Quelques petites histoires insolites!

[parisgirl]

Voici quelques histoires insolites mais vrai que j'ai trouvé sur internet.

Royaume-Unis

Manger le plus de gâteaux possibles. Tel était l'idée du "concours" auquel a participé un Britannique de 34 ans dans un café de Swansea, au sud du Pays de Galles. "Il y avait tout un festin et quand la soirée a fini aux premières heures du jour, il en restait encore beaucoup", a raconté un témoin au tabloïd The Sun. "Quelqu'un a [alors] suggéré de voir combien de temps il leur faudrait pour manger cette pile de gâteaux. Deeley. Mais subitement quelqu'un a commencé à s'étrangler."
Selon le journal, jusqu'à cinq mini-gâteaux sont en effet restés bloqués dans la gorge du jeune homme. Malgré l'intervention des ambulanciers, l'homme n'a pas pu être sauvé et est décédé à l'hôpital. La police a estimé que les gâteaux avaient pu "contribuer à son décès", mais l'enquête sur les causes de sa mort n'est pas bouclée.

France

La lettre n'était pas timbrée. Quel est le tarif pour écrire "au Ciel" ? La question peut paraître absurde mais la Poste y a trouvé une réponse. L'histoire est contée par le Journal de Saône-et-Loire dans son édition de jeudi.
Pour le deuxième anniversaire de la mort de sa mère, Anaïs, 13 ans et toujours inconsolable, avait décidé d'envoyer "un message d'amour comme une bouteille à la mer" à cette maman qui lui manquait tant, relate le quotidien. La jeune fille avait posté alors symboliquement une lettre dans une commune du Châtillonnais, avec le nom et le prénom de sa mère et comme adresse, la "rue du Paradis au Ciel", sans toutefois l'affranchir. Deux jours plus tard son courrier lui est revenu avec la mention "n'habite pas à l'adresse indiquée" et une "taxe d'1,35 euros" lui a été réclamée par le préposé.
Pour sa défense, la Poste a précisé au quotidien que la commune de "Ciel" existe bien en Saône-et-Loire mais que "la rue du paradis y est inconnue".

Mexique

Sa famille le croyait aux mains de malfrats sans scrupule, il était dans celles de prostituées pleines de bonnes intentions... Un politicien mexicain a simulé son propre enlèvement pour passer la nuit avec des filles de joie sans que son épouse le sache.

La femme de Marcos Tachiquin, dirigeant local du Parti d'action nationale, ne voyant pas rentrer son mari mercredi matin, a lancé un appel sur une radio pour tenter de le localiser et le présentateur de l'émission a aussitôt appelé le procureur.

Marcos Tachiquin a regagné son domicile peu après et a prétendu qu'il avait été enlevé par six hommes armés qui lui avaient dérobé son argent, son téléphone portable et l'avaient battu avant de le libérer en rase campagne loin d'Aguascalientes.

Double conduite morale

Le politicien a conclu en accusant la police "de ne pas faire son travail comme il se doit", ce qui a rendu furieux le maire d'Aguascalientes qui, après enquête, a révélé que Marcos Tachiquin, accompagné de deux amis, avait passé la nuit au Gold Palace, établissement de prostitution d'Aguascalientes, jusqu'au matin.

"Marcos Tachiquin, à la double conduite morale, n'a jamais été enlevé, il n'a jamais été battu, on ne lui a volé ni argent ni téléphone portable", a déclaré le maire, adversaire politique Marcos Tachiquin. "Il était gai et était entouré de plusieurs filles qui travaillent" dans l'établissement, a témoigné un policier.

Etats-Unis

L'incident s'est produit en décembre dernier, alors que Tripp Isenhour tournait une vidéo sur l'apprentissage du golf. Ce joueur professionnel américain, excédé par les cris d'un faucon perché dans un arbre à 275 mètres de là, a visé l'oiseau à plusieurs reprises, avec son meilleur swing.

Dans une première tentative d'intimidation, Tripp Isenhour a pris une voiturette pour s'approcher et a frappé des balles en direction de l'oiseau pour tenter - en vain - de le faire taire. Le faucon, protégé par la loi sur la conservation des espèces, s'est alors approché de lui à moins de 70 mètres. Isenhour a répété ses frappes et à la 10e balle, il a mortellement touché l'oiseau.

