Esclavage : Les sociétés Soninkés en Mauritanie, Mali, Sénégal et Gambie.

[Diko hanoune]

Dans ces quatre pays, la société est fondée sur le système des castes repartis entre quatre catégories de castes définis parfois par le nom de famille qui situe la personne de quel rang social elle se trouve.

1) Il s’agit pour les nobles dit ( horo ) Chefs de village les camara, Soumarés, Gandégas ,bathily, Sakhos ,Doucouré, Sylla ,Diabira, Diagana, Maréga, Koita, Diawara , Diagouraga, Diaby, Saranmoura ,Tandia.
2) Des Marabouts dit (Modiny) qui doivent diriger la prière : les Cissé,les Sokhona ,les Doucourés les N’Diayes , les Tandjigora ,les Diakhité,Samoussa. Sont : les dirigeants de la prière
3) Il y a les Niakhamalas qui sont les Forgerons dit( togo) Sylla, Kantés, Dioumassis les yatéras les Cissokhos et les autres Niakhamalas sont les (guésérou,les Diarous qui jouent de la guitare et racontent l’histoire de la société soninkés oralement et il ya aussi les garankos son : les Yaffa , les samékés les sounbounou,les sakéras les Makalous les qui travaillent la peau pour faire des Chaussures ,les sakos qui travaillent le bois Sont : les Dioum et les mangou s qui sont des conteurs d’histoires faiseurs de réconciliation Sont : les Tangoudia,les Koréra et les Sawané
4) Et au dernier rang, se trouvent les esclaves(Komos) dont leurs noms de famille sont : Les Diarra, les Konaté, les Sidibé, les Cissé,les Cissokho, Kéita ,les Coulibaly, les Traorés, les Camara, les N’Diaye, les Sow, les Koné, les Dembélé, les doukara, les Sakhanokho,les Bakhayokho, Les Tamoura, les Siby, les Dabo, les Magassa, les Gassama, les Sy, les Baby,Danba , les Diakhité les Diallo, les Sankharé et Fofana.
En aucun cas cette dernière catégorie ne pourra avoir de lien de mariage avec l’un des trois catégories citées plus haut ni même diriger la prière d’être chef de village d’être Maire d’une Commune, d’être Ministre au sein d’un Gouvernement ainsi que la députation.
Cette dernière catégorie n’a même pas le droit de diriger une réunion quelconque, elle ne mérite aucune considération au sein de cette société bien que l’islam interdit cet état esprit personne ne veut la disparition de nos mœurs. Lire: Au secours des Haratine:SOS-Abolition: Esclavage : Les sociétés Soninkés en Mauritanie, Mali, Sénégal et Gambie.

[kabu tirera]

N maarenme maxa a sinma nan ti ; sooninkara na xo debilenmen ya yi , an ka janmu su xillen kini ya yi ! sooninkara nan lasamanta ken danŋa .
janmu baane ke an ra wa a ňiini tunkanlenme , an na a ňi kome , an ňi ňaxamala !

[Fodyé Cissé]

Ceux qui pondent ce genre d'article viennent encore de montrer leur ignorance de la société soninké. Avant d'avancer de telles thèses, il faut d'abord connaître la société soninké pour savoir que le partonyme ne détermine pas la catégorie sociale de l'individu chez les soninké.

Dans ces quatre pays, la société est fondée sur le système des castes repartis entre quatre catégories de castes définis parfois par le nom de famille qui situe la personne de quel rang social elle se trouve.

1) Il s’agit pour les nobles dit ( horo ) Chefs de village les camara, Soumarés, Gandégas ,bathily, Sakhos ,Doucouré, Sylla ,Diabira, Diagana, Maréga, Koita, Diawara , Diagouraga, Diaby, Saranmoura ,Tandia.
2) Des Marabouts dit (Modiny) qui doivent diriger la prière : les Cissé,les Sokhona ,les Doucourés les N’Diayes , les Tandjigora ,les Diakhité,Samoussa. Sont : les dirigeants de la prière
3) Il y a les Niakhamalas qui sont les Forgerons dit( togo) Sylla, Kantés, Dioumassis les yatéras les Cissokhos et les autres Niakhamalas sont les (guésérou,les Diarous qui jouent de la guitare et racontent l’histoire de la société soninkés oralement et il ya aussi les garankos son : les Yaffa , les samékés les sounbounou,les sakéras les Makalous les qui travaillent la peau pour faire des Chaussures ,les sakos qui travaillent le bois Sont : les Dioum et les mangou s qui sont des conteurs d’histoires faiseurs de réconciliation Sont : les Tangoudia,les Koréra et les Sawané
4) Et au dernier rang, se trouvent les esclaves(Komos) dont leurs noms de famille sont : Les Diarra, les Konaté, les Sidibé, les Cissé,les Cissokho, Kéita ,les Coulibaly, les Traorés, les Camara, les N’Diaye, les Sow, les Koné, les Dembélé, les doukara, les Sakhanokho,les Bakhayokho, Les Tamoura, les Siby, les Dabo, les Magassa, les Gassama, les Sy, les Baby,Danba , les Diakhité les Diallo, les Sankharé et Fofana.
En aucun cas cette dernière catégorie ne pourra avoir de lien de mariage avec l’un des trois catégories citées plus haut ni même diriger la prière d’être chef de village d’être Maire d’une Commune, d’être Ministre au sein d’un Gouvernement ainsi que la députation.
Cette dernière catégorie n’a même pas le droit de diriger une réunion quelconque, elle ne mérite aucune considération au sein de cette société bien que l’islam interdit cet état esprit personne ne veut la disparition de nos mœurs. Lire: Au secours des Haratine:SOS-Abolition: Esclavage : Les sociétés Soninkés en Mauritanie, Mali, Sénégal et Gambie.

[dab]

Xanéla,

Salut Diko hanoune, avec tout le respect, j'aime bien tout ce que vous dénoncez ici mais là tout est faux, il ne faut pas rentrer dans la société soninké, ça se voit que vous ne connaissez pas. Attention à ne pas dire n'importe quoi. Par exemple vous trouverez le nom de famille "Dramé" chez des cordonniers, le même chez les griots et imam , il y a plein de cas comme ça, chez
moi "Koita" se sont des Komés, ect ect... donc please il faut parler de ce que l'on connait bien, respect et bonne journée !

[niaki]

lesclavage existe toujour chez les soninkes il ya toujour linegalite entre kome et hore