Encore Les Rebelles Au Mali

[Mamadou Lamine]

l’impunité cad les traitres racistes du MNLA va gagner au Mali

Jai écrit ca en novembre 2011 car je prévoyais déjà ce qui allait se passer. La France ''amis des touaregs'' selon les mots du ministre Le Drian ne lâchera JAMAIS les racistes extrémistes touaregs peu importe les crimes barbares qu’ils ont commis contre le Mali et les maliens. Les maliens sous pression du ''sauveur francais'' vont devoir partager le pays avec leurs bourreaux apprentis nazis. Quelle honte.

Le Mali est foutu a cause de racistes, hypocrites au Nord et lâches et corrompus au Sud. Tout ce qu’on peut espérer c’est que la nouvelle génération des jeunes maliens apprennent des grossières erreurs de leurs ainées pour que jamais ce pays ne retombe aussi bas. Enfin s’il arrive a se relever ...

ps. Paris et Washington parlent d’envoyer des casques bleus au Mali or si on regarde la liste des pays ou sont passes les casques bleus ... j’espere pour le Mali que ca ne se fera jamais

[daouda kambiya wague]

Edito : Le temps de la désillusion
7 fév 2013 Rubrique: Editorial
43 réactions [-] Texte [+] Email Imprimer
Après les années des indépendances, le thème le plus usité par les écrivains noirs était celui de la désillusion, à l’image de Fama, le personnage principal d’Ahmadou Kourouma, dans son roman Le soleil des indépendances. Le désenchantement et le malaise étaient perceptibles dans la nouvelle Afrique, avec les nouveaux maitres qui ne répondaient pas toujours aux aspirations profondes des populations.


Chahana Takiou, dirpub « Le 22 Septembre »
Avec le déclenchement de l’Opération Serval par le Président français, François Hollande, pour stopper aux portes de Sévaré l’avancée des djihadistes, des espoirs ont été suscités, et le monde entier, à commencer par les Maliens, a applaudi. Dans le feu de l’action, celui-ci est même venu vivre la journée la plus importante de sa carrière politique au Mali. Mais, depuis, les nouvelles ne sont pas bonnes. Après le coup fourré de Kidal, orchestré par Paris en duo avec le MNLA, en voici un autre: celui de Ménaka, avec les mêmes acteurs.

Comment le MNLA, peut-il occuper Ménaka, situé à 310 km de Gao, en pleine reconquête du Nord du Mali, s’il n’a pas l’onction de l’Opération Serval? Tout porte à croire que, pour la France, les terroristes sont ceux qui menacent sa sécurité et celle des Européens, voire des Américains. Il s’agit, pour eux, des djihadistes, qui, au nom de l’Islam, commettent des crimes et attentats contre l’évolution du monde. Le MNLA, qui déstabilise le Mali, qui le pille et tue ses enfants, ne compte pas des terroristes, pour Hollande. Il est donc fréquentable à ses yeux. Alors que, pour nous, le Mal, c’est bien le MNLA, les terroristes, c’est également le MNLA, l’ennemi N°1 à combattre, c’est bien le MNLA.

L’attitude de Paris vis-à-vis du MNLA nous renvoie à la citation selon laquelle «qui soutient un coupable partage sa faute». Ce qui pourrait confirmer que c’est bien la France qui avait armé le MNLA, au début du conflit, en janvier 2012, sans compter l’armada venue de la Libye.

Ceux qui pensent que Hollande, le libérateur, va faire tout le travail à la place des Maliens et de la CEDEAO se trompent. Avec la présence française, beaucoup de pays ouest africains ont osé annoncer l’envoi de centaines de militaires, lesquels tardent à se mettre en place depuis que Fabius, le chef de la diplomatie française, a déclaré «la MISMA est appelé à prendre le relais».

Le temps de la désillusion a donc sonné. Car Paris annonce déjà le début du retrait de ses forces à partir de mars prochain, alors que le plus difficile reste encore à faire: l’éradication des djihadistes, retranchés dans les collines de l’Adrar des Ifoghas.

