Pécresse condamne l'initiative du maire de Franconville contre Ali Soumaré
23.02.2010, 20h36 | Mise à jour : 21h00
Valérie Pécresse a condamné mardi soir l'initiative du maire UMP de Franconville Francis Delattre. Celui-ci avait lancé des accusations contre Ali Soumaré (PS, Val-d'Oise) qui se sont par la suite révélées partiellement fausses. La chef de file UMP pour les régionales en Ile-de-France a déclaré dans un communiqué qu' « au vu des déclarations faites par le procureur de la République de Pontoise», elle «condamne l'initiative de Francis Delattre qui a conduit à évoquer à l'égard d'Ali Soumaré une condamnation prescrite, ainsi qu'à lui imputer la condamnation d'un homonyme».
Mme Pécresse «regrette cette démarche qui ne correspond ni à sa conception de la politique, ni à ses valeurs. Dès la diffusion du communiqué de Monsieur Delattre sur Ali Soumaré, Valérie Pécresse avait demandé que toute la vérité soit faite et s'était engagée à condamner ces propos s'ils étaient entachés de la moindre inexactitude», poursuit le communiqué.Le procureur de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry, a révélé mardi qu'une condamnation attribuée à Ali Soumaré concernait en réalité un homonyme, conduisant le PS à exiger des excuses de la part de l'UMP pour sa tête de liste pour les régionales dans le Val-d'Oise.
Le président sortant d'Ile-de-France, le socialiste Jean-Paul Huchon, a estimé que sa rivale UMP Valérie Pécresse, devait faire des «excuses publiques», la rendant indirectement responsable de cette «campagne de caniveau».
FB : bakelinfo departement de Bakel
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Régionales: l'UMP a fait erreur dans sa campagne contre Soumaré
Une des condamnations judiciaires imputées par l'UMP au candidat socialiste pour les élections régionales Ali Soumaré n'existe pas, de même qu'une supposée autre sanction pour conduite sans permis, a déclaré mardi à Reuters le parquet de Pontoise (Val-d'Oise).
Marie-Thérèse de Givry réagissait à une campagne d'élus locaux de droite contre Ali Soumaré, tête de liste dans le Val-d'Oise, et qui a suscité une polémique entre la gauche et la droite, certains ministres critiquant même un climat délétère.
Le candidat a été qualifié de "délinquant multirécidiviste" par des membres du parti présidentiel sur le fondement notamment d'une supposée condamnation pour vol aggravé du 8 février 2007.
"Ce jugement ne concerne pas M. Soumaré né en 1980, il a été rendu par le tribunal pour enfants", a dit la magistrate.
L'affaire concerne donc un homonyme. Elle a précisé qu'une ordonnance pénale évoquée par l'UMP pour conduite sans permis n'existait pas non plus.
"Le dossier pour conduite sans permis par retrait de points est en cours de traitement au parquet et aucune ordonnance pénale n'a été rendue à l'encontre de M. Soumaré", a-t-elle dit.
Demeure donc, dans les dossiers évoqués par l'UMP, une condamnation à six mois de prison ferme pour un vol commis en 1999. Le candidat PS la reconnaît et parle "d'erreur de jeunesse". Il avait 18 ans.
Quant à l'autre problème qu'il reconnaît, une condamnation à deux mois de prison ferme en 2009 pour rébellion à agent de la force publique, prononcée en son absence, elle n'est pas définitive, a dit le procureur.
Il conteste sa culpabilité. "M. Soumaré a fait appel et il est donc présumé innocent, c'est un principe de notre droit", a déclaré le procureur.
Ali Soumaré a protesté contre cette campagne de l'UMP dans un entretien au Parisien publié mardi. "J'ai payé ma dette", dit-il à propos de l'affaire de 1999.
"Je sais ce que j'ai fait à cette époque mais cela ne leur donne pas le droit de rajouter, onze ans après, un autre passé judiciaire qui, celui-là, ne m'appartient pas", ajoute-t-il.
Il va porter plainte en diffamation. Son parti l'a soutenu après quelques jours d'hésitation.
Mardi, le député européen socialiste Vincent Peillon a jugé "ignobles" mardi sur RMC les attaques contre Ali Soumaré.
