habibatou monsieur sarko se fatigue pour rien je connait plusieurs personne qui se sont fait rapatrié et qui sont revenu donc laisse le faire il n a cas fermé la frontiere de la hongrie d abord;)
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habibatou monsieur sarko se fatigue pour rien je connait plusieurs personne qui se sont fait rapatrié et qui sont revenu donc laisse le faire il n a cas fermé la frontiere de la hongrie d abord;)
Tunis Hebdo : les barques du suicide
Tunis Hebdo - Premier Hebdomadaire Tunisien ?rid=1&id=27537
IMMIGRATION CLANDESTINE
Les barques du suicide
Témoignages émouvants de quelques candidats
Il aura fallu des images indécentes, abjectes et malséantes, celles d’une cohorte de jeunes africains en guenilles tentant, avec l’énergie du désespoir, de traverser, à partir de Ceuta et Melilla, la Mare Nostrum, pour révéler au vulgum pecus les dessous d’un phénomène inquiétant. Celui d’une immigration clandestine aux relents suicidaires qui pousse ces irréductibles de la mer à se jeter dans la gueule du requin, histoire d’atteindre des pays qui n’ont pourtant plus rien de cocagne.
Le phénomène n’épargne guère notre pays qui n’est pas seulement, vu sa proximité de l’Europe, un point de départ pour nos jeunes concitoyens, mais aussi et surtout un point de transit idoine pour des candidats africains et maghrébins. Qui croient que l’herbe est toujours plus verte ailleurs.
Parqués dans des embarcations de fortune et dans des conditions, le moins qu’on puisse dire, inhumaines, ces candidats à l’émigration clandestine, au voyage de l’incertain serait-on tenté de dire, vendraient leur âme au diable pour l’« eldorado ». Orchestrées par des passeurs sans vergogne, ces traversées se préparent le plus souvent à partir de nos zones côtières, particulièrement des régions du Cap Bon, du Sahel, de Sfax...
L’eldorado à tout prix
Comme toute activité illicite, il est difficile de quantifier les candidats à cette aventure meurtrière. Mais une certitude demeure : près de 70% des Tunisiens qui font ce saut dans l’inconnu sont des jeunes de moins de trente ans, issus de milieux défavorisés, ruraux pour la plupart, célibataires, sans travail et au degré d’instruction au ras des pâquerettes.
Pour des honoraires compris entre 900 et 1500 dinars, les trafiquants de la mort sévissent en catimini dans les ports des gouvernorats côtiers devenus ipso facto de véritables laboratoires pour ces voyages bassement mercantiles.
Ellouza, Mahrès, Sidi Mansour, Sidi Msarrah dans la région de Sfax, ainsi que les villes côtières du Sahel et du Cap Bon sont réputés pour être les points de départ les plus prisés. Quand ils ne sont pas floués par les passeurs (il arrive qu’un de ces véreux s’évapore dans la nature avec la « grenouille »), interceptés par les garde-côtes tunisiens qui, aux moyens de surveillance de mieux en mieux huilés, mettent fin au rêve, ou péri dans les noyades fréquentes, ces clandos échouent généralement en Italie, à Lampedusa ou à Trapani. Commence ainsi une nouvelle étape de leur voyage incertain ; car à peine débarqués sur le plancher des vaches qu’ils sont fraîchement cueillis par la police des frontières italienne Trahis qu’ils sont par les radars sophistiqués des garde-côtes de la Botte.
Le temps où ces « gendarmes de la mer » disposaient de moyens squelettiques est largement révolu. Désormais, la surmédiatisation du fléau est telle que nombre de pays européens, par souci de se barricader davantage, ont recours à des caméras infrarouges, des scooters marins, des murs infranchissables de barbelés, si bien que les clandestins sont repérés à des centaines de kilomètres à la ronde.
