êtes SOÛL Monsieur..? , le Hay qui croyait que le policier lui avait demander s'il était SEUL , il répondit par OUI. Alors le policier le prit par le bras et se dirigea vers le fourgon.
Notre Hay commença à réciter tous les "FIRIJU" que lui a pris son grand-père mais rien n'y fut... A cinq mètres du fourgon il aperçu son sauveur éternel Lass le super Gajaaganke de reference, qui le sauva des mains des policiers.
De retour au foyer de Belleville , son cousin Samba lui demanda : as tu vu la tour... ? notre Hay mister Fo répond: ... Non ! ils l'ont déplacée à cause de l'affluence...
Sacré Hayiranké !

[makalou]

Asalam,
Après sa mésaventure dans le métro et le RER , notre super Hayiranké Fodiyé décide d'aller visiter la tour Eiffel dont il a entendu parler depuis son Hayiré natal. Malgré les recommandations de prudence de ses cousins Mister Fo prend la photo de la tour , du bus au métro à chaque fois il montre la photo pour se faire guider et sa phrase du jour est: Mouwa paritiri wouari ici en désignant la photo de la tour.
Enfin Mister Hay sort du métro et un cri de joie sort de sa bouche : Alla nan maama , sere joofe paripanda...!
D'un pas d'ancien paysan en une minute il est sous la tour en sortant gros ses yeux afin de contempler cette tour qui va faire de lui un vrai parisien.
Après avoir tourné quelques minutes Fodiyé décide coute que coute à voir le sommet de la tour et malin comme ses ancêtres , il soulève la tête mais n'arrive pas à voir le sommet , il se déplace d'un mètre et soulève la tête , le pauvre il décide de ne baisser la tête qu'après avoir vu le sommet de la tour. Et notre Hayiranké le poids de sa tête le fut basculer et il se retrouva par terre à coté de la poubelle au milieu d'un tas de canettes de bière... n'arrivant même plus à se relever.
Deux policiers qui ont suivi la scène du super Hay , viennent à son secours en essayant de le mettre sur ses jambes mais Mister Fo pris de peur en voyant les policiers ne pouvait plus se tenir sur ses jambes.
Sentant le "dolo" sur les habits , le policier lui demande : Vous êtes SOÛL Monsieur..? , le Hay qui croyait que le policier lui avait demander s'il était SEUL , il répondit par OUI. Alors le policier le prit par le bras et se dirigea vers le fourgon.
Notre Hay commença à réciter tous les "FIRIJU" que lui a pris son grand-père mais rien n'y fut... A cinq mètres du fourgon il aperçu son sauveur éternel Lass le super Gajaaganke de reference, qui le sauva des mains des policiers.
De retour au foyer de Belleville , son cousin Samba lui demanda : as tu vu la tour... ? notre Hay mister Fo répond: ... Non ! ils l'ont déplacée à cause de l'affluence...
Sacré Hayiranké !

Salam...

Bon je t'épargne Fodyé... Je te laisse avec la Tour Eifel.

[MARIRENME]

Le Hayiranké et la Pelouse de Nicole

Mister Fod le super Hay ne s'habituera jamais à la vie française...
Un dimanche matin après un long coup de "mexenkacce" avec sa dulcinée et les deux "bodolenmu" , il ne cesse de penser au froid qui sévit actuellement au Hayiré surtout quand sa dulcinée lui a dit qu'elle a été chercher du "digicce" tout au long des berges du fleuve sunugaal...
C'est ainsi que Mister Fod super amoureux comme tous les Hay , décide de trouver du "digicce" made in france pour sa Hayirankée préférée.
De la fenêtre de sa chambre du foyer à Belleville , notre Hay voit la pelouse de la vieille Nicole Bertrand qui s'y occupe malgré ses 80 ans.
Mister Fod qui croit que la pelouse de la vieille dame est du bon "digicce" de bonne qualité , décide d'aller en chercher comme cela doit être gratuit et se dit que cette vieille dame va être contente car il va travailler pour elle gratuitement afin que lui aussi puisse envoyer du " tibaabun digicce" pour sa femme. C'est ainsi qu'armer de son " fanti " acheté à Chateaux rouge , il déterra toute la pelouse de la dame Nicole sans y trouver un seul " tibaabun digicce"... Au moment de sortir de la maison , il fut surpris par Nicole qui cria de fureur en voyant sa belle pelouse devenue un nouveau chantier d'un Hay amoureux... Elle pris le Hay par le collet qui tremblotait comme une feuille et lui demande pourquoi il a mis sa belle pelouse dans cet état...?
Il répondit qu'il a eu sa dulcinée au téléphone qui voulait du " tibaabun digicce" alors il a essayé d'en trouver ici mais la pelouse de madame Nicole est stérile...
Sacré Hyiranké !