Il a rappelé le passif de quelques figures de la droite, comme le maire de Bordeaux Alain Juppé, revenu en politique après un an d'inéligibilité prononcé dans un scandale lié à la mairie de Paris.
L'avocat et les proches d'Ali Soumaré ont dit s'interroger sur la provenance des documents produits par l'UMP, que seule la police ou la justice peut, en pratique, obtenir.
Le jeune homme est le porte-parole des familles de deux jeunes gens morts dans une collision avec une voiture de police en 2007 à Villiers-le-Bel.
Cette affaire a débouché sur un non-lieu pour les policiers mais les familles des deux jeunes gens viennent de déposer plainte à nouveau contre eux pour faux témoignage, se fondant sur des rapports d'expertise de l'enquête initiale.
Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse
FB : bakelinfo departement de Bakel
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"Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles" - Seneque -
Valérie Pécresse condamne Francis Delattre, Ali Soumaré contre-attaque
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 24.02.10 | 07h52 • Mis à jour le 24.02.10 | 09h44
AFP/FRED DUFOUR
"Il y a aussi les deux autres affaires avancées par l'UMP qui ne me concernent pas : la conduite sans permis et les violences ayant entraîné une ITT", explique Ali Soumaré, qui se demande si ses adversaires "n'ont pas eu accès aux fichiers de police".
Valérie Pécresse, chef de file UMP pour les régionales en Ile-de-France, a condamné, mardi soir, l'initiative du maire UMP de Franconville, Francis Delattre. "Au vu des déclarations faites par le procureur de la République de Pontoise", Valérie Pécresse "condamne l'initiative de Francis Delattre qui a conduit à évoquer à l'égard d'Ali Soumaré une condamnation prescrite, ainsi qu'à lui imputer la condamnation d'un homonyme", selon un communiqué. Mme Pécresse "regrette cette démarche qui ne correspond ni à sa conception de la politique, ni à ses valeurs", ajoute le texte. "Dès la diffusion du communiqué de M. Delattre sur Ali Soumaré, Valérie Pécresse avait demandé que toute la vérité soit faite et s'était engagée à condamner ces propos s'ils étaient entachés de la moindre inexactitude".
Ali Soumaré, tête de liste PS dans le Val-d'Oise pour les régionales, émet l'hypothèse que "les sondages trop mauvais" pour l'UMP expliquent que des élus UMP de son département l'aient pris pour cible, en l'accusant d'être un "multirécidiviste". Dans une interview à Libération mercredi, Ali Soumaré dit que "ça va beaucoup mieux" depuis les déclarations de la procureure de Pontoise Marie-Thérèse de Givry. "Cela dit, l'affaire ne s'arrête pas là. Il y a aussi les deux autres affaires avancées par l'UMP qui ne me concernent pas : la conduite sans permis et les violences ayant entraîné une ITT", poursuit le candidat PS, qui se demande si ses adversaires "n'ont pas eu accès aux fichiers de police". M. Soumaré explique ne pas avoir dénoncé lui-même les "fausses accusations", car "on ne [l]'aurait pas cru". Il dit que "[sa] famille a été salie" et concernant sa peine à de la prison ferme en 2002, réplique qu'il "a payé [sa] dette".
La procureur de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry, a révélé mardi qu'une condamnation attribuée à Ali Soumaré concernait en réalité un homonyme, conduisant le PS à exiger des excuses de la part de l'UMP pour sa tête de liste pour les régionales dans le Val-d'Oise. Le président sortant d'Ile-de-France, le socialiste Jean-Paul Huchon, a estimé que sa rivale UMP Valérie Pécresse devait faire des "excuses publiques", la rendant indirectement responsable de cette "campagne de caniveau". Bertrand Delanoë a réclamé à la tête de liste de l'UMP, Valérie Pécresse, un acte de contrition générale. "Elle doit demander des excuses à tous les Franciliens, à qui elle a dit beaucoup de bêtises ces dernières semaines", a déclaré le maire de Paris à sa sortie du bureau national socialiste qui s'est penché sur le cas des co-listiers de Georges Frêche en Languedoc-Roussillon.
