Vos blagues et humours

[oryginale]

C'est l'histoires de trois groupes de soninké 1 gajaaganké, 1 Hayranké et 1 Fuutanké qui découvrent un génie. Il leur dit jetez n'importe quoi dans l'océan s'il le retrouve la personne meurt et S'il ne le retrouve pas la personne deviendra l'homme le plus heureux du monde.

Le Gajaaganké jette un cure-dent dans fleuve du Sénégal à Bakael, le génie le retrouve, Le gajaaganké meurt.

Le Hayranké jette un clou dans une mare de boue, le génie le retrouve, il meurt aussi.

Le Fuutanké (les plus intelligents du monde) jette quelque chose, dans une branche du fleuve Sénégal.

Le génie cherche, cherche, cherche, recherche et recherche encore. A bout de force, le génie lui demande qu'as-tu jeté ?

Le Fuutanké lui répond...

un Efferalgan !!!

un Efferalgan !!!

Excellent j'adoooooore

[ROUMBALOVE]

Bonjour,

C'est un type qui va en Afrique chasser le gorille avec un guide.

Un beau matin le guide arrive avec un filet, un chien et un fusil et lui dit :
- Ce matin on va capturer un gorille, je t'explique la technique : on repère un arbre où il y a un gorille, je monte dedans, je secoue l'arbre, le gorille tombe et là le chien (qui est dressé pour ça) le mord aux testicules, ça paralyse le gorille et tu n'as plus qu'à le capturer au filet.
- OK, mais le fusil c'est pourquoi faire ?
- Si c'est moi qui tombe, tu tues le chien....

Très bonne journée.

Tchooo

Pas mal!

[Tribal Cams]

Bonjour,

Un gendarme en moto arrête un gars pour excès de vitesse manifeste :

- Monsieur, pourrais-je voir votre permis de conduire, s'il-vous-plaît ?
- Je n'en ai plus. On me l'a retiré il y a des mois après 5 infractions graves.
- Puis-je voir les papiers du véhicule? - Je ne sais pas. Ce n'est pas ma voiture, je l'ai volée.
- Ce véhicule est volé ??
- C'est exact. Mais maintenant que j'y pense, j'ai cru voir des papiers dans la boîte à gants, quand j'y ai rangé mon revolver.
- Il y a un revolver dans la boîte à gants
- Oui, Monsieur. C'est là que je l'ai mis quand j'ai tué cette femme et pris sa voiture.
- Vous... vous avez tué la propriétaire de cette voiture ??
- Oui, Monsieur. Le cadavre est d'ailleurs encore dans le coffre.
- Le... le cadavre est dans... le coffre ??!?
- Oui, Monsieur.

Le gendarme recule de deux pas, empoigne sa radio et appelle des secours, qui arrivent vite fait, encerclant la voiture.

Un officier s'approche du conducteur :
- Puis-je voir vos papiers, Monsieur ?
- Voici.
Les papiers sont en ordre.
- Puis-je voir les papiers du véhicule ?
Le conducteur ouvre la boîte à gants, les 10 tireurs d'élite entourant la voiture, épaulent. Le conducteur sort les papiers. Il est bien le propriétaire de la voiture. L'officier, jetant un oeil dans la boîte :
- Vous n'avez pas d'arme ?
- Non, Monsieur.
- Voulez-vous sortir de votre voiture, sans mouvement brusque, et ouvrir votre coffre ?
Le conducteur sort. Ouvre le coffre. Qui est vide, évidemment.
L'officier :
- Je ne comprends pas, Monsieur, il m'a été rapporté que vous conduisiez, sans papiers, cette voiture volée après avoir tué sa passagère au moyen d'une arme cachée dans la boîte à gants, et dont le corps se trouvait dans le coffre...
- Et je suppose que le type qui vous a raconté cela vous a dit aussi que je roulais trop vite......

Très bonne journée.

Tchooo

[Fodyé Cissé]

Un guidimakhanké et un gadiaaganké font la queue à La Poste et il n'y a qu'un seul guichet ouvert. Les 2 hommes se suivent dans la file d'attente sans savoir qu'ils sont tous les 2 soninké.

