"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles" - Seneque -
Quand tu es les 2, tu es " en centre de rétention "... Y a pas le temps de vérifier... C'est direct au Bled.
Sais tu que les Français par filiation sont expulsés direct au bout d'un certain quotas d'actes de délinquence... C'est pour ça que je me tiens à carreau moi... Si non mon casier judiciaire n'aurait plus de places...un peu comme toi quoi ,
FB : bakelinfo departement de Bakel
Salam
Doom's et Demba !!!!
Oulibez quoi ? Vous avez agressé le frère du grand Imam de Koughany...Pourtant c'est votre voisin au Bled...Le pauvre, il venait d'avoir son permis. Et dire que vous avez vu le grand " A".
Doom's ! Tu aurais pas eu le temps de faire ta connerie comme tu dis parce que ce Oustaze t'aurait mis à terre en 2 secondes. Tu aurais encore des traces de chapelet sous forme de boules sur ta tête.
FB : bakelinfo departement de Bakel
Arretes ! Je suis mort de rire !
Je ne suis pas violent. Toi meme tu sais. c un ainé. Je ne suis pas Maraambali qd mm !! Mais le gars était en tort à 200% ! Et il s'exite pour rien ! Et il m'a fait sortir de la voiture en plein milieu du périph !!! lol lol.
Un bon souvenir... je crois que ce monsieur vient de "Modi kanni", à Bakel ! C'est sur !
"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles" - Seneque -
Ali Soumaré, la tête de liste PS controversée aux régionales dans le Val-d'Oise, est employé au cabinet du député-maire (PS) de Sarcelles, François Pupponi. Ce dernier s'explique aujourd'hui sur les conditions dans lesquelles il a embauché Ali Soumaré.
Il conforte en même temps, la position de l’avocat de ce dernier, sur l’inexactitude des faits et condamnations reprochés par trois élus du Val-d'Oise. «Je suis outré et scandalisé par cette affaire, s’insurge le député-maire de Sarcelles. Diffuser de fausses informations en pleine campagne électorale est une méthode indigne» «Bien entendu en tant qu’employeur, j’ai fait les vérifications d’usage en mars 2009, précise François Pupponi. Je n'aurais jamais fait embaucher Ali Soumaré s'il avait un passé de délinquant multi récidiviste chevronné... Je ne l’aurais jamais incité non plus à être candidat tête de liste aux régionales. Depuis que cette affaire est sortie, je reste extrêmement serein connaissant la situation judicaire d’Ali Soumaré», conclut-il.
Contactée cet après-midi, la mairie de Franconville, dont le maire Francis Delattre est l'un des trois élus à l'origine des accusations portées contre Ali Soumaré maintient ses accusations et affirme en détenir les preuves.
SOurce : leparisien.fr
Les valeurs qui font de moi ce que je suis sont tirées des valeurs du Sooninkaaxu. Ces valeurs sont mes repères…
Nul bien sans peine !!!
Salam ! Mort de rire mais Mamadou tu es drôle... Mais je savais pas que tu étais si chaud...J'étais surpris de te voir sortir en plein périph.. Tu sais j'ai la vidéo de la scène. C'est Demba qui m'a dissuadé de le diffuser sur youtube. Si c'etait un " Modi Kanninké ", il t'aurait mis un coup de tête illico presto... ma parole.
Sinon on attend du renfort là pour le soutien à Ali... Je parie avec un gar chaud bouillant comme toi à coté de Ali Soumaré... L'UMP fermera sa gueule aussi vite...
FB : bakelinfo departement de Bakel
Régionales en Ile-de-France : Ali Soumaré s'explique
Dans un entretien au Parisien, Ali Soumaré, la tête de liste PS dans le Val-d'Oise, revient sur la polémique concernant son passé. "Je ne cesse d'être caricaturé, c'est très difficile, surtour quand on désire, comme moi, devenir un acteur politique de premier plan. Je considère sincèrement que ce n'est pas une méthode pour faire campagne. Je n'ai pas été respecté en tant qu'être humain." Le candidat reconnaît qu'il y a "une affaire qui remontte à 1999, qui est désormais prescrite". "C'est une erreur de jeunesse dont j'ai tiré les conséquences. (...). J'ai payé ma dette. (...) Je sais ce que j'ai fait à cette époque-là, mais cela ne leur donne pas le droit de rajouter, onze ans après, un autre passé judiciaire qui, celui-là, ne m'appartient pas". Dans un reportage diffusé au "20 heures" de France 2, Ali Soumaré a déploré n'avoir "pas été respecté en tant qu'être humain".
