La poésie!

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Bsr "frére" sérieusement si ma maman était vivante j'allais copié ton pémes pr lui remettre "hélas" la vie et ainsi. super ton poéme je prie dieu q"un jour un de mes fils puisse " me voir" avec cet oeil la. que dieu te garde ta maman que j'aime déja son la connaitre "ca donne envie en tout cas d'etre une bonne mére".
chapeau bat.

Paix à l'âme de ta mère. Et amine pour tes prières de longévité pour ma mère. Moi aussi, c'est dommage que ma mère ne lit pas le français. Mais j'ai demandé à ma petite sœur de lui faire la traduction en soninké pour qu'elle sache que ce poème que je lui ai dédié vient du fond de moi même. Je n'ai pas voulu lui faire moi-même cette traduction, car ça m'aurait beaucoup gêné. En tout cas, après traduction, elle l'a beaucoup aimé. Je tiens à dire que c'est à partir de son nom et de son prénom que j'ai composé le poème (lisez verticalement les premières lettres en gras). Le voici de nouveau pour ceux et celles qui ne l'avaient pas lu :

Bonsoir

C’est un plaisir pour moi de partager, après moult et moult hésitations, ce poème acrostiche que j’ai dédié comme hommage à ma mère, en témoignage de l’admiration et de l’amour que j’ai pour sa personne. C’est aussi une sorte de reconnaissance à son égard pour sa formidable contribution à la construction de ma personnalité, aussi frêle soit-elle encore.

Les Soninkés disent : « an ma gana siro an ŋa a ko, bari yogo ma bono ayi », c’est-à-dire : « Quand ta mère te rend des louables services, autant le dire publiquement, car peut-être quelqu'un d'autre n’a que des amertumes de la part de sa mère. » De sorte que la mère qui n’agit pas de la bonne façon puisse intégrer le bon exemple.

A ce titre, il va sans dire qu’aucune éloquence littéraire, aussi bien ficelée soit-elle, ne peut ni vraiment décrire ce que cette dame, à l’allure sereine, m’a rendu et me rend encore comme bons et loyaux services, ni exprimer de façon concrète l’admiration, la confiance et la considération que m’inspire la vraie soninkée qui est cette mère qui m’a tant donné. Les lignes poétiques, bien que faites aux aurores de la réflexion, sont pour ainsi dire que des épiphénomènes face à la grandeur et à la constance de son apport.

En vous souhaitant une très bonne lecture, je vous rappelle que, en plus de ma mère, ce poème est aussi dédié à toutes les mères ou futures mères du monde, qu’elles soient biologiques ou adoptives, vives ou éteintes.

Hommage d’un fils à sa mère

Fille unique, tu es une source intarissable de tendresse et d’inspiration
Aimable et avenante, ton simple regard me suffit comme protection
Ta douceur maternelle et ta générosité n’ont d’égales que ton imagination
Où que je sois ton amour m’accompagne, ainsi que ton attention
Ultra-douce et mélodieuse, l’audition de ta voix me fait sensation
Mort ou vif, j’appliquerai tes sages conseils sans aucune restriction
A toi, je dois tout, à ton endroit, je demande excuses et bénédictions
Tu es une mère, plus qu’une mère, une vraie conseillère dans mes orientations
A toi seule, je rends ici un hommage de reconnaissance pour ton admiration


Kaédi, ton terroir de naissance, te suffit comme gîte et lieu de satisfaction
Attentive, tu as fait de l’éducation de ta progéniture une vraie dévotion
Orpheline de père, tu n’avais pourtant jamais connu ni tristesse, ni désolation
Unique dans ton genre, tu as été éduquée dans la vive piété et dans l’adoration


Dotée de belles qualités féminines, tu t’es distinguée par tes grandes résolutions
Imposante par ta taille et ton teint d’ébène, tu es pourtant sans aucune prétention
Adulée et aimée par ta progéniture, tu demeures une mère aux multiples solutions
Gaieté, tu nous y as éduqué, sans exagération aucune, mais aussi sans coercition
Ardente, tu mérites ton nom de mère qui, pour ta progéniture, est une attraction
Ni calomnie, ni haine ne t’animent, tu es, pour la sympathie, une réelle incarnation
A toi, je me fie, à toi, je me confie nuit et jour sans aucune indiscrétion.

Auteur : Cheikhna-Mouhamed WAGUÉ

Bien à tout le monde!

[maman aziza]

Paix à l'âme de ta mère. Et amine pour tes prières de longévité pour ma mère. Moi aussi, c'est dommage que ma mère ne lit pas le français. Mais j'ai demandé à ma petite sœur de lui faire la traduction en soninké pour qu'elle sache que ce poème que je lui ai dédié vient du fond de moi même. Je n'ai pas voulu lui faire moi-même cette traduction, car ça m'aurait beaucoup gêné. En tout cas, après traduction, elle l'a beaucoup aimé. Je tiens à dire que c'est à partir de son nom et de son prénom que j'ai composé le poème (lisez verticalement les premières lettres en gras). Le voici de nouveau pour ceux et celles qui ne l'avaient pas lu :



Bien à tout le monde!

mérci "frére cheikna".

