Je vois quel genre de personne tu es. Tu aimes le fo malacce (Lire : fo malathié). J'ai un frère à Dakar qui est comme toi et qui avait toujours sa bouteille des trucs pareils préparés à l'avance avec lesquels il arrosait suavement son jo (lire : son dio). Je t'assure que tu n'as pas tort, ça stimute parfois à manger, sauf que, lui, il en faisait trop, ce qui faisait que ça se passait mal avec mon père quand il le surprenait avec sa bouteille remplie d'épices et de piments mélangés.