Le plus difficile, c’est également l’occupation et la sécurisation de localités comme Niafunké, Goundam, Diré, Bourem, Ansongo, Tessalit, Abeïbara et autres. Jusque là, les forces armées françaises, maliennes et celles de la MISMA ne sont présentes que dans les grandes agglomérations du Nord.

C’est bien l’heure de la désillusion qui a sonné, parce que Paris ne fera pas ce que les Maliens veulent: combattre le MNLA. Au contraire, il le soutiendra, il l’imposera comme interlocuteur incontournable et œuvrera pour une force d’interposition, comme ce fut le cas en côte d’Ivoire, en RDC et récemment en Centrafrique. En clair, le pays sera coupé en deux: le sud et une partie du nord aux mains de Bamako, la région de Kidal et celle de Ménaka (c’est une nouvelle région, la loi a été promulguée avant le coup d’Etat du 22 mars), confiées au MNLA jusqu’à l’acceptation d’un accord bilatéral ou tripartite.

L’armée malienne doit donc se réarmer moralement et militairement afin que la désillusion, qui s’installe progressivement, ne l’affaiblisse après le départ prochain des troupes françaises. Encore une fois, «qui soutient un coupable partage sa faute».

Chahana Takiou

[lass77]

Si on salue l'opération Serval au Nord Mali, on ne sait toujours pas ce que veulent les maliens ? Le président malien est en position délicate. Au moment les forces étrangères libèrent le nord , au lieu d'aller se battre, les militaires se tirent dessus dans les casernes à Bamako je ne sais pour quelle raison ? Quelqu’un peut -il nous expliquer ces comportements lâches de l'armée malienne.

Quelle solution à long terme pour la crise malienne ?


Il faut régler la question touarègue en ne faisant aucune concession sur l’intégrité territoriale du mali et la question de la justice. Pas de justice des vainqueurs , il est temps aussi de désarmer les rebelles avant d'entamer tout dialogue.

Les mandats d’arrêts internationaux émis contre des responsables du MNLA et autres tombent mal même si on peut les comprendre.

[billl]

https://www.youtube.com/watch?v=6ywfjublNiE

[92Traore]

Michel Collon sur France 3 Ce soir ou jamais ! - YouTube
la même vidéo mais en entier (45 min qui passe très vite)

ce que dit les deux partie n'est pas faux, mais au moment où Bamako aller tomber avant l'intervention française, le mali avait 2 choix:
soit se laisser prendre par les envahisseurs ou
soit laisser la France (pousser sans doute par les grandes puissance économique qui ont leurs profits dans le Sahara) reprendre le contrôle du nord.

Dans les deux cas, les ressources naturel du mali sont aux mains d’individus venu de l’extérieur. mais si il faillais choisir, je pense que les populations au nord préfère la deuxième solution...

[Mamadou Lamine]

l’impunité cad les traitres racistes du MNLA va gagner au Mali

Jai écrit ca en novembre 2011 car je prévoyais déjà ce qui allait se passer. La France ''amis des touaregs'' selon les mots du ministre Le Drian ne lâchera JAMAIS les racistes extrémistes touaregs peu importe les crimes barbares qu’ils ont commis contre le Mali et les maliens. Les maliens sous pression du ''sauveur francais'' vont devoir partager le pays avec leurs bourreaux apprentis nazis. Quelle honte.

Le Mali est foutu a cause de racistes, hypocrites au Nord et lâches et corrompus au Sud. Tout ce qu’on peut espérer c’est que la nouvelle génération des jeunes maliens apprennent des grossières erreurs de leurs ainées pour que jamais ce pays ne retombe aussi bas. Enfin s’il arrive a se relever ...

ps. Paris et Washington parlent d’envoyer des casques bleus au Mali or si on regarde la liste des pays ou sont passes les casques bleus ... j’espere pour le Mali que ca ne se fera jamais

Bon maintenant on voit que la France protège le MNLA ou au moins ne la mets pas du tous sous pression. Maintenant que toutes les sales manoeuvres de la France, L’Algerie, le Burkina et la Mauritanie sont sorti au grand jour. Ou est le gars qui se moquait de moi quand je disait qu’il ya complot. La France a décidé que le MNLA n’aura pas d’Azawad (intenable vu la grande majorité de Noirs)mais il y aura un Kidal-awad. Les maliens laissent faire comme dab.