Vint le tour du gadiaaganké. Il se présente au guichet et dit :
- Madamou, bonsour, se le vouler savoirou si tu l'as l'argent ou pas?
La dame répond :
- Pardon
- Moi che woulais sawaoir si toi tu l'as l'argent.
- Attendez monsieur, pourquoi vous voulez savoir si j'ai de l'argent.

Le Gajaaganké commence à s'ennerver :
- Oh khooooo, Mais kun ta fo faamounou.

Là le guidimakhanké qui entend le gars parler en Soninké avance d'un pas pour servir d'intermédiare.
- Yougo, assalamoualeykoum, an ni manne moula.
- Ku toubaabunin ta fo faamunu. Nke da a tirindi ya gelli gana ñi xaalisi ga ri nkonte.

Le guidimakhanké:
- Ah d'accorou. Madamou, ce le missier woulait sawoirou si il est tombé l'argent .

- Pardon ...

Le haïranké, lui, qui se tordait de rire décide enfin d'intervenir pour régler la situation.

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Un guidimakhanké et un gadiaaganké font la queue à La Poste et il n'y a qu'un seul guichet ouvert. Les 2 hommes se suivent dans la file d'attente sans savoir qu'ils sont tous les 2 soninké.

Vint le tour du gadiaaganké. Il se présente au guichet et dit :
- Madamou, bonsour, se le vouler savoirou si tu l'as l'argent ou pas?
La dame répond :
- Pardon
- Moi che woulais sawaoir si toi tu l'as l'argent.
- Attendez monsieur, pourquoi vous voulez savoir si j'ai de l'argent.

Le Gajaaganké commence à s'ennerver :
- Oh khooooo, Mais kun ta fo faamounou.

Là le guidimakhanké qui entend le gars parler en Soninké avance d'un pas pour servir d'intermédiare.
- Yougo, assalamoualeykoum, an ni manne moula.
- Ku toubaabunin ta fo faamunu. Nke da a tirindi ya gelli gana ñi xaalisi ga ri nkonte.

Le guidimakhanké:
- Ah d'accorou. Madamou, ce le missier woulait sawoirou si il est tombé l'argent .

- Pardon ...

Le haïranké, lui, qui se tordait de rire décide enfin d'intervenir pour régler la situation.

La guerre des blagues est ouverte encore.

[Tribal Cams]

Fodyé tu commence en plus tu as inversé les roles petit bandit mollé yigana.

Tchooo

[Alhadji Timera]

Un guidimakhanké et un gadiaaganké font la queue à La Poste et il n'y a qu'un seul guichet ouvert. Les 2 hommes se suivent dans la file d'attente sans savoir qu'ils sont tous les 2 soninké.

Vint le tour du gadiaaganké. Il se présente au guichet et dit :
- Madamou, bonsour, se le vouler savoirou si tu l'as l'argent ou pas?
La dame répond :
- Pardon
- Moi che woulais sawaoir si toi tu l'as l'argent.
- Attendez monsieur, pourquoi vous voulez savoir si j'ai de l'argent.

Le Gajaaganké commence à s'ennerver :
- Oh khooooo, Mais kun ta fo faamounou.

Là le guidimakhanké qui entend le gars parler en Soninké avance d'un pas pour servir d'intermédiare.
- Yougo, assalamoualeykoum, an ni manne moula.
- Ku toubaabunin ta fo faamunu. Nke da a tirindi ya gelli gana ñi xaalisi ga ri nkonte.

Le guidimakhanké:
- Ah d'accorou. Madamou, ce le missier woulait sawoirou si il est tombé l'argent .

- Pardon ...

Le haïranké, lui, qui se tordait de rire décide enfin d'intervenir pour régler la situation.

Trop fort

[ROUMBALOVE]

- Bonjour ! C'est la réception ?
J'aimerais parler avec quelqu'un à propos d'un patient qui se trouve chez vous. J'aurais souhaité connaître son état de santé, savoir s'il va mieux ou si son problème s'est aggravé.

- 'Quel est le nom du patient ?

- Il s'appelle Cheikna WAGUE et il est à la chambre 302.

