Paix à son âme.
Que la terre lui soit légère.
Qu'Allah lui accorde Son Saint Paradis.
La musique malienne en deuil : Coumba Sidibé s’est éteinte.
La faucheuse a encore frappé dans la famille des artistes maliens. En effet, nous venons d’apprendre le décès de Coumba Sidibé. La grande diva du Wassoulou s’est éteinte le dimanche 10 mai 2009, à New York (Etats-Unis), des suites d’une courte maladie .
Coumba Saba ! Wassoulou Coumba ! Makossa Coumba ! Kabako Coumba ! Autant de superlatifs qui en disent long sur le talent de Coumba Sidibé. Cette grande dame de la musique malienne qui s’est éteinte le dimanche 10 mai 2009, à New York (Etats-Unis), des suites d’une courte maladie.
Avec une voix d’une puissance inaltérable, Coumba était l’une des pionnières d’une nouvelle génération des chanteuses de la région du Wassoulou au sud du Mali, qui avait émergé avec l’indépendance du Mali comme Kagbe Sidibé et Bintou Sidibé. C’est à son école que les Sali Sidibé, Oumou Sangaré, Sadio Sidibé… et bien d’autres ont forgé leur talent.
Coumba Sidibé a commencé à chanter dès l’âge de 7 ans. La passion l’a conduite vers une carrière professionnelle dans l’Ensemble instrumental national du Mali dans les années 1970. Sa voix est plus rauque que celle d’Oumou Sangaré, et plus « jazz » que celle de Sali Sidibé. Elle est une star au Mali, mais n’est pas très connue hors de son pays.
Ses albums n’ont pas été bien distribués sur le plan international, mais quelques chansons figurent sur les deux compilations « Wassoulou Sound » édité par « Stern’s Music ». Installée à Abidjan un moment de sa vie, Coumba s’était orientée par la suite vers la France avant de s’implanter définitivement à New York où elle vient de s’éteindre. Elle revenait de temps en temps au bercail où elle a réalisé son dernier album, « Mansa », avec Mali-K7.
La discographie de Coumba Sidibé est riche de plusieurs albums dont « Coumba par Coumba » (Syllart, 1989), Wary (1991), « Sanghan » (1995), « Djandjoba » (2000) et « Mansa » (2001). Déli Guèlinma, Djanjoba, Djiguiballa, Furu, Maninka Sira, Poyikan Poyi, Sissi, Souba, Tani Goni… sont entre autres titres qui ont marqué la longue et brillante carrière de Coumba Sidibé. La diva du Wassoulou laisse un fabuleux héritage et une talentueuse héritière, Aïchata Sidibé, qui a déjà fait ses preuves sur une première œuvre. Dors en paix l’inimitable artiste !
Alphaly
Les Echos du 13 Mai 2009C'est une triste nouvelle dans l'univers de la musique malienne.
Paix à son âme.
Que la terre lui soit légère.
Qu'Allah lui accorde Son Saint Paradis.
Paix à son âme!
La patience est la clé de la réussite
Que la terre lui soit légère et que le Paradis, aux délices impérissables, soit sa dernière demeure. Inna Lilâhi wa inna ilayhi radjioûna.
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Oh lala!!
Paix à son âme, que la terre lui soit légère.
Mes condoleances! Que Dieu dieu l'accueille au paradis ainsi que tout les autres qui ont quittés ce bas monde.
Si tu veux savoir quelle place tu occupes auprès de Dieu...
regarde quelle place Dieu prend dans ton coeur
Paix à son ame.
les ames les plus sensibles aux fleurs sont egalement celles les plus sensibles aux epines
Paîx à son âme !!!
paix à son âme.
la meilleure des connaissances est celle qui mène l'homme vers les hommes. SEYDOU BADIAN