Harlem Désir (PS) a estimé sur LCI qu'il avait "le droit de faire campagne", rappelant son rôle de "médiateur dans sa ville de Villiers-le-Bel, reconnu par tous y compris par les forces de police". Sur le plan judiciaire, Jean-Pierre Mignard, l'avocat du candidat, a annoncé qu'il saisirait "dans la semaine" le doyen des juges d'instruction de Pontoise d'une plainte en diffamation contre Francis Delattre et Sébastien Meurant, maires UMP de Franconville et Saint-Leu-la-Forêt, à l'origine des accusations. Il y a "une intention de nuire patente en période électorale", a dénoncé Me Mignard, qui défend aussi les familles des deux adolescents morts à Villiers-le-Bel en 2007 après la collision entre leur moto et une voiture de police. L'avocat a précisé qu'Ali Soumaré niait trois des cinq affaires judiciaires que lui ont imputées MM. Delattre et Meurant.
Valérie Pécresse, chef de file de l'UMP pour les élections régionales en Ile-de-France, a assuré lundi qu'elle condamnerait les accusations portées au sein de son parti contre Ali Soumaré, si celles-ci se révélaient fausses. Elle a fait cette déclaration dans son QG de campagne parisien, lors d'une conférence de presse sur le thème de la lutte contre les discriminations et pour l'égalité des chances.
Vendredi, plusieurs élus UMP du Val-d'Oise avaient qualifié Ali Soumaré, candidat de 29 ans d'origine malienne, de "délinquant multirécidiviste", deux d'entre eux, les maires de Franconville et Saint-Leu-La-Forêt, lui attribuant une liste de cinq infractions, condamnations ou procédures judiciaires en cours.
Source : Lemonde.
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A l’UMP, un certain embarras
MARTINE CHEVALET | 23.02.2010, 07h00
Après avoir déclenché la tempête Soumaré, l’UMP paraissait hier un brin embarrassée. Ses dirigeants nationaux, en tout cas, prenaient du recul par rapport aux cadres du Val-d’Oise. « C’est l’affaire du PS », lâchait le secrétaire général Xavier Bertrand, qui aurait même fait passer une consigne de prudence à l’équipe de Valérie Pécresse, chef de file UMP dans la région capitale.
« Je n’aurais pas nécessairement fait comme Francis Delattre et Sébastien Meuran » (les maires UMP qui ont traité Soumaré de « délinquant multirécidiviste chevronné »), a relativisé Chantal Jouanno.
L’Elysée reste prudente
La secrétaire d’Etat à l’Ecologie, tête de liste UMP à Paris, avait déjà exprimé un certain malaise face à la tournure de la campagne. « Moi, je ne pratique jamais d’attaques personnelles », renchérit Roger Karoutchi, président du groupe UMP au conseil régional. Et l’Elysée a affiché une prudente distance : « S’il y a un problème, il faut le soulever. Mais s’il n’y en a pas, il faut l’éteindre ! » Valérie Pécresse, très véhémente dimanche soir sur France 3 face à Jean-Paul Huchon, l’accusant de mener une « campagne de caniveau », est restée réservée : « Soit ces condamnations sont vraies et, à ce moment-là, c’est choquant. Mais je ne le sais pas. Je n’étais pas au courant de l’attaque de M. Poniatowski contre M. Soumaré. Je crois qu’il faut qu’on sache où est la vérité. Et replacer tout cela dans le contexte d’une campagne dans le Val-d’Oise très violente. » Certains ont déconseillé à Pécresse de relayer des attaques contre des représentants de la diversité et l’ont mise en garde contre la tentation de grappiller quelques points au FN. Hier soir, elle a même assuré qu’elle « condamnerait la démarche (NDLR : des élus UMP du Val-d’Oise) si les faits sont faux ». Même le très offensif porte-parole de l’UMP Frédéric Lefebvre s’est gardé de franchir les limites de la diffamation. Il a affirmé que les accusations contre Ali Soumaré « reposent sur des documents précis » et s’est plaint que l’affaire ne « stigmatise la diversité car ce n’est pas un exemple de parcours exemplaire ». Lefebvre, qui rêverait d’un secrétariat d’Etat délégué à la Sécurité après les régionales a rappelé que M. Soumaré « est parfaitement éligible ».
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