Citation Posté par Cheikhna Mouhamed WAGUE Voir le message
Bonsoir

En faisant une incursion dans l'histoire, ces esclaves sont des anciens soninkés, bambaras, wolofs etc., qui avaient été razziés par les Maures avant et même pendant la période coloniale. Assimilés culturellement par leurs maitres, ils sont appelés harâtines aujourd'hui. Ce sont donc des Maures noirs qui, exploités, par leurs maitres n'ont jusqu'à l'orée de ce XXIeme siècle pas droit à une liberté humaine digne de ce nom. Ils s'affairent toujours dans les palméraies de leurs maîtres, à l'intérieur du pays. Ils sont analphabétes à plus de 90 %. Et pourtant, ils réprensent plus de 40% de toute la population mauritanienne.
Ce qui est pardoxal dans cette histoire, et comme l'a trés juridiquement developpé plus haut notre frère Marigatta Wagué plus haut, c'est que ce n'est pas la première fois que la première fois que la Mauritanie abolit l'esclavage ces 25 années. Mais entre les lois votées à l'assemblée et la réalité du terrain, il y a un grand fossé. Nombreux parmis ceux qui votent ces lois abolitionistes sont eux mêmes des fieffés esclavagistes.
C'est dire en conclusion qu'il ne s'agit pas seulement de voter des lois, quand on sait qu'elles ne serviront à rien. La crainte de tout le monde c'est effectivement de voir ces nouvelles tombées en désuétude, comme cela a été le cas pour les soeurs ainées. Voilà, j'espère avoir répondu à ta question. Bonne liberté à tout le monde.
Ah D'accord!!!
En lisant ton poste je me suis souvenu d'un film dont j'ai oublais le titre je crois c'est l'enfant Lion ou il y a une scène ou des maures attaques un village de noir en brulant tous sur leur passage et tuant et captivant les villageois.

Ce serai donc ça la difference entre les maures noir et blanc?
Les maures noir sont donc tous des esclaves d'origine Bambara, wolof, soninké etc...

Aufaite ils ont fait comme les colonisateurs Amércain en leurs imposants aussi de nouvelles identités(nom maure) ou certain on garder leurs nom d'origine?

A mon avis pour la langue et la culture la question ne se pose même pas.