Le manque d’intérêt pour la lecture, et ses conséquences !

[Gas]

Heureusement sinon je m'en serais inquiété.
Sinon oublie le livre sous ce vieux format papier et prépare toi vite à lire désormais sur un écran .
Les avancées techniques nous forcent la main et l'on doit suivre si on ne veut pas rester à la traine.

[Habibatou]

C' est bien vrai ce que tu dit la GAS, il faut suivre les avancées.

Heureusement sinon je m'en serais inquiété.
Sinon oublie le livre sous ce vieux format papier et prépare toi vite à lire désormais sur un écran .
Les avancées techniques nous forcent la main et l'on doit suivre si on ne veut pas rester à la traine.

[Lassana Bathily]

C' est bien vrai ce que tu dit la GAS, il faut suivre les avancées.

Salam gas
Il faut suivre les avancées c'est vrai mais jusqu'à quel point?
il faut aussi savoir que la lecture(d'un livre) en tant que loisir ne peut etre remplacé par l'ecran
On doit adapter la technologie à notre vecu et non nous adapter aux avancées technologiques,ceci je le dit par rapport à la lecture et par rapport à toutes ces choses qui conditionnent notre existence

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Heureusement sinon je m'en serais inquiété.
Sinon oublie le livre sous ce vieux format papier et prépare toi vite à lire désormais sur un écran .
Les avancées techniques nous forcent la main et l'on doit suivre si on ne veut pas rester à la traine.

Bonjour

Non, mon frère ou ma sœur, je n'oublierai jamais le livre sous le vieux format. Je n'ai pas de leçon, ni de conseils à recevoir de toi sur ce plan. Je suis né dans ce cadre. J'ai trouvé mon père dialoguer du lever ou coucher du soleil avec des livres qui, à son tour, a trouvé son défunt père être un grand ami du papier et de la plume et la chaine continue. Je ne vois pas ce qui me détournera de cet idéal familial, de cet héritage paternel. Incha Allah, rien n'altéra ce goût, cet amour pour le papier. Cela dit, je suis à la loupe, comme tous les hommes qui ne se résument pas à un seul cadre, les avancées, les évolutions, les injonctions de mon temps, qu'elles soient technologiques ou autres. Je prends tout, moi. Mais je ne suis pas quelqu'un qui prend les choses sans se poser des questions. Non, le livre restera toujours mon ami, jusqu'au dernier repli de mon existence. Si ce que vous appelez avancées technologiques vous forcent la main, allez-y avec. Je vous souhaite un bon voyage. C'est très facile, sinon incongru, que de dire aux gens d'abandonner leur goût. Bonne nuit.

[Gas]

hello,
Mon cher, je ne te donne point de conseil, je suis trop petit pour ça.
Tu appelle celà un idéal familial toi ton livre ou du moins tes papiers: c'est bien .
En tout cas je vois que tu es trés nostalgique du papier qui vit ces derniers moments de gloire.
Nos parents n'ont connu que le papier;avaient'il le choix de leur amour alors que nous ,nous, nous sommes à la lisière de deux mondes: l'ancien avec le papier et le nouveau monde qui s'annonce avec l'ecran et la clef USB.
Je ne dis rien de nouveau mon frére, c'est l'évolution normale des choses , nous devrions suivre , nous former, pour mieux affronter le monde nouveau.
Pour mieux préparer notre avenir ; il faudra qu'on l'invente ensemble, inventons le !!!

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

hello,
Mon cher, je ne te donne point de conseil, je suis trop petit pour ça.
Tu appelle celà un idéal familial toi ton livre ou du moins tes papiers: c'est bien .
En tout cas je vois que tu es trés nostalgique du papier qui vit ces derniers moments de gloire.
Nos parents n'ont connu que le papier;avaient'il le choix de leur amour alors que nous ,nous, nous sommes à la lisière de deux mondes: l'ancien avec le papier et le nouveau monde qui s'annonce avec l'ecran et la clef USB.
Je ne dis rien de nouveau mon frére, c'est l'évolution normale des choses , nous devrions suivre , nous former, pour mieux affronter le monde nouveau.
Pour mieux préparer notre avenir ; il faudra qu'on l'invente ensemble, inventons le !!!

Bonsoir

Nous avons deux points de vue différents sur la manière de suivre l'évolution technologique. Donc, inutile de dire que je suis nostalgique du papier qui est une réalité présente chez moi et chez tous ceux qui connaissent les vertus du livre, de la plume. Je te laisse avec tes clefs USB et tes écrans, laisse-moi dans mon classicisme. Si tu savais que je suis loin d'être en retard sur ce plan, comme tes messages le laissent apparaître.
Mais n'oublions pas ce que disait tonton François Rabelais, avec raison, comme mise en garde : " science sans conscience n'est que ruine de l'âme". Le débat est clos. Bien à toi et surtout sans rancune

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Cet article s'inscrit parfaitement dans la droite ligne de ce qu'on avait discuté sur les conséquences du désintérêt pour la lecture. C'est à lire!