Ci-dessous un article malien du 30 avril qui pose de bonnes questions:

le Président Dioncounda n’a jamais mis les pieds au front si ce n’est pour accompagner le Président Hollande à Tombouctou. Pourquoi ne rend-il pas visite à sa troupe ? Il n’a jamais donné une information aux maliens sur la situation réelle de Kidal qui inquiète jusqu’au-delà de nos frontières. Qu’est ce qu’il cache ? Tout ce qu’on sait, c’est que Kidal est malien et la superficie du Mali est connue. Pourquoi l’administration n’est pas à Kidal ? Pourquoi Dioncounda ne part-il pas à Kidal ? Qui empêche réellement l’armée malienne d’y aller ? Pourquoi le Tchad veut se retirer ? Pourquoi le colonel Gamou a été rappelé à Bamako ? Pourquoi l’équipement de l’armée malienne se fait attendre ? Une Commission Dialogue(sans Vérité ni Justice) et Réconciliation : entre qui et qui ? Pourquoi la vérité et la justice sont omises ? Comment le fonds de l’effort de guerre est utilisé ? A quand le grand audit ? L’agenda électoral est-il tenable ? Pr. Dioncounda défend-il l’intérêt du peuple malien ? A quand le retour des réfugiés ? Pourquoi un Etat d’urgence interminable ?

Voici autant d’interrogations pour lesquelles le malien lambda attend des réponses simples et claires.


France joue la carte MNLA
Pour ces questions d’intérêt national, le peuple exige la transparence. Il refusera formellement d’assumer les errements, l’incurie et l’incompétence de ses élites dirigeantes. Mais, si c’est par incapacité ou que la pression extérieure est trop forte par rapport aux enjeux, qu’il se fasse aider par son peuple qui risque, en définitive, d’en être la vraie et seule victime. En effet l’érection d’une Commission Dialogue et Réconciliation sous le format d’une camisole taillée sur mesure pour le MNLA ne rassure personne.


Par contre les maliens savent que la France joue la carte du statut particulier de l’Azawad et que le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) a été créé en France le 16 octobre 2011. Ce mouvement est issu de la fusion du Mouvement national de l’Azawad (MNA) et du Mouvement touareg du nord Mali (MTNM). Bref, c’est un mouvement monté de toutes pièces par la France sous Sarkozy pour contrôler les ressources uranifère et pétrolière de cette zone. Donc un véritable business dont l’enjeu dépasse largement les petits arrangements politiques dont les dirigeants maliens sont coutumiers. D’où la fébrilité et les volte-face de la France chaque fois que ses représentants essaient de pousser pour un dialogue immédiat avec le MNLA tout en hésitant à le déclarer officiellement.


Les populations attendent juste de voir qui sera l’autorité publique malienne qui s’aventurerait à apposer sa signature en-dessous du document d’officialisation du statut particulier de Kidal, préparé à cet effet.


Aliou Badara Diarra
SOURCE: L'Enquêteur

On sait maintenant que le MNLA et son allie francais(suivi par la communautée internationale)souhaitent un statut particulier pour un Kidal-awad ce qui signifierait la fin du Mali.

[Mamadou Lamine]

Reportage/Tchad: les nouveaux renards du désert
30 Avril 2013


Ils traquent les jihadistes aux côtés des Français dans le nord du Mali depuis bientôt trois mois. Disciplinés, efficaces, les soldats tchadiens ont payé le prix du sang. Plus que jamais, le président Déby Itno s'impose comme le parrain sécuritaire de la région.

À N'Djamena, la cocarde patriotique se porte avec pudeur. Pas d'effets de manche inutiles dans le discours du Premier ministre, Dadnadji Djimrangar, annonçant au Parlement, le 15 avril, le retrait progressif des troupes tchadiennes du Mali, mais le sobre inventaire d'une « noble mission accomplie » : 2 250 hommes déployés depuis près de trois mois, un budget de 57 milliards de francs CFA (87 millions d'euros) « entièrement financé sur nos propres ressources », 36 morts au combat, 74 blessés, dont un général. Aucun pays, France comprise, n'a payé un tel prix de sang et personne en Afrique n'a été en mesure de prendre le risque d'intervenir aussi vite et aussi fort.