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L’"affaire Ali Soumaré" crée de vives tensions au sein de l’UMP
Ali Soumaré, candidat tête de liste (PS) aux élections régionales dans le Val-d'Oise, qualifié de "délinquant mutirécidiviste chevronné " par deux maires UMP du département, Françis Delattre et Sébastien Meurant, a décidé de poursuivre "les auteurs de ces méthodes indignes".
Mardi 23 février, la procureure de la République de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry, a dédouané M. Soumaré de trois des cinq accusations portées contre lui. Me Jean-Pierre Mignard, avocat du candidat socialiste, devrait saisir le tribunal de grande instance de Pontoise "de plaintes en diffamation, d'une procédure en atteinte à la présomption d'innocence, d'une plainte pour violation du secret professionnel et de révélations publiques de condamnations pénales réhabilitées".
Les deux élus ont imputé vendredi à M. Soumaré quatre condamnations judiciaires entre 1999 et 2009 et un jugement en cours. La procureure a indiqué, mardi sur Radio Bleu, qu'une condamnation, avancée par M. Delattre, pour vol aggravé commis en 2004, "ne concerne pas Ali Soumaré. Elle a été prononcée par le tribunal pour enfants". A l'époque, M. Soumaré était majeur.
"Il s'agit d'un homonyme", a-t-elle précisé. Concernant une infraction pour conduite sans permis relevée par M.Delattre, "aucune ordonnance n'a été signifiée à M. Soumaré. Le dossier est en cours", a-t-elle ajouté. Enfin, M.Soumaré ayant fait appel des deux mois de prison ferme auquel il a été condamné en 2009 pour rébellion à agent de la force publique, "il est donc présumé innocent. C'est un principe de notre droit", a rappelé Mme de Givry.
Reste une accusation de "violence" contre deux femmes en 2008. M. Soumaré nie en être l'auteur. Le candidat PS reconnaît, en revanche, un vol en 1999 pour lequel il a écopé de six mois de prison ferme. Selon son avocat, Jean-Pierre Mignard, "comme le prévoit la loi, cinq ans après l'exécution d'une peine, M.Soumaré a été réhabilité. Il est donc interdit d'en faire état".
"REDOUTABLE ERREUR"
Cette campagne contre Ali Soumaré sème le trouble dans les rangs de l'UMP. Eric Raoult, député (UMP) de la Seine-Saint-Denis, a estimé, mardi, que la polémique contre Ali Soumaré était "une redoutable erreur". Le maire du Raincy s'en est pris à la candidate UMP à la présidence de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse, qui mène, selon lui, "une campagne amateur". "Il n'y a pas de patronne, on a déjà perdu", s'est-il emporté.
Pour sa part, Valérie Pécresse, a "condamné", mardi, l'initiative de M. Delattre et regretté "cette démarche qui ne correspond ni à sa conception de la politique ni à ses valeurs". Toutefois, selon Axel Poniatowski, tête de liste (UMP) dans le Val-d'Oise, sans être à l'origine de ces dénonciations, Mme Pécresse avait "donné son accord" au communiqué des deux élus UMP. "Je regrette clairement qu'on ait pu porter des accusations erronées contre M. Soumaré", affirme aujourd'hui M.Poniatowski. "Il est certain que son passé judiciaire n'est pas aussi lourd que ce que l'on pouvait penser. Il n'en reste pas moins que M. Soumaré est un personnage obscur", persiste-t-il.
Tête de liste (UMP) à Paris, Chantal Jouanno a pris, très tôt, ses distances avec les accusations portées contre M. Soumaré. "Moi, je ne l'aurais pas nécessairement fait", a-t-elle déclaré, lundi.
Au PS, Jean-Paul Huchon et Bertrand Delanoë ont demandé "des excuses publiques" à Mme Pécresse. Le président sortant de la région dénonce "la campagne de caniveau" de la candidate UMP "qui se développe avec des relents anti-jeunes, anti-jeunes de quartiers".
Les socialistes s'interrogent sur la provenance des documents produits par l'UMP. Pour le porte-parole du PS, Benoît Hamon, il "existe un robinet" direct entre le parti majoritaire et la police ou la justice.
