franchement tribal tu m'as tuée je suis pétée de rire! la bêtise humaine est incroyable
yééééééééééé ca devient tres grave dééééééééé
apres le boucan c est le vacarme
franchement tribal tu m'as tuée je suis pétée de rire! la bêtise humaine est incroyable
Pas folle la guêpe!!!
C'est pourquoi maggie manque sur le marché. Ah la bêtise humaine.
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Tribal Cams,
Tu nous a tué, moi je suis morte de rire,
Décidément, dans ce forum, on entend tout.
Vraiment, ça c'est une grosse bétise.
Un article sur le gavage et le manque d'instruction des femmes en pays maure, ce que Fodyé appelle Naritanie
04 octobre 2007 : La jeune Maure et sa maman
Il y a quelques jours, les reporters d’Envoyé Spécial, sur France 2, traitaient du « gavage des jeunes filles » en milieu maure de Mauritanie. Sans pousser le voyeurisme jusqu’à nous montrer des images du calvaire des adolescentes soumises à la torture d’Azayar (deux baguettes de bois dur reliées par une cordelette tressée et servant à enserrer le gros orteil de la suppliciée et de l’écraser sous le poids, considérable, de la gaveuse), le reportage nous promena aux côtés de jeunes filles obèses et présenta le cas de dames âgées en prises avec les séquelles du gavage.
Par exemple les difficultés qu’ont ces femmes à cicatriser, à cause de la graisse, et les complications postopératoires qui en découlent. Le gavage est une histoire de femmes. De maman et de sa fille. La mère, soucieuse de trouver le bon parti pour sa fille, se fait un devoir de la « préparer ». Telle la bête de concours agricole, la jeune fille, afin d’être le signe extérieur de richesse que son futur mari compte faire d’elle, se doit de « bien remplir son voile ».
Ce sont aussi les mamans qui excisent ou font exciser leur fille ou petite fille. Il fallait éradiquer ce résidu phallique chez la future épouse et tempérer, par la même occasion, ses ardeurs en tous genres.
Ce sont aussi les mamans qui font les dernières recommandations aux jeunes mariées leur promettant de devenir, par leur respect, les bonnes épouses et les belles filles idéales à coup d’abnégation et d’endurance. Mais, je le découvrirai à mes dépends, je ne savais pas que ce sont aussi les mamans qui décident de l’éducation ou plutôt de la non éducation de leur fille.
A la fin de l’an dernier, je fus saisi d’une demande d’inscription en thèse au sein du laboratoire où je travaille. La candidate, que j’appellerai Fatimettou, semblait très motivée et son curriculum vitae présentait des garanties suffisantes pour mener à bien la thèse de Chimie physique envisagée. Après entretien et étude de son dossier, je lui rédigeai un sujet de thèse et lui adressai une lettre d’invitation qui lui permit d’avoir un visa d’étude en France.
Fatimettou se débrouilla pour avoir le financement exigé par l’Ecole Doctorale des Sciences Fondamentales. Elle arriva en France malgré les multiples péripéties liées à l’agonie d’Air Mauritanie et je l’accueillis avec beaucoup de bonheur. Les étudiants mauritaniens à Clermont se mirent en quatre pour lui trouver un logement, ce qui fut fait en moins d’une semaine. Je n’étais pas peu fier de voir évoluer, dans les couloirs des bâtiments de recherche, cette jeune fille enroulée dans sa Malehfa de couleurs vives.
Je me disais qu’elle méritait d’être soutenue et qu’elle ferait, dans trois ans, un haut cadre de l’industrie, de l’enseignement ou, qui sait, de la recherche en Mauritanie. Je la présentai aux responsables de la Recherche à l’ Université et lui fis découvrir les laboratoires et une partie des appareils dont elle était censée devenir l’experte dans quelques mois. A peine dix jours après son arrivée, le visage défait et les traits tirés, Fatimettou vint m’annoncer qu’elle doit rentrer en Mauritanie ; sa maman exige son retour immédiat et définitif ! « Maman a besoin de moi. Je dois rentrer. J’en suis désolée».
Je pris sur moi d’intervenir au près de la famille et ce fut la dite maman qui me rappela pour me réaffirmer qu’elle avait « besoin » de sa fille et que les études ne valaient pas le coût d’un éloignement si long…Mes engagements à laisser Fatimettou rentrer tous les six mois n’y firent rien.
J’appris, par la même occasion, que le petit frère, lui, s’apprêtait à venir en France… pour études, avec la bénédiction de la maman!
Je dus renoncer à comprendre et céder devant le désarroi de cette jeune fille qui n’avait que le choix de s’incliner devant les injonctions de sa mère. Je n’essayai même pas de la pousser à la rébellion tellement il était évident, à la voir, que l’idée d’aller contre la volonté de sa mère lui était insupportable.
Et on parle de quotas de femmes aux Assemblées et autres instances politiques. Comment espérons nous remplir ces quotas si, à la base, l’instruction des filles est si chaotique ? A quand des quotas de bourses pour jeunes filles avec obligation faites aux mères de les laisser poursuivre leurs études ?