- Un instant je vous prie, je vous passe l'infirmière.

Après une longue attente :

- Bonjour, ici Françoise l'infirmière de service. Que puis-je pour vous ?

- J'aimerais connaître l'état du patient Cheikna WAGUE de la chambre 302.

- Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde.

Après une plus longue attente :

- Ici Le Dr. Jean, le médecin de garde ; je vous écoute.

- Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l'état de Monsieur Cheikna WAGUE, qui se trouve chez vous depuis 3 semaines à la chambre 302.

- Un instant, je vais consulter le dossier du patient.

Après encore une autre attente :

- Huuuummm, Le voici : il a bien mangé aujourd'hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement on va lui enlever le monitoring cardiaque demain, si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d'ici le week-end.

- Aaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie. Merci.

- Par votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu'un de très proche, certainement de la famille ?

- Non, Monsieur ! Je suis Cheikna WAGUE moi-même et je vous appelle du 302 ! Tout le monde entre et sort ici de ma chambre ... Et personne ne me dit rien...
Je voulais juste savoir comment je me porte ! Merci bien !

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

- Bonjour ! C'est la réception ?
J'aimerais parler avec quelqu'un à propos d'un patient qui se trouve chez vous. J'aurais souhaité connaître son état de santé, savoir s'il va mieux ou si son problème s'est aggravé.

- 'Quel est le nom du patient ?

- Il s'appelle Cheikna WAGUE et il est à la chambre 302.

- Un instant je vous prie, je vous passe l'infirmière.

Après une longue attente :

- Bonjour, ici Françoise l'infirmière de service. Que puis-je pour vous ?

- J'aimerais connaître l'état du patient Cheikna WAGUE de la chambre 302.

- Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde.

Après une plus longue attente :

- Ici Le Dr. Jean, le médecin de garde ; je vous écoute.

- Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l'état de Monsieur Cheikna WAGUE, qui se trouve chez vous depuis 3 semaines à la chambre 302.

- Un instant, je vais consulter le dossier du patient.

Après encore une autre attente :

- Huuuummm, Le voici : il a bien mangé aujourd'hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement on va lui enlever le monitoring cardiaque demain, si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d'ici le week-end.

- Aaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie. Merci.

- Par votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu'un de très proche, certainement de la famille ?

- Non, Monsieur ! Je suis Cheikna WAGUE moi-même et je vous appelle du 302 ! Tout le monde entre et sort ici de ma chambre ... Et personne ne me dit rien...
Je voulais juste savoir comment je me porte ! Merci bien !

Belle blague! Cela prouve à quel point les agents de santé peuvent être négligents!

Mais, je te conseille de faire attention en utilisant mon prénom. Il faut préalablement demander la permission d'une personne pour laquelle je suis cher, sinon gare à toi dé.

[Lassana Bathily]

Un guidimakhanké et un gadiaaganké font la queue à La Poste et il n'y a qu'un seul guichet ouvert. Les 2 hommes se suivent dans la file d'attente sans savoir qu'ils sont tous les 2 soninké.

Vint le tour du gadiaaganké. Il se présente au guichet et dit :
- Madamou, bonsour, se le vouler savoirou si tu l'as l'argent ou pas?
La dame répond :
- Pardon
- Moi che woulais sawaoir si toi tu l'as l'argent.
- Attendez monsieur, pourquoi vous voulez savoir si j'ai de l'argent.

Le Gajaaganké commence à s'ennerver :
- Oh khooooo, Mais kun ta fo faamounou.

Là le guidimakhanké qui entend le gars parler en Soninké avance d'un pas pour servir d'intermédiare.
- Yougo, assalamoualeykoum, an ni manne moula.
- Ku toubaabunin ta fo faamunu. Nke da a tirindi ya gelli gana ñi xaalisi ga ri nkonte.

Le guidimakhanké:
- Ah d'accorou. Madamou, ce le missier woulait sawoirou si il est tombé l'argent .

- Pardon ...

Le haïranké, lui, qui se tordait de rire décide enfin d'intervenir pour régler la situation.

Mdrrrrrrrrr,tu es tres fort quand il s'agit d'inverser les rôles.