Supplice de Tantale
En attendant que l’on décide de leur sort, ces jeunes clandestins sont entassés dans des centres de détention qui foisonnent désormais en Italie et où les conditions d’accueil restent des moins reluisantes. Aussi bien en Italie qu’en France, ces jeunes clandestins se débarrassent de tous leurs papiers car décliner son identité ou son pays d’origine revient à signer son arrêt d’expulsion. Autant faire durer le suspense dans l’espoir d’échapper des mailles du filet.
Noureddine, un inconditionnel de la « harka », a décidé de nous raconter ses nombreuses mésaventures. Après trois tentatives infructueuses, le jeune Tunisien est encore sous l’effet de la frustration de s’être vu non seulement expulsé comme un être infect, mais aussi et surtout pour y avoir englouti des économies réunies après des années de dur labeur.
« La première fois, le passeur a disparu avec l’argent et nous a réunis dans une maison du côté de Kélibia où la police a fini par nous découvrir. La deuxième fois, nous étions partis de Sfax dans une barque de fortune, et au bout d’un certain moment, nous aperçûmes la terre ferme. Le passeur nous fit comprendre que nous étions sur les rives européennes et qu’il fallait, pour ne pas se faire repérer, continuer à la nage. Grande fut notre surprise quand nous nous sommes retrouvés à Bizerte. A la troisième tentative, c’est la police et la garde-frontière italiennes qui nous ont arrêtés, avant de revenir à la case départ », raconte Noureddine qui n’a pas pour autant baissé les bras.
Le parcours de Mehdi est loin d’être une promenade de santé puisqu’il faillit passer de vie à trépas. Alors qu’ils étaient au large, leur embarcation, avec une cinquantaine de personnes à bord, commença à prendre de l’eau. Tout à coup, l’irréparable se produisit. Des dizaines de ses compagnons d’infortune périrent, lui aura la vie sauve grâce à l’intervention des garde-côtes italiens. Après avoir passé une dizaine de jours dans un centre de détention à Lampedusa, on finit par lui accorder une liberté provisoire.
Surfer avec la mort
Le témoignage est bouleversant. « J’ai dû marcher pendant une journée avant de prendre le train pour Palerme où je connais des gens. Des vendanges aux chantiers de construction, j’ai dû travailler au noir avant d’être arrêté et expulsé vers la Tunisie » raconte-t-il.
A noter que durant les dix premiers mois de 2006, pas moins de 300 clandestins tunisiens ont été expulsés rien que de France, le chiffre serait plus élevé d’Italie.
Certaines autres formes de « Harka » consistent pour nos jeunes concitoyens à profiter du manque de vigilance des marins pour se cacher aux ports dans des containers de marchandises en partance pour l’Europe.
En définitive, malgré les rafles fréquemment effectuées par la police tunisienne (les passeurs, candidats et recruteurs risquant jusqu’à 10 ans de prison assortie d’une forte amende) et le renforcement des moyens qui ont, à n’en point douter, réduit cet engouement, il reste encore de jeunes tunisiens qui, après avoir tiré des plans sur la comète, n’ont encore en tête qu’une seule obsession : Partir.
Oumar DIAGANA
Ca se passe de commentaire.
Le Monde.fr : Pêche à l'immigrant clandestin
09 juin 2007 : L’Europe interdite - Par François Soudan
Pour juguler les flux migratoires, l’Union européenne opte pour des méthodes de plus en plus radicales. Expulsions forcées, manœuvres militaires en Méditerranée, camps de refoulement au Maghreb : comment le Vieux Continent mène sa guerre contre les clandestins.
Le mardi 29 mai 2007 est entré dans les annales - au demeurant réduites - des grands et petits aveux de l’Histoire contemporaine de l’Europe. Ce jour-là, le porte-parole du commissaire européen à la Justice et aux Affaires intérieures, Franco Frattini, a officiellement reconnu que la politique communautaire de traitement des flux migratoires était « un échec ».
Échec au regard des principes moraux qui ont fondé l’UE, mais échec aussi sur le plan de l’efficacité puisque le Vieux Continent des droits de l’homme cherche désormais à exporter hors de ses frontières et de son espace géographique une politique qui revient à faire des États de départ des migrants les geôliers de leur propre population.