Un membre de l'équipe l'a ensuite enterré sur place, mais le volatile a été déterré pour les besoins de l'enquête, suite au témoignage du preneur de son, qui a dénoncé le golfeur. Tripp Isenhour, qui risque jusqu'à un an de prison, a expliqué qu'il adorait les animaux et qu'il était lui-même propriétaire de trois chats.

Chine

Un cadre communiste du sud-ouest de la Chine a été obligé de démissionner pour avoir piqué un somme en pleine réunion, a indiqué samedi l'agence Chine Nouvelle. Jiang Wenhui a dû renoncer vendredi à ses fonctions de vice-directeur du Bureau de promotion des investissements du district de Chenggong, dans la province du Yunnan.

Mercredi, à Kunming, dans la capitale de la province, il s'était endormi alors qu'il se trouvait au premier rang d'une réunion officielle sur les zones de développement économique. Il avait été réveillé par le chef du Parti communiste de Kunming en personne.

"C'était lui qui devait prendre des notes lors de l'exposé sur les investissements mais ses ronflements ont montré qu'il n'était pas intéressé par son travail", a estimé un internaute, cité par Chine Nouvelle. Mais d'autres internautes ont pris sa défense en relevant que les réunions officielles sont souvent assommantes en Chine, les cadres du Parti communiste étant adeptes le plus souvent de la langue de bois.

France

Une lettre qui avait disparu le 19 février 1968 vient d'être retrouvée dans un immeuble de Rodez, après être restée 37 ans coincée entre la boîte à lettres et le mur. Le courrier, une enveloppe carrée marron, timbrée à l'époque 0.30 francs, avait été normalement distribué dans la boîte à lettres du destinataire.

Mais, le casier étant fissuré, le courrier a glissé et s'est retrouvé coincé entre la boîte et le mur de l'immeuble, où il est resté 37 ans, jusqu'au 27 septembre 2005. Découverte par hasard à la suite de travaux effectués par les co-propriétaires de l'immeuble, la lettre a été adressée à la direction départementale de la Poste de l'Aveyron. La Poste s'est chargée de restituer le courrier à un membre de la famille du destinataire.

Etats -Unis

Renifler ses aisselles ou encore se faire un brushing : certains candidats n'ont vraiment peur de rien lors d'un entretien d'embauche. Aux Etats-Unis, un palmarès des dix entretiens les plus étonnants été établi par le cabinet Harris Interactive après enquête auprès de 3061 patrons et responsables des ressources humaines pour le site internet de recherche d'emplois CareerBuilder.com.
Un candidat a ainsi décroché son téléphone portable et demandé à la personne qui lui faisait passer l'entretien de quitter la pièce parce qu'il s'agissait d'une conversation "privée". Un autre a cru bon de prévenir qu'il démissionnerait dès qu'il aurait hérité de son oncle, et que ce dernier était "mal en point". Une candidate a affirmé qu'elle ne pouvait présenter aucun échantillon de son écriture, parce que tous ses écrits avaient été "classés secrets" par la CIA. Un autre a reconnu avoir été renvoyé de son précédent emploi pour avoir frappé son supérieur.
Une brosse à cheveux en plein entretien d'embauche
Quand on lui a proposé quelque chose à manger avant l'entretien, un postulant a répondu qu'il préférait ne pas se remplir l'estomac avant de sortir boire des verres. Un autre a tiré la chasse d'eau alors qu'il était au téléphone avec son ex-futur employeur. Enfin, une femme a sorti sa brosse à cheveux en plein entretien...
Les enquêteurs ont également demandé aux patrons quelles étaint les erreurs les plus fréquentes et les plus préjudiciables lors d'un entretien d'embauche. Plus de la moitié (51%) d'entre eux ont évoqué une tenue inappropriée, 49% des propos négatifs à l'encontre de son actuel ou ancien patron. De même, montrer de l'indifférence, faire preuve d'arrogance, donner des réponses floues ou poser de mauvaises questions peuvent être jugés rédibitoires.

[tounkara coumba]

ah! les gens ils abusent grave..........

[Gas]

A qui le tour