Selon plusieurs sources policières et judiciaires, les allégations divulguées par M.Delattre pourraient provenir du fichier STIC (Système de traitement des infractions constatées). Ce fichier contient les infractions commises par des personnes telles qu'elles sont enregistrées par la police indépendamment de leurs issues judiciaires. Il n'est accessible qu'aux policiers, aux magistrats du parquet et aux juges d'instruction. Sa consultation est limitée. Elle répond à une procédure rigoureuse et exige l'usage d'un code d'accès. En aucun cas, un élu, un avocat ou un responsable politique ne peuvent le visionner ni ordonner qu'il le soit.
Joint mercredi matin par Le Monde, Frédéric Péchenard, le directeur général de la police nationale, a déclaré qu'il "n'excluait pas" de saisir l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) aux fins de vérifier si une personne était allée vérifier dans le STIC le dossier de M. Soumaré. "S'il s'avère qu'un policier est impliqué dans cette affaire, il sera sanctionné", a assuré M.Péchenard.
Mardi, M. Delattre a expliqué qu'à propos de la "rébellion à agents", "deux policiers ayant participé à une interpellation [en juillet 2009] dans un quartier difficile de Villiers-le-Bel et qui ont été confrontés à la violence de M. Ali Soumaré et de ses amis qui s'opposaient à cette intervention, [lui] ont donné la date du jugement". Cependant, concernant le vol aggravé, l'élu UMP ne révèle pas comment il a eu accès au jugement du tribunal pour enfants de 2004, qui n'est pas rendu public.
Yves Bordenave et Béatrice Jérôme
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Delattre-Poniatowski-Meurant : exclus de l’UMP pour mythomanie ?
Libération titre ce matin, "Affaire Soumaré : la droite délinquante" , s’inspirant de l’article commis hier, ici, sur Agoravox intitulé "Ali Soumaré et les délinquants avérés de droite". L’heure est aux comptes. La haine, le racisme et la mythomanie ne passeront pas. Le trio de losers du Val d’Oise et l’inenarrable Frédérie Lefebvre, auront-ils l’outrecuidance de ne pas faire ses excuses à Ali Soumaré ? Selon nos informations, après des appels incessants de gauche et à droite, ni le maire de Franconville, l’affreux Francis Delattre -ce rassasié d’âge qui ne mérite même pas de jouer dans l’équipe de football des pupilles de Franconville, ni la tête de liste UMP en Val-d’Oise, Axel Poniatowski, ni même le maire de Saint-Leu-La-Forêt, Sébastien Meurant ne sont joignables. L’UMP qui demande au Parti socialiste en lançant des cris d’orfraie exclura-t-il ces élus pour mythomanie et racisme primaire en prenant l’exemple sur le Politburo du PS qui a exclu hier, les 59 amis de Georges Frêche….jusqu’à la fin des Régionales, en laissant dans le parti, les ténors qui lui ont apporté leur soutien, de François Rabsamen en passant par Gérard Collomb ou Viincent Peillon ? Hypocrisie quand tu nous tiens !
Les pusillanimités politiciennes de l’UMP viennent de trouver en face d’eux, enfin, une personne qui sait se défendre dans la dignité. Au début, lorsque Ali Soumaré avait indiqué qu’il allait d’abord consulter son avocat, d’aucuns avaient vite fait de l’accuser puisque, qui ne dit mot consent, pensaient-ils. En roulant ainsi à tombeau ouvert, le trio de choc du Val d’Oise, vient de montrer à la face du monde et de la France, qu’ils ce ne sont que des apprentis sorciers, menteurs, hypocrites et racistes. Valérie Pécresse, toute honte bue, veut sortir sa tête de l’eau et a pris rapidement ses distances en faisant un communiqué dès hier en ces termes : « Dès la diffusion du communiqué de Monsieur Delattre sur Ali Soumaré, Valérie Pécresse avait demandé que toute la vérité soit faite et s’était engagée à condamner ces propos s’ils étaient entachés de la moindre inexactitude. Au vu des déclarations faites par le Procureur de la République de Pontoise, Valérie Pécresse condamne l’initiative de Francis Delattre qui a conduit à évoquer à l’égard d’Ali Soumaré une condamnation prescrite, ainsi qu’à lui imputer la condamnation d’un homonyme. Elle regrette cette démarche qui ne correspond ni à sa conception de la politique, ni à ses valeurs. »
Il ne reste donc plus à Francis Delattre, Sébastien Meurant, Axel Poniatowski et Frédéric Lefebvre de rabattre ad vitam aeternam, leur caquet à défaut de présenter officiellement leurs excuses au nègre Ali Soumaré qu’ils ont tant méprisé depuis vendredi dernier à coup de déclarations assassines. Et si le trio de choc des délinquants du Val d’Oise retirait leur candidature des Régionales de leur propre chef, ce serait beaucoup plus moral, non ? Le temps de préparer leur défense devant les juges du Tribunal de Pontoise pour répondre de plusieurs chefs d’accusations : diffamation, vol de documents etc, puisqu’ils ont violé l’article 781 du Code de procédure pénale ? Le coup de massue asséné par la procureur de la République de Pontoise, Marie-Thérèse de Givry, qui a indiqué hier, mardi, qu’une affaire judiciaire avait été faussement attribuée par des élus UMP à Ali Soumaré s’est poursuivi avec des constats terribles puisque la tête de liste du PS n’est pas multirécidiviste et a été condamné en 2002, après une affaire datant de 1999.