[idipro]

Le Hayiranké et la Pelouse de Nicole

Mister Fod le super Hay ne s'habituera jamais à la vie française...
Un dimanche matin après un long coup de "mexenkacce" avec sa dulcinée et les deux "bodolenmu" , il ne cesse de penser au froid qui sévit actuellement au Hayiré surtout quand sa dulcinée lui a dit qu'elle a été chercher du "digicce" tout au long des berges du fleuve sunugaal...
C'est ainsi que Mister Fod super amoureux comme tous les Hay , décide de trouver du "digicce" made in france pour sa Hayirankée préférée.
De la fenêtre de sa chambre du foyer à Belleville , notre Hay voit la pelouse de la vieille Nicole Bertrand qui s'y occupe malgré ses 80 ans.
Mister Fod qui croit que la pelouse de la vieille dame est du bon "digicce" de bonne qualité , décide d'aller en chercher comme cela doit être gratuit et se dit que cette vieille dame va être contente car il va travailler pour elle gratuitement afin que lui aussi puisse envoyer du " tibaabun digicce" pour sa femme. C'est ainsi qu'armer de son " fanti " acheté à Chateaux rouge , il déterra toute la pelouse de la dame Nicole sans y trouver un seul " tibaabun digicce"... Au moment de sortir de la maison , il fut surpris par Nicole qui cria de fureur en voyant sa belle pelouse devenue un nouveau chantier d'un Hay amoureux... Elle pris le Hay par le collet qui tremblotait comme une feuille et lui demande pourquoi il a mis sa belle pelouse dans cet état...?
Il répondit qu'il a eu sa dulcinée au téléphone qui voulait du " tibaabun digicce" alors il a essayé d'en trouver ici mais la pelouse de madame Nicole est stérile...
Sacré Hyiranké !

Ceci est une histoire vraie...
Un Gajaganke qui descend sur Paris un samedi matin sur le vol AF719 en provenance de dakar, une fois a l'aeroport, il dit a son oncle qui est venu le rencontrer: " Nkawou nkigner faranchi, il fokou anni ndenni sanchelizer, guilli guilli nga abio nokho nii siimen do nkenia"
son oncle lui repondit " ya pas de problem, allons au foyer d'abord apres on ira l'apres midi"
Et comme aux champs, il y'a toujours du monde, la 1ere gaffe que Gajaganke Bledard dit c'est: " eh diom kaou ke serrer sou kha, itel kamba, kou gagni dembakane gampi gouneke sokke niemena." son oncle l'ignora.
Comme c'est la plus grande avenue du monde avec plein de boutiques, le Gajaganke n'arrete pas de regarder les mannequins qui sont derriere les vitrines, les yeux grand ouverts, a peine le yaaro qui sort. Ils ont marcher toute la grande avenue jusqu'a etre fatiguer, apres son oncle lui dit "amokho khorona faller fayi kati foyer" et le Gajaganke bledard de dire " yo won daga".
Et ils reprennent le meme chemin de retour devant les vitrines et le Gajaganke bledard toujours fasciner par ses mannequins derriere les vitrines, et comme c'est un vrai gajaganke, il dit a s son oncle " mais nkawou, kou yakharou kha ga sikk guilli guilli birom ido yiramou faranporo, sere raay sefene idang ba? berri nkenii i moulla mener?" et son oncle de dire " ankha ang fomoul yakhare, kou feti sorro ". Meme avec sa le Gajaganke Bledard n'y crois toujours pas...
moralite, ne pas aller dans un endroit pleins de mannequins dans des vitrines, on risque de lui donner une fausse joie.
Bon debut de semaine a toutes et a tous...
ps: desole pour la prononciation, j'ai pas un clavier francais.

[makalou]

Ceci est une histoire vraie...
Un Gajaganke qui descend sur Paris un samedi matin sur le vol AF719 en provenance de dakar, une fois a l'aeroport, il dit a son oncle qui est venu le rencontrer: " Nkawou nkigner faranchi, il fokou anni ndenni sanchelizer, guilli guilli nga abio nokho nii siimen do nkenia"
son oncle lui repondit " ya pas de problem, allons au foyer d'abord apres on ira l'apres midi"
Et comme aux champs, il y'a toujours du monde, la 1ere gaffe que Gajaganke Bledard dit c'est: " eh diom kaou ke serrer sou kha, itel kamba, kou gagni dembakane gampi gouneke sokke niemena." son oncle l'ignora.
Comme c'est la plus grande avenue du monde avec plein de boutiques, le Gajaganke n'arrete pas de regarder les mannequins qui sont derriere les vitrines, les yeux grand ouverts, a peine le yaaro qui sort. Ils ont marcher toute la grande avenue jusqu'a etre fatiguer, apres son oncle lui dit "amokho khorona faller fayi kati foyer" et le Gajaganke bledard de dire " yo won daga".
Et ils reprennent le meme chemin de retour devant les vitrines et le Gajaganke bledard toujours fasciner par ses mannequins derriere les vitrines, et comme c'est un vrai gajaganke, il dit a s son oncle " mais nkawou, kou yakharou kha ga sikk guilli guilli birom ido yiramou faranporo, sere raay sefene idang ba? berri nkenii i moulla mener?" et son oncle de dire " ankha ang fomoul yakhare, kou feti sorro ". Meme avec sa le Gajaganke Bledard n'y crois toujours pas...
moralite, ne pas aller dans un endroit pleins de mannequins dans des vitrines, on risque de lui donner une fausse joie.
Bon debut de semaine a toutes et a tous...
ps: desole pour la prononciation, j'ai pas un clavier francais.

Salam

Tu viens de donner en spectacle ton frère Hayranké de Dembakani...Dembakani, c'est Hayré, ce sont tes cousins lol.
Sacré Hayranké.