Coup D'etat En Mauritanie !!!

[Dooms]

Coup d'État en Mauritanie

J.C. (lefigaro.fr) avec AFP et AP
06/08/2008 | Mise à jour : 12:31 |



Un groupe de généraux a arrêté le président et le premier ministre. La radio et la télévision ont cessé d'émettre.

Deux jours après la démission de 48 parlementaires du parti présidentiel, la Mauritanie est en proie à un coup d'Etat. Le président mauritanien Sidi Ould Cheikh Abdallahi et son premier ministre Yahya Ould Ahmed Waghf ont été arrêtés mercredi matin à Nouakchott par des militaires.

La fille du président, interrogée par RFI, a confirmé l'arrestation de son père. «Le président vient d'être arrêté par un commando (de militaires), qui sont venus le chercher, l'arrêter ici et l'emmener», a déclaré Amal Mint Cheikh Abdallahi, qui s'exprimait depuis la présidence à Nouakchott. «C'est un coup d'Etat en bonne et due forme», a-t-elle ajouté. Le président aurait été emmené au BASEP (Bataillon de la sécurité présidentielle).

Amal Mint Cheikh Abdallahi a précisé que la présidence était toujours occupée par des hommes en armes. «Devant le salon, notre cuisine, il y a des sentinelles armées», a-t-elle indiqué, précisant n'avoir pas entendu de coups de feu lors de l'opération. «Je ne peux pas sortir de la résidence. La ligne du standard a été coupée», a-t-elle encore dit.


Tous les responsables militaires limogés

Toujours d'après RFI, «juste avant son arrestation, le président avait limogé tous les responsables militaires du pays». «Quatre nominations avaient eu lieu dans la foulée à la tête de l'état-major de l'armée, de la gendarmerie, de la garde nationale et de l'état-major particulier de la présidence», précise la radio sur son site Internet.

Selon la chaîne de télévision al-Jezira, c'est le chef de la garde présidentielle, justement limogé par le président, qui a pris le contrôle du palais de la présidence et des unités de l'armée ont encerclé le bâtiment de la télévision d'Etat.

La radio et la télévision nationale ont par ailleurs cessé d'émettre après que des militaires en ont chassé le personnel. Des mouvements de troupes ont également été constaté dans la capitale Nouakchott.

La Mauritanie traverse actuellement une grave crise politique, marquée notamment par la démission lundi de 25 députés et 23 sénateurs du Pacte national pour la démocratie et le développement (PNDD), la formation présidentielle. Une crise qui a largement fragilisé le pouvoir du chef de l'Etat

[Badem]

C'est bizarre!! Le coup d'état de 2005 avait eu lieu quasiment à la meme date!!!

Cette instabilité politique du pays est inquiètante.............Mais malheureusement prévisible!!!!

[Fodyé Cissé]

De toute façon, c'était prévisible.
Ce président qui était soit-disant un démocrate, élu au suffrage universel, a montré au monde entier son vrai visage après son élection.

Mais, celui qui sème le vent, récolte la tempête, n'est-ce pas ?

Mais, en tout cas, quel gâchis quand on pense que le Général Vall avait fait un coup d'état pour convoquer des élections et que là, c'est le même scénario qui se répète ... on peut se dire que nos pays africains avancent à reculon : 1 pas en avant, 2 pas en arrière. Sic!

[Diko hanoune]

Coup d'État en Mauritanie

J.C. (lefigaro.fr) avec AFP et AP
06/08/2008 | Mise à jour : 12:31 |



Un groupe de généraux a arrêté le président et le premier ministre. La radio et la télévision ont cessé d'émettre.

Deux jours après la démission de 48 parlementaires du parti présidentiel, la Mauritanie est en proie à un coup d'Etat. Le président mauritanien Sidi Ould Cheikh Abdallahi et son premier ministre Yahya Ould Ahmed Waghf ont été arrêtés mercredi matin à Nouakchott par des militaires.