L’UMP est nue. La férocité de leurs attaques dans les bas-fonds d’une politique au ras des pâquerettes, sans inspiration, légère et avec des relents discriminatoires envers les jeunes des quartiers montre donc ses limites. Ce n’est pas ça la politique et il faut que les électeurs du Val d’Oise sanctionnent ces gens qui ne se préoccupent pas d’eux mais ne jouent que pour leur propres intérêts. Quand même Eric Raoult, le député-maire du Raincy en Seine-Saint-Denis (9-3) prend ses distances en des termes assez forts, on se dit qu’il y a quelque chose qui est brisée. La fébrilité n’est pas loin. Fustigeant ses amis de l’UMP, il n’a pas été tendre en déclarant que la polémique autour d’Ali Soumaré, est « une redoutable erreur »,« une bêtise ». Rajoutant en passant que : « Si on veut un réflexe anti-droite sur la couleur de peau, on ne fait pas mieux. » Poursuivant sa diatribe, il déclare que : « Ce type (M. Ali Soumaré), ça me le rend sympathique. » Fustigeant des acolytes, il rajoute : « On est plus sur un ring de boxe que sur une arène politique. » Et terminant son propos en saluant le PS : « Le PS a fait un choix plus porteur au niveau électoral, celui de mobiliser l’électorat des quartiers. » Tout est dit.
Va-t-on enfin revenir aux choses simples ? Parler politique, sans des attaques personnels et/ou argumentum ad hominem ? Avec la droite sans programme pour ces Régionales en Île de France, c’est moins sur. Ce qui reste intéressant dans cette "affaire Soumaré", au vu et au su de tout le monde, l’UMP est nue. On comprend que, ses méthodes cavalières et trompeuses, son amateurisme et sa politique des caniveaux, n’est pas un vain mot. Quant à Francis Delattre, il s’était déjà fait remarquer en refusant l’application d’un arrêté préfectoral, en 1992, réquisitionnant un appartement pour reloger une famille d’origine..... Turque. Un vrai délinquant donc, et multirécidiviste patenté qui plus est...
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Salam
Ouffff de soulagement !!! Comme disait Youssou N'dour " Bou fi yamone Sakh mou nexxx " ( Si tout ça s'arrêtait là maintenant, c'est pure délice ".
Moi, j'avais raison dès le début... Ces attaques cachaient une chose : " Le racisme déguisée et le mépris des noirs par ces représentants de la France raciste et haineuse veulent voir les noirs crever dans les cités, et en prison".
Regardez moi ces gens là... avec leurs têtes " charognards "...Xptdr
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Ce que j aimerais c est qu ils decouvrent que le policier en cause est le syndicaliste à synergie qui s est presenté aux regionales en seine saint denis, Bruno Beschizza. Je peux pas le voir ce mec et j espere qu en seine saint denis ils seront pas assez fous pour voter pour un keuf crapuleux comme lui!
Y a pas de degré d inclinaison de mon corps, l inclinaison de ma tete est une reponse directe à l inclinaison de mon coeur!