[maman aziza]

[QUOTE=khadijaa;32128]Dans ma tête tout se bouscule
Les peines, les soucis s'accumulent
c'est le debut des larmes
Je dois reprendre mon calme

Je me sens strssée et angoissée
J'aimerai tant être réconfortée
Me sentir plus liberée
Pour affronter cette réalité

Retrouver cette paix, cette tranquilité
Qui m'a acccompagné durant toutes ces années
Mon état est passagére
Et seul Dieu pourra maider et me soulager

Allah c'est à toi que je demande secours
Nul ne peut être sauvé sans ta miséricorde
et ton amour
Guide moi vers la meilleure voie
Purifie mon coeur et renforce ma foi
Une foi qui me protege et m'entoure
Qui me donne la force
dans les mauvais jours[/QUOTE

ton poéme et super sincére je l'ai copié dans mon blog" merci pour ses lignes" j'éspére te relire bientot" j'aime les poémes mais hélas je ne sais pas les écrires"bisou amicalement aziza.

[maman aziza]

Depuis que je suis avec toi
Ma vie n’est que bonheur et joie

Bien sur, on connait des hauts et des bas
C’est grâce à cela qu’on avance, n’est-ce pas ?

A chaque fois que j’ai cru connaitre le pire
Tu as réussi à me faire rire et sourire

A tes côtes je me sens protégée
Prés de toi je suis en sécurité

Pour tout cela j’ai envie de te remercier
Te dire que tu es ma fierté

Tu es mon âme, tu es ma vie
Tu es ce que j’ai de plus précieux

A toi mon homme je te dis merci
J’implore Allah le glorieux

De te préserver de tout mal
Car tu es la prunelle de mes yeux

Bjr soeur
ton poéme et tellement cool que je me suis permi de l'affichez dans mon blog.
merci a toi pour ses lignes j'éspére te relire bientot amicalement aziza.

[maman aziza]

Cher poétes
j'ai aimée et surtout apréciée la plus part de vos écris, ce qui m'on le plus touché je les ai copié sur mon sites. merci a tous.
NB: chapeau bat a tous.

"amicalement aziza".
"LAY YAHFADOUK MINE KOULE CHAR"

[maman aziza]

Bonsoir
Avez-vous eu à composer des poémes pour des circonsatances particulières, pour des gens qui vous sont chères, etc? Auquel cas vous voudrez bien accepter de les partager avec nous ici. Trés cordialement!

A mon mari "alwata.m"
Je poème,Sous ton regard
Pétillant d'amour et de tendresse
Puisant dans tes yeux,
L'encre qui s'alignera sur mon papier.
Je poème,Sous tes baisers,
Merveille d'amour, qui me fait chavirer
Chaque fois que je suis dans tes bras.
Je poème,De tes soupirs
De ton cœur, dont tu m'as ouvert la porte
M'inspirant de son battement
Comme une musique.
Je poème, D'amour
Frissonnant sous tes caresses
Déposées sur ma peau
Couleur tendresse.
Je poème, Près de toi
M'imbibant de ta douceur
Celle que tu as déposée dans mon cœur
D'une main agile mon crayon glisse,
Sur le papier pour décrire cet amour.
Je poème,criante de joie
Hurlante de bonheur.
Je poème, Car ...je t'aime.

[maman aziza]

Ton regard m'attire
Il m'appelle, larmoyant de désir
J'aimerais poser mes mains sur ton visage
Caresser ses contours comme un rivage sauvage
Que l'on veut découvrir
Sans peur de s'attendrir
Sous le frôlement de mes doigts
Te laissant dans le désarroi
Dessinant la forme de tes lèvres
Te mettant en fièvre
Espérant un baiser de moi
Oserais-je te laisser dans un tel émoi !!!
je t aime « Alwata ».
"10ans déja"

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Bonsoir!

Très touché par la mort de Ganda Fadiga, cet homme qui m’a toujours accompagné par ses cordes sonores (ganbare) durant toute ma vie estudiantine et qui m’a toujours permis de dépasser la solitude, je m’impose aujourd’hui un devoir de composer ce poème acrostiche à son honneur. Je reconnais que ces quelques lignes sont loin de pouvoir rendre compte de toute la sympathie et de l’affection que j’ai toujours eu pour cet homme pieux, exceptionnel et talentueux, pour ce monument du Sooninkaaxu. Mais vu mon attachement à cet homme et à sa musique, il m’est interdit de dormir ce soir, à la veille de cette fête sacrée, sans consacrer ces quelques lignes à la bibliothèque ambulante qu'il était, au fils de Diombokhou Maréna, l’ancien élève de Diadia Sira.

Hommage à Ganda Fadiga, un griot exceptionnel

Gardien du Sooninkaaxu, nous te pleurerons à jamais
Arme contre l’iconoclasme, tu n’as pas déçu ton extraction sociale
Nuits comme jours, tes cordes sonores nous égayent et nous comblent
Doué et prestidigitateur du ganbare tu l’étais, bibliothèque tu l’étais et tu le resteras
Avec ta mort, la tristesse sonne à nos portes, nous devenons illico des orphelins anxieux

Familier aux petits comme aux grands, ton talent et ta piété faisaient l’unanimité
Arbre à l’ombre duquel tous les amoureux du Sooninkaaxu se reposaient vient de tomber
Dors en paix et qu’Allah soit satisfait de toi et te comble de satisfaction
Il est le Seul qui sait et peut satisfaire Ses meilleures créatures de leur œuvre pie
Grand par la taille tu l’étais, finesse d’esprit doublée d’intelligence te caractérisaient
À toi nous penserons toujours, pour toi nous prierons pour le repos de ton âme charitable.

Auteur Cheikhna-Mouhamed Wagué de Kaédi

[indi]

C'est très beau et joliment écrit...

[ROUMBALOVE]

C'est un très joli poème! D'autant plus que je ne savais pas que Cheikna tu avait ce talent caché.