La fille du président, interrogée par RFI, a confirmé l'arrestation de son père. «Le président vient d'être arrêté par un commando (de militaires), qui sont venus le chercher, l'arrêter ici et l'emmener», a déclaré Amal Mint Cheikh Abdallahi, qui s'exprimait depuis la présidence à Nouakchott. «C'est un coup d'Etat en bonne et due forme», a-t-elle ajouté. Le président aurait été emmené au BASEP (Bataillon de la sécurité présidentielle).

Amal Mint Cheikh Abdallahi a précisé que la présidence était toujours occupée par des hommes en armes. «Devant le salon, notre cuisine, il y a des sentinelles armées», a-t-elle indiqué, précisant n'avoir pas entendu de coups de feu lors de l'opération. «Je ne peux pas sortir de la résidence. La ligne du standard a été coupée», a-t-elle encore dit.


Tous les responsables militaires limogés

Toujours d'après RFI, «juste avant son arrestation, le président avait limogé tous les responsables militaires du pays». «Quatre nominations avaient eu lieu dans la foulée à la tête de l'état-major de l'armée, de la gendarmerie, de la garde nationale et de l'état-major particulier de la présidence», précise la radio sur son site Internet.

Selon la chaîne de télévision al-Jezira, c'est le chef de la garde présidentielle, justement limogé par le président, qui a pris le contrôle du palais de la présidence et des unités de l'armée ont encerclé le bâtiment de la télévision d'Etat.

La radio et la télévision nationale ont par ailleurs cessé d'émettre après que des militaires en ont chassé le personnel. Des mouvements de troupes ont également été constaté dans la capitale Nouakchott.

La Mauritanie traverse actuellement une grave crise politique, marquée notamment par la démission lundi de 25 députés et 23 sénateurs du Pacte national pour la démocratie et le développement (PNDD), la formation présidentielle. Une crise qui a largement fragilisé le pouvoir du chef de l'Etat

Peuple Mauritanien soyez prêt à mourir pour la démocratie.

Nous ne devons pas accepté la reprise du pouvoir par l'armée sous aucune condition.

Nous ne devons pas accepté que l'armée nous confisque notre démocratie.

Il est temps de montrer à l'armée que nous ne somme pas des citoyens à la merci de cette armée qui nous méprise et nous a toujours mépriser pendant plus de 30 ans.

La révolution pour la démocratie doit se lever et ne craignez pas les balles des militaires.

Vive la Mauritanie démocratique.

Diko hanoune.

[ROUMBALOVE]

C'est à peine croyable! un coup d'Etat en Afrique! on avait fini par oublier cette histoire là. Ce n'était donc que partie remise

La Mauritanie: déjà trois coups d'Etat depuis l'indépendance

L’afrique toujours et encore des coups d’état

Ben Dooms je te souhaite bonne chance toi même tu sait

[wabe]

De toute façon, c'était prévisible.
Ce président qui était soit-disant un démocrate, élu au suffrage universel, a montré au monde entier son vrai visage après son élection.

Mais, celui qui sème le vent, récolte la tempête, n'est-ce pas ?

Mais, en tout cas, quel gâchis quand on pense que le Général Vall avait fait un coup d'état pour convoquer des élections et que là, c'est le même scénario qui se répète ... on peut se dire que nos pays africains avancent à reculon : 1 pas en avant, 2 pas en arrière. Sic!

C'est parfaitement à ce que je pense à chaque fois qu'on parle d'un état Africain "1pas en avant, 2 pas en arrière" mais pour une fois je n'est pas envie de rire car même si le président n'est pas ce qu'on pensait? il d'autres moyens de s'en séparé comme changer la constitution pour donner plus de pouvoir au gouvernement ou provoquer des élections anticipés ou encore attendre tout simplement la fin de son mandant en essayant d'ici là de dénoncer tout ce que ne va pas dans l'intérêt du peuple Mauritanien, mais pas un coup d'état .

[Fodyé Cissé]

Peuple Mauritanien soyez prêt à mourir pour la démocratie.

Nous ne devons pas accepté la reprise du pouvoir par l'armée sous aucune condition.

Nous ne devons pas accepté que l'armée nous confisque notre démocratie.

Il est temps de montrer à l'armée que nous ne somme pas des citoyens à la merci de cette armée qui nous méprise et nous a toujours mépriser pendant plus de 30 ans.