Ce n’est pas céder aux métaphores faciles que de dire qu’en cette année 2007 l’Europe est en guerre contre les dizaines de milliers de candidats à l’immigration qui se pressent à ses frontières.
Une guerre qui a son état-major commun, Frontex (Agence européenne de contrôle des frontières extérieures), ses moyens militaires (avions, navires, radars de surveillance, caméras thermiques, opérations d’interception navale conjointes aux noms évocateurs : « Ulysse », « Triton », « Neptune », « Atlantis »…), ses champs de bataille (Méditerranée, Atlantique ouest, Sahara, murs grillagés de Ceuta et Melilla…), ses forces auxiliaires et ses gardiens de camps levés dans les États tampons et les pays de transit (Libye, Maroc…), ses victimes aussi, par milliers et toujours du même côté.
Car cette guerre, qui se déroule aussi ailleurs, de la frontière américano-mexicaine au nord de l’Australie, a une caractéristique terrible : elle oppose l’appareil sécuritaire et juridique européen à un adversaire sans armes, sans identité ni représentation d’aucune sorte, totalement démuni et dont l’unique force réside dans la volonté souvent suicidaire de fuir la misère et de mériter un paradis présumé. « Ils sont comme les kamikazes terroristes », disait il y a peu un général de la Guardia Civil des Canaries, « ils n’ont rien à perdre et tout à gagner. »
Guerre aux migrants*, guerre contre le terrorisme…
Aussi aberrant que cela puisse paraître, la première est parfois présentée comme un complément indispensable de la seconde. Un rapprochement moralement scandaleux entre, d’une part, un droit fondamental, celui de migrer, inscrit dans la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, et, de l’autre, l’une des formes les plus réprouvées de la violence, mais un rapprochement utile, si l’on peut dire. Autant le terrorisme « justifie » Guantánamo, issu d’une décision parfaitement assumée de créer des zones de non-droit où les libertés sont suspendues, autant l’assaut des « clandestins » et autres « illégaux » contre la forteresse Europe « justifie » les mesures coercitives et les restrictions aux droits élémentaires prises par les États membres de l’UE.
Entraves au regroupement familial, à la scolarité, à l’accès aux soins, à une justice équitable et au statut de réfugié, traitement policier discriminatoire, expulsions musclées… La liste est longue des petits arrangements avec le droit international auxquels se sont livrées les démocraties européennes au cours de cette dernière décennie.
Pour quel résultat ?
Une baisse généralisée des demandeurs d’asile, certes. Mais un accroissement proportionnel du nombre de victimes, noyées ou mortes d’épuisement quelque part entre les deux rives du Sahara, preuve que la pression migratoire vers le Nord ne faiblit pas - voire augmente. À cet égard, il est clair que la volonté européenne de couper toutes les voies d’arrivée aux migrants indésirables, loin d’en tarir le flot, ne fait qu’accroître la longueur et l’extrême dangerosité des itinéraires parcourus.
On part de toujours plus loin - Mauritanie, Sénégal, Guinée-Bissau, est de la Libye… - et de plus en plus hors saison, c’est-à-dire en hiver, quand les tempêtes se déchaînent et restreignent la surveillance des gardes-côtes.
Quand s’arrêtera ce cauchemar ?
À l’évidence, ce n’est pas pour demain. Les politiques européennes en la matière s’articulent jusqu’ici autour de quatre impératifs.
Un : empêcher l’accès aux migrants - y compris par des incitations visant à décourager les navires de porter secours à des naufragés qu’aucun port ne veut recueillir.
Deux : refouler les clandestins.
Trois : externaliser - ou sous-traiter, comme on voudra - le traitement primaire des migrants vers les pays de la rive sud de la Méditerranée, quitte à y opérer un tri permettant d’extraire une immigration de travail « choisie » indispensable à la poursuite de la croissance européenne.
