Citation Posté par Mamadou Lamine Voir le message
Je t'ai entendu. Pour toi la vie n'est pas compliqué en Mauritanie. C'est vrai mais que si on est pas combattif et on ne cherche pas a améliorer sa situation. Un homme qui accepte la "loi du plus fort" n'aura pas de "problèmes". Par contre un homme qui cherche la justice et le respect sa vie sera plus que compliqué.

Mais j'aimerai que tu réponde a ces deux questions.
Crois-tu qu'en Mauritanie n'importe quel personne de n'importe quelles des communautés mauritaniennes peut devenir président.
Si oui, pourquoi tous les présidents depuis la naissance du pays ont toujours été Maures Bidhanes . Surtout que les Noirs sont majoritaires et d'entres les Noirs ce sont les Maures Haratines.


Je repète y a un truc qui colle pas dans ce pays de tolérance. Vaut mieux pas avoir trop d'ambitions qu'on on est Noir.

Wa Salaam.
Salam,
Je suis restée dans mon pays, et je me bas pour que la justice et le respect du citoyen soit instauré. Je pense que ce n’est pas en allant se réfugier ailleurs que les mauritaniens pourront combattre pour leur patrie.

Il est vrai que notre pays a connu en un moment donné à des difficultés dans son système politique. Un système qui a mis en place un groupe exterminatrices qui n’ont pour objectifs que de défendre leurs intérêts personnels.

La Mauritanie, comme tout un autre pays dans le monde a un côté négatif et un côté positif ; comme on le dit nul n’est parfait dans ce monde.
C’est ainsi que le système a changé, actuellement, les Mauritaniens avec la volonté d’Allah, ont d’autres ambitions claires pour l’avenir de leur pays : à savoir l’instauration de la démocratie, la bonne gouvernance et l’unité nationale.

Certes, tout ne peux pas être réalisé dans un coup, cela arrivera un jour comme on le dit petit à petit l’oiseau fait son nid.

Et pour répondre à tes questions :
N’importe qui peut être président, s’il en est capable et que si la population lui donne sa voix.
Tous les présidents qui se sont succédés depuis l’indépendance, sont accédés au pouvoir par la force (coup d’état), et qu’actuellement, c’est la voix du peuple qui fait élire.

Bien à toi, mon frère