La révolution pour la démocratie doit se lever et ne craignez pas les balles des militaires.

Vive la Mauritanie démocratique.

Diko hanoune.

Diko hanoune, tu vas prendre les armes ?? Car, derrière un clavier d'ordinateur, il est clair que les militaires ne craignent rient .

[wabe]

Peuple Mauritanien soyez prêt à mourir pour la démocratie.

Nous ne devons pas accepté la reprise du pouvoir par l'armée sous aucune condition

Nous ne devons pas accepté que l'armée nous confisque notre démocratie.

Il est temps de montrer à l'armée que nous ne somme pas des citoyens à la merci de cette armée qui nous méprise et nous a toujours mépriser pendant plus de 30 ans.

La révolution pour la démocratie doit se lever et ne craignez pas les balles des militaires.



Vive la Mauritanie démocratique.

Diko hanoune.

Diko hanoune soit prêt à entendre ceux dont ni toi ni moi ne voudrais entendre sur l' Afrique, nul doute la démocratie n'a pas de pris je parle en connaissance de cause pour avoir vécu moi même les évenement de 1991 au Mali, mais je le dis avec tout mes force que s'il existe encore une solution pour éviter le coup d'état il faut y foncé droit dedans.
Enfin pour la paix,la gloire d'Afrique bâtissons notre Afirque pour qu'il soit et reste une terre d'acueil d'humanité une terre de réconcilliation.....réconcilliation....ré...con... cil....lia....tion.........!!!!!!!!!!

[Djizeuss]

Coup d'État en Mauritanie

J.C. (lefigaro.fr) avec AFP et AP
06/08/2008 | Mise à jour : 12:31 |



Un groupe de généraux a arrêté le président et le premier ministre. La radio et la télévision ont cessé d'émettre.

Deux jours après la démission de 48 parlementaires du parti présidentiel, la Mauritanie est en proie à un coup d'Etat. Le président mauritanien Sidi Ould Cheikh Abdallahi et son premier ministre Yahya Ould Ahmed Waghf ont été arrêtés mercredi matin à Nouakchott par des militaires.

La fille du président, interrogée par RFI, a confirmé l'arrestation de son père. «Le président vient d'être arrêté par un commando (de militaires), qui sont venus le chercher, l'arrêter ici et l'emmener», a déclaré Amal Mint Cheikh Abdallahi, qui s'exprimait depuis la présidence à Nouakchott. «C'est un coup d'Etat en bonne et due forme», a-t-elle ajouté. Le président aurait été emmené au BASEP (Bataillon de la sécurité présidentielle).

Amal Mint Cheikh Abdallahi a précisé que la présidence était toujours occupée par des hommes en armes. «Devant le salon, notre cuisine, il y a des sentinelles armées», a-t-elle indiqué, précisant n'avoir pas entendu de coups de feu lors de l'opération. «Je ne peux pas sortir de la résidence. La ligne du standard a été coupée», a-t-elle encore dit.


Tous les responsables militaires limogés

Toujours d'après RFI, «juste avant son arrestation, le président avait limogé tous les responsables militaires du pays». «Quatre nominations avaient eu lieu dans la foulée à la tête de l'état-major de l'armée, de la gendarmerie, de la garde nationale et de l'état-major particulier de la présidence», précise la radio sur son site Internet.

Selon la chaîne de télévision al-Jezira, c'est le chef de la garde présidentielle, justement limogé par le président, qui a pris le contrôle du palais de la présidence et des unités de l'armée ont encerclé le bâtiment de la télévision d'Etat.

La radio et la télévision nationale ont par ailleurs cessé d'émettre après que des militaires en ont chassé le personnel. Des mouvements de troupes ont également été constaté dans la capitale Nouakchott.

La Mauritanie traverse actuellement une grave crise politique, marquée notamment par la démission lundi de 25 députés et 23 sénateurs du Pacte national pour la démocratie et le développement (PNDD), la formation présidentielle. Une crise qui a largement fragilisé le pouvoir du chef de l'Etat

Vraiment c est decourageant!

[rokia]

qu'Allah protège la Mauritanie et les Mauritaniens