L’idée de « camps de transit » a ainsi été lancée par la Grande-Bretagne en 2003, puis officiellement reprise par l’UE en 2005 sous l’appellation de PPR (Programmes de protection régionaux). Il s’agit de financer l’exportation de la totalité du processus de filtrage et d’asile dans les États tampons du Maghreb et de l’ex-URSS (Ukraine, Biélorussie, Moldavie), à l’image de ce que les Américains ont fait en externalisant le « traitement » d’une bonne partie de leurs captifs islamistes auprès d’alliés beaucoup moins tenus qu’eux par le respect des libertés individuelles. On passe ainsi insensiblement du burden sharing (« partage du fardeau ») au burden shifting (« fuite des responsabilités »).
Le Maghreb compte aujourd’hui une trentaine de ces zones d’attente, pour la plupart des centres fermés, formels ou informels - dont la moitié en Libye -, où les conventions internationales en matière de droits de l’homme ne sont qu’un lointain souvenir.
Quatre, enfin : aider au développement des pays d’origine des migrants afin de maintenir les candidats sur place. Ce dernier point, le seul qui ne relève pas d’une conception sécuritaire, voire guerrière, du problème migratoire, est évidemment fondamental.
Mais outre le fait qu’en termes réels l’aide des riches du G8 envers l’Afrique stagne, voire baisse depuis deux ans, ce « codéveloppement » relève le plus souvent du marchandage et du donnant-donnant cyniques : on négocie l’aide au développement dans le cadre d’accords dits concertés avec les pays de départ - Sénégal, Mauritanie, Mali, Liberia, Cameroun… -, en fonction et à la mesure de leur volonté d’empêcher leurs propres citoyens de quitter le territoire.
La violation des textes internationaux qui reconnaissent à toute personne le droit de quitter tout État, y compris le sien, est ici implicite. Mais qui s’en soucie, quand mondialisation rime avec enfermement ?
Le lien fort et précis entre l’aide, d’une part, et, de l’autre, l’injonction faite aux pays de départ de se constituer en une sorte de camp de rétention de leurs propres citoyens désireux d’émigrer ne pouvait être mieux illustré que par l’intitulé du nouveau ministère confié, au sein du gouvernement français, à Brice Hortefeux, un proche du président Sarkozy : « Ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Codéveloppement ». L’équation a au moins le mérite d’être clairement posée. Même si elle demeure insoluble.
*Titre d’un précieux recueil de témoignages consacré aux événements de Ceuta et Melilla en 2005, publié par le collectif Migreurop aux Éditions Syllepse (Paris, 2007, 235 pages, 10 euros).
Jeune Afrique
Note: Info source : JeuneAfrique
Franchement je comprend que vous n'aimiez pas Sarkozy mais arretez ce genre d'argument. ça n'a aucun sens. Sarkozy est peut etre fils de Hongrois mais c'est un français en bonne et due forme. Il veut renvoyer certains immigrés chez eux mais il n'a jamais dis qu'ils voulaient faire quitter la France aux fils d'immigrés. Lui est un fils d'immigré, pas un immigré.
http://www.seneweb.com/news/images/s.../quotidien.jpg
LeQuotidien : Mardi 30 Oct 2007
TEMOIGNAGE - Sur son lit d’hôpital, le rescapé Leidi Fall raconte : « On nous a vendu de l’eau à la place de gasoil »
http://www.seneweb.com/news/artimages/leidifall.jpgLeidi Fall, 29 ans l’unique rescapé de la pirogue repêchée par un bateau espagnol mercredi dernier au sud du Cap-Vert, raconte son odyssée dans les colonnes du journal espagnol El Pais, proche du Psoe au pouvoir. Dans l’entretien qu’il a eu à Dakar avec un envoyé spécial du journal El Pais, sur son lit d’hopital, il ressort que la mort des 56 Africains qui ont fait le voyage avec lui à destination des Iles Canaries, est due à la cupidité de receleurs qui leur ont vendu de l’eau pour du gasoil. Un récit émouvant dans lequel il relate comment ses compagnons sont morts et ont été jetés à la mer les uns après les autres, tout au long de la dérive de leur embarcation de fortune. Récit de quelqu’un qui a vu la mort rôder.