Aujourd’hui encore, comme une sorte de revanche que l’archaïsme savoure sur la modernité, le mariage reste la seule voie d’émancipation pour la jeune Maure de Mauritanie. La seule issue pour elle de se soustraire à l’emprise de son chaperon de mère. Quitter sa mère pour passer sous le joug de son mari, tel semble être le choix offert à nombre de nos jeunes concitoyennes. Tristes tropiques !
Avec mes amitiés
Mohamed Baba
Note: Info source : Mohamed Baba
Source : cridem.org
Dernière modification par Cheikhna Mouhamed WAGUE 04/10/2007 à 18h44
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Sooninko, Soninkara.com est notre village "virtuel " Soninké où il y fait bon vivre, communiquer, échanger. L'Hospitalité, le respect et la solidarité sont nos valeurs. - Laisse parler les gens ... On s'en fout! - Les Chiens aboient .... la caravane passe toujours !
http://www.waounde.com
c'est vraiment domage !! mais que pouvons nous faire pour raisonner ces mamans ?
L'islam demande aux hommes et aux femmes de s'instruire, de chercher la science ... Rare sont les personnes qui prendront cette instruction en compte.
Comme me disait une des mes cousines, les maris ne veulent pas que les medecins hommes consultent leurs femmes et font tout un tas d'histoires !!
Qu'ils laissent leurs femmes et leurs filles étudier pour devenir medecin, institutrice ou autre... ainsi les femmes musulmane ne seront pas confrontées à ce problème de mixité.
Mais si vous leurs fermez les portes, comment pourront elles aller de l'avant ?
Dernière modification par DJAMBERE KHOUMBA 04/10/2007 à 15h08
Nul divinitè si ce n'est Dieu et Mohamed est l'envoyé de Dieu.
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" Dieu Donne-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux changer,
le courage de changer celles que je peux changer
et la sagesse de distinguer les premières des secondes".
On peut voir le côté scientifique de la chose. Il s'agit d'une analyse pertinente qui nous montre l'historique de cette pratique tant décriée de nos jours à cause de ses effets pervers!
Gavage
L'obésité : critère de beauté
"Vertue et beauté allant souvent de pair, on s'attachera à parer l'élue des attributs de sa gloire. Et chez les maures, beauté égale abondance. La gloire d'un homme se mesure à la grosseur de sa femme. L'Emir du Tagant, vaste plateau central près d'Atar, ne se vantait-il pas, au siècle dernier, de posséder la plus belle femme de la tribu, une gamine de quatorze ans qui pesait cent vingt kilos!. De nombreuses jeunes filles sont ainsi engraissées à Atar. Pendant plusieurs mois avant la puberté, littéralement "gavées" comme des oies, elles doivent ingurgiter jusqu'à vingt litres de lait par jour à l'aide d'un entonnoir introduit dans la bouche.(...) Il existe d'ailleurs de véritables "stations de gavage" qui procèdent à l'engraissage collectif des jeunes filles, notamment dans la vallée de Néma, au Sud de la Mauritanie". (Femmes et Islam ou le sexe interdit",GAUDIO, Attilo et PELLETIER, Renée, ed. Denoël, 1983).
Le gavage : pratique traditionnelle
"L’ancienne société mauritanienne compte parmi celles qui aimaient l’obésité excessive si bien que le proverbe maure considère que la femme occupe dans le cœur une place égale à son volume. Ainsi plus elle est grosse, plus on la considère et on la respecte et inversement !
A peine la fille atteignait-elle cinq and, l’opération de gavage commençait. Les femfmes rivalisaient et se vantaient des traces qui apparaissaient sur la peau à cause d’une obésité excessive. Les hommes composaient des poèmes sur ces ouvertures dermiques semblables à de petits traits blancs sur la peau (vergetures).
Mille et un contes encourageaient l’ancienne femme mauritanienne à devenir obèse, alors que nombre d’autres parlaient de femme divorcée pour cause de maigreur, partie ailleurs se gaver pour revenir grosse et reprendre son mari. Plus d’une femme maigre fut raillée par un homme, en subit un choc, se gava et s’attira l’amour de cet homme pour se venger de lui !
(…)le conte reste un message clair de l’antique culture populaire à la femme dont le premier souci ne doit point être les affaires de la famille ! Elle doit se convaincre que l’homme quel qu’il soit n’aime chez la femme que sa forme qu’elle doit maintenir à tout prix, la forme n’étant rien d’autre que l’obésité.
Ici donc, la femme ne se condidère pas comme responsable du rôle de partenaire de l’homme dans la construction du ménage mais plutôt un moyen d’attrait pour garder l’homme dans la famille !
Cette vision a disparu, notamment dans les sociétés urbaines et les médias commencent à mener des campagnes contre l’obésité et en montrent les dangers pour la santé. Puis le secrétarait d’état à la condition féminine a ouvert, au centre de promotion féminine, une classe pour la pratique des activités sportives pour dimunier le poids". (Extrait de « Femme mauritanienne : dualité de l’harmonie et la mésentente » de MINT MEILOUD.
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Moi, je me demandais si quelque part l'esclavagisme n'a pas un rapport avec cette pratique de gavage chez les maures. Car, c'est bien connu que posséder des esclaves est un signe de richesse et les maîtresses qui en avaient se laisser aller puisqu'elles n'avaient rien à faire.
Simple question!
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