Tout au long de ce récit on est comme pris d'une certaine compassion, quant au calvaire que subit cette jeune femme et son jeune fils privé d'un père sur le sol français, des successions des épreuves difficiles qu'elle rencontre au quotidien, et ce par le biais des administations.
Le couperet tombe à la fin du récit, l'auteur dénonce la polygamie, le mariage forcé, et tradition familiale comme étant la cause de son refus au retour au pays.
Ah là, là qu'est ce qu'on ne ferait pas pour obtenir un titre de séjour, jusqu'à jeter en pâture à la presse la condition de vie des siens restés là-bas (polygamie, tradition etc...), dans le seul but de rester ici.
Et pour le compagnon resté là-bas ?