«J’étais le patron de l’embarcation laquelle était composée de 28 Guinéens, de 20 Maliens de 3 Sénégalais et de 4 autres Africains dont j’ignore la nationalité. Nous sommes partis de Nouadhibou où je travaillais comme pêcheur. Le propriétaire de la pirogue m’avait choisi pour diriger le voyage car, en octobre 2006, j’avais réussi à atteindre les Iles Canaries même si je fus par la suite rapatrié au Sénégal après cinq semaines de détention. Pour ce voyage, le propriétaire de la pirogue m’a payé 200 euros et deux places que j’ai revendues. Nous sommes partis a l’aube du 3 octobre après avoir rempli la pirogue de sacs de riz, de 100 litres d’eau et de 200 litres d’un liquide qu’on croyait être du gasoil et qui en fin de compte, s’est avéré être de l’eau. Au quatrième jour du voyage, quand nous étions sur le point d’arriver à l’Archipel des Canaries, le premier bidon de combustible était deja épuisé et quand nous avions ouvert le second bidon, grande fut notre surprise de constater qu’il contenait de l’eau et non du gasoil. Ce fut la désolation et la consternation. Les gens se sont mis à crier et à pleurer comme des enfants. Malgré la gravité de la situation, je parvins à garder mon calme en pensant qu’on allait être repêché surtout que le Gps indiquait à ce moment que nous étions à 157 kilomètres de l’Archipel des Canaries. Mais tel ne fut pas le cas, ballotés par les courants et à la dérive, commence alors un véritable drame.
MANQUE DE PROVISIONS, DEBUT DU DRAME
Au fil des jours, la nourriture commençait à être épuisée et certains passagers de montrer leur instinct bestial qui dormait en eux. C’est ainsi que certains ont attendu que leurs compagnons dorment pour les jeter à la mer sans que personne ne lève le plus petit doigt pour s’y opposer. Les gens étaient devenus tout simplement des animaux. Et quand les provisions de nourriture ont été totalement épuisées, les gens sont devenus complètement fous. Au moins 10 Maliens se sont suicidés en se jetant à la mer, d’autres se sont mis à dormir pour ne plus se réveiller. A chaque fois que mourait un compagnon, les survivants organisaient une petite prière avant de le jeter à l’eau. Les gens mouraient les uns après les autres comme des mouches et je ne sais pas par quel miracle, je continuais toujours à vivre. En fin de compte, je n’avais plus de force pour jeter les cadavres, c’est pourquoi le navire espagnol qui m’a sauvé la vie a retrouvé aussi 7 cadavres dans la pirogue. J’étais tellement fatigué que je ne pouvais même pas bouger, je fredonnais tout juste des litanies pour demander que le Bon Dieu me sauve de cette mort qui rôdait.
INSTINCT DE SURVIE
J’entendis le bruit d’un moteur et je ne sais pas où j’ai pu tirer la force de lever ma main. Je fus repêché après 18 jours de dérive en haute mer et sans carburant. Les courants marins nous ont repoussé jusqu’à 2 000 kilomètres au sud des Iles Canaries et à 1 000 kilomètres de la plage de Nouadhibou où nous avions pris le départ.»
Correspondante permanente à Madrid
Mais le pire dans tout ça c'est que surivant là il avait déjà tenté l'aventure et a connu un retour à la case départ!
comme je l'ai dit, ce drame est déjà arrivé et recommencera c'est comme ça tant qu'il n'y aura rien de concret pour les dissuader....
En même temps si la mort ne les dissaude pas qu'est ce qui le fera ?
Quand on regarde cette affaire, on se demande mais, ils auraient pu être sauvés s'ils avaient investi dans un téléphone satellitaire pour au moins en cas de pépin de ce genre, prévenir les secours.... Ils ont chaviré pendant 18 jours, sans nourriture, sans eau sous un soleil d'aplomb. Ils étaient à 157 km lorsqu'ils étaient à court de carburant et quand on les a retrouvés, le courant les a transporté à plus de 2000 km de l'île.:o:o:o