Discipline
« Armées africaines : pourquoi sont-elles si nulles ? » titrait J.A. il y a quatre mois, après les débâcles malienne et congolaise. Assurément, ce jugement lapidaire ne s'applique pas aux Forces armées tchadiennes en intervention au Mali (Fatim), que le reporter-photographe Patrick Robert a accompagnées dans l'Adrar des Ifoghas pendant trois semaines. Un contingent largement puisé au sein des unités d'élite de la garde présidentielle, encadré par des officiers très proches de leurs hommes et pour beaucoup issus de l'ethnie zaghawa (à laquelle appartient le président Idriss Déby Itno), dont le comportement et la discipline n'ont pas jusqu'à aujourd'hui fait l'objet de critiques.

À Kidal, où les Fatim ont installé leur base, « les Tchadiens paient comptant ce qu'ils achètent au marché, alors que les soldats maliens razziaient les moutons », assurent les commerçants touaregs interrogés par Patrick Robert.




Rafistolage
C'est le 22 février, lors d'une opération menée avec les forces spéciales françaises contre un QG conjoint d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), que les Fatim ont perdu le plus d'hommes. Censés couper la retraite des jihadistes, des Tchadiens ont subi des assauts kamikazes pendant plusieurs heures. Ce jour-là, une centaine de terroristes, dont l'émir Abou Zeid, mais aussi 26 Tchadiens ont trouvé la mort, et le véhicule d'un général a sauté sur une mine.


"Deux faiblesses"
« Les Fatim ont deux faiblesses : la logistique et les communications, explique un officier français. Ce sont des as du système D et du rafistolage, mais cela ne marche pas toujours. » Chaque soir, une liaison vidéo est établie entre Kidal et la présidence de la République à N'Djamena. D'un côté, le général Oumar Bikimo, commandant en chef des Fatim, assisté de son adjoint, le général Mahamat Idriss Déby Itno, 29 ans, fils du président tchadien. De l'autre, « Idi », le chef de l'État lui-même, entouré de son état-major et d'officiers français de la base de N'Djamena. On y fait le point des opérations et l'on s'efforce de répondre aux questions, toujours très précises, du président.

Le fait d'être dirigé par un militaire de formation ayant l'expérience du terrain explique sans doute la fluidité et la réactivité de l'armée tchadienne. Idriss Déby Itno est un général dont les étoiles ont été acquises lors de deux campagnes victorieuses : contre les Libyens au milieu des années 1980 et contre les troupes de Hissène Habré en 1990. À trois reprises - la dernière en 2008 -, il a dû repousser des colonnes rebelles venues du Soudan jusqu'aux portes de son Palais.

Mais le président tchadien est aussi un animal politique habile à tirer profit de sa nouvelle visibilité. Indispensable au Mali, il est au coeur de la transition centrafricaine. Un pied en Afrique de l'Ouest, l'autre en Afrique centrale, à la tête d'un pays pétrolier jusqu'ici épargné par le terrorisme et de l'armée la plus puissante de la région. Incontournable, donc. Attention, toutefois, au vertige du succès...

François Soudan
Pour JA

^^
Bon c’est un article qui fait les louanges de Deby et son armée parce que faisant du sale boulot pour les français et l’interet de Deby. Mais il faut le reconnaitre, les Tchadiens qui ne sont pas beaucoup plus riche ou instruit que nous sont des guerriers et des hommes courageux.

Ceci selon mon humble avis prouve que c’est bon la démocratie, le maslaha etc. Mais a certains moments il faut jeter tout ca et il faut savoir faire bloc face a l’ennemi et affronter la mort les yeux dans les yeux. Un pays ou les hommes refusent de combattre, ou les jeunes sortent et dansent a Bamako pendant que 2/3 du pays est occupé a un problème d’ordre psychologique.