Le désintérêt pour la lecture produit une génération coupée de son cadre culturel naturel, selon Nafissatou Dia Diouf

Dakar, 31 déc (APS) - Le désintérêt de plus en prononcé des Sénégalais, jeunes en particulier, pour la lecture, fait qu’une génération est sacrifiée en grandissant ’’hors de son cadre culturel naturel’’ et ainsi elle ’’s’appauvrit sans en avoir conscience’’, a estimé l’écrivain Nafissatou Dia Diouf.

’’Nous sommes en train de sacrifier toute une génération qui grandit hors de son cadre culturel naturel et donc qui s’appauvrit sans en avoir conscience’’, a-t-elle dit dans une interview parue sur le site Internet Orane-Info.sn.

Selon l’écrivain, ‘’l’accès à la connaissance et aux loisirs livresques devraient être aussi primordiaux que l’accès à l’eau ou aux soins médicaux. Il est temps de remettre le livre au centre de notre système éducatif’’.
’’La littérature au Sénégal a besoin d’être redynamisée’’, a insisté Nafissatou Dia Diouf, selon qui ’’il est regrettable de constater que les Sénégalais lisent de moins en moins et c’est une part de rêve, de connaissance et de loisirs enrichissants qui leur échappe ainsi’’.
’’Mes concitoyens sont plutôt dans une dynamique de consommation de l’immédiat, du facile et du +prêt-à-penser+ tels que les séries sud-américaines, les clips, bref, que des choses culturellement éloignées de nous. Je trouve cela navrant. C’est toute une génération d’intellectuels qu’on tue dans l’œuf. Senghor serait triste de voir cela…’’, a-t-elle fait valoir.
Considérée comme l’une des plus talentueuse de la jeune génération d’écrivains sénégalais, Nafissatou Dia Diouf, 35 ans, a déjà publié six ouvrages individuels et sept collectifs. ’’D’abord des nouvelles (…), ensuite de la poésie et plusieurs ouvrages en littérature jeunesse’’, a-t-elle précisé.
Mais la poésie ’’constitue justement mes premières amours et je pourrais dire même qu’elle sous–tend toute mon œuvre littéraire. C’est quelque chose de plus confidentiel en ceci que j’écris le plus souvent pour moi et que jusque là, je n’ai publié qu’un seul recueil de poésies, +Primeur+ aujourd’hui épuisé’’, a indiqué celle qui se présente comme un ’’écrivain éclectique et curieuse’’ qui s’intéresse à plusieurs genres.
’’Je déteste par contre qu’on me catégorise. Je suis un écrivain, point. Je n’ai pas de prédilection, j’aime les mots, les idées, les images’’, a déclaré Mme Diouf, qui a représenté le Sénégal dans la catégorie littérature des 5-éme Jeux de la Francophonie à Niamey (Niger) en 2005. Elle s’y est vue décerner la Mention spéciale du jury.
’’Je dois admettre que ma poésie d’aujourd’hui a évolué. Elle est sans doute plus profonde, moins naïve, mais aussi moins spontanée. C’est le revers de la médaille. Grandir implique forcément perdre de sa candeur…’’, a-t-elle souligné.
Priée de dire si elle parvient à atteindre ses cibles par le truchement de ses écrits poétiques, elle a affirmé : ’’Malheureusement, je dirai qu’elle reste un genre d’initiés, à mon grand dam. C’est un peu l’objet de ce genre de récital, d’attirer des personnes qui connaissent pas ou peu la poésie pour leur faire découvrir ses merveilles’’.
Selon elle, ’’le résultat est mitigé, surtout pour les adultes. Peut-être qu’ils sont trop englués dans les soucis quotidiens pour pouvoir réellement s’en extraire et entrer dans la dimension du rêve’’.
Outre ’’Primeur’’, le recueil de nouvelles précédemment cité, Nafissatou Dia Diouf a notamment publié ’’Retour d’un si long exil’’ (nouvelles) et participé à ’’Envie pressante’’, un ouvrage collectif de la même catégorie. Elle a aussi publié des ouvrages de jeunesse : ’’Les petits chercheurs’’, ’’Kidiwi, la gouttelette curieuse’’, Cytor et Tic Tic naviguent sur la toile’’, ’’Je découvre…l’ordinateur’’, ’’Le fabuleux tour du monde de Raby’’.

Source: seneweb.com

[lass77]

Sans équivoque la lecture forme l'individu.mais c'est un constat alarmiste qui frappe actuellement la jeunesse.cela peut s'expliquer par plusieurs facteurs, l'arrivée foudroyante des outils de télécommunication et de l'information qui a eu conséquence notamment chez les étudiants et autres de ce que j'appelle la paresse intellectuelle .
elle a bien fait de citer l'influence de ces chaines qui à mon avis prennent part dans ce problème. en ligne de mire les émissions de télé réalités dont rien ne sort d'instructif que les jeunes adorent sans soucis.

[billl]

Depuis l'apparition de facebook, c'est de pire en pire !