[Mamadou Lamine]

HOMMAGE AUX TROUPES MALIENNES QUI N’ONT PAS FUI ET QUI SONT SUR LA LIGNE DE FRONT EN FACE DE CHIENS ENRAGES

Six months ago from the ashes of a divided, undisciplined and largely corrupt Malian army, Colonel-Major Dakuo created the GCV(Groupe Commando Volontaire) by recruiting the most motivated and experienced soldiers in Mali. Those who enraged by the prevailing inertia harassed their leaders to ride to Sévaré and counter-attack long before the whole North was occupied. They felt betrayed by the political leaders and the couch officers more busy playing power games in Bamako than planning military operations. The commander of the 61st regiment, Abbas Dembélé, son of a Malian officer and trained in France and the United States, especially in counter-terrorism joined the effort with his best men. Together with Daukuo’s men and others they trained far away from the regular army. The Special Forces of the GCV are an exception in the Malian army. But a model for the future, hope its initiators.

A Malian military source said on Saturday they had recovered 23 Islamist bodies from Gao, where French and Malian troops fought Islamists on the streets earlier in the week.


Colonel El Hadj Gamou and Colonel Dacko in the streets of Gao to see the damage done to a checkpoint after two suicide bombers blew themselves up in the night from Sunday 10 to Monday 11 February






Special Forces GCV find 600 kilograms of explosives after the Gao attack on January 26th





A small annex of the house was full of grenades, boxes of ammunition, and explosive devices





This house belonged to a member of Mujao. It has been completely looted





This other house belonged to a member of Mujao informed a young Gao resident when he met a patrol of special forces





A merchant whose shop was used to relay Mujao. During the search of his shop, the Malian army found AK-47 assault rifles, and ammunition.





Ketamine too was found in the house of the shopkeeper. Mujao jihadists are believed to have used this anesthetic for animals for the purpose of drugging young recruits





He was taken into custody





"Alba", a special forces member stands guard on the roof of a Gao house





Members of the Mujao left behind women and children in Gao. Here is the wife of a commander of the armed Islamist group




Malian special forces seized numerous weapons Gao, like here ...





Colonel Didier Dacko who established the Commando, recognises that the existence of these special forces is just one small step and that the whole army needs to be reformed



photos by L’Express

^^
Tous mes Respects

[Mamadou Lamine]

HOMMAGE AUX TROUPES TCHADIENNES LOIN DE LEUR PAYS SUR LA LIGNE DE FRONT EN FACE DE CHIENS ENRAGES

As many as 93 rebels were killed in the recent battle in northern Mali and 23 Chadian soldiers died. This were Chad's heaviest losses during an offensive centered around a rebel base that appeared to be of "significant importance" as the militants were not fleeing.


RIP Commandant Abdel Aziz Hassane Adam and his men
He was active in peacekeeping operations in Burundi, Cote d’Ivoire, CAR, ...




the chadian special forces are on the frontline together with the french special forces chasing jihadists
in the Ifoghas mountains in the extreme north of Mali




One should know that in Chad, many many men are Chad military reservists. Many high-ranking officials are not scared to fight when needed. This is president Idriss Deby’s own adoptive son, General Mohamed Deby it is reported that he has been seriously wounded during fighting with jihadists today. No official confirmation yet.

^^
Tous mes respects. Les hommes maliens, noirs-mauritaniens, et sénégalais devraient prendre exemple sur leurs cousins Toubous et Zaghawas qui ne se laisseraient surement pas faire face a des chiens enrages Touaregs, Maures ou indépendantistes Casamancais.

[lass77]

^^
Tous mes Respects

La mobilisation du Tchad dans ce conflit n'est pas inédit. Idriss Déby est dans ses calculs quitte à sacrifier son armée vue qu'il joue le gendarme de la sous-région.


Pourquoi Idriss Déby se livre au monnayage de l'économie tchadienne au profit d'une conquête de super puissance militaire régionale: l'argent du pétrole est destiné à acheter des armes et d'équipements militaires alors que 2/3 des Tchadiens vivent au seuil de pauvreté. C'est indigne. Il faut balayer devant sa porte. Cet autre dictateur ne cherche qu’asseoir son pouvoir sans légitimité au gré des circonstance et contexte régionaux etc... C'est une façon lamentable de croire intangibilité de son pouvoir...