Citation Posté par makalou Voir le message
Axel Poniatowski .... s'est retrouvé, lundi 22 février, au milieu d'une douzaine de convives de "la communauté noire" à l'invitation d'un "ami", dans une HLM de Cergy. Parmi ses hôtes, aucun n'a pris la défense de M. Soumaré.


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Eh oui, c'est vraiment pathétique !!!
Quand Brice Hortefeux fait des propos jugés "racistes" (par bon nombre d'acteurs de la classe politique) à l'égard d'un arabe. Il se fait inviter par le conseil français du culte musulman.

Quand Axel Poniatowski sort des propos honteux à l'encontre de Ali Soumaré, il se fait inviter par ses "amis" noirs et l'affaire est médiatisée.

Vraiment, comment les gens peuvent être "moutons" à ce point ?

Citation Posté par makalou Voir le message
Axel Poniatowski (né le 3 août 1951 à Rabat au Maroc) est un homme politique français. Secrétaire général adjoint de l'Union pour un mouvement populaire, il est maire de l'Isle-Adam, député de la 2e circonscription du Val-d'Oise et Président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.
Issu d'une famille princière polonaise, il est le fils de l'ancien ministre et député Michel Poniatowski.
Après une enfance passée au Maroc et aux États-Unis où son père était diplomate, il travaille comme cadre dirigeant pour le groupe Thomson, société d'électronique spécialisée dans l'aérospatiale, la défense et les technologies de l'information, qu'il représente notamment pendant trois ans en Arabie saoudite. Il a été directeur de l'unité ELIS (prestation de service de location de linge) de saint Ouen l'Aumône. Il entame une carrière politique en 1995 comme conseiller municipal de l'Isle-Adam dans le Val-d'Oise, ville dont son père est le maire. Il devient premier adjoint.
En 1999, Michel Poniatowski démissionne en cours de mandat et son fils lui succède comme maire de cette ville.
Axel Poniatowski est élu député pour la première fois en 2002, pour la XIIe législature (2002-2007), dans la circonscription du Val-d'Oise (2e), plus importante circonscription de France (188 134 habitants en 1999). Il est alors l'un des 62 députés issus de Démocratie libérale à rejoindre la nouvelle UMP.
Candidat à sa réélection lors des élections législatives de 2007 en Île-de-France|élections législatives du 10 et 17 juin 2007, il obtient lors du premier tour 45,42 % des voix face au candidat socialiste Dominique Lefebvre (28,04 % des suffrages) et est réélu au second tour avec 53,08 % de voix
Président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale depuis le 28 juin 2007, il fut rapporteur de la Commission d'enquête sur les conditions de libération des infirmières et du médecin bulgares [1] En 2008, il prend position pour un Tibet autonome: "Les Tibétains ont droit à une véritable autonomie culturelle, morale et politique; elle devrait s'exercer dans le cadre d'institutions régionales dotées de réels pouvoirs et dans l'esprit de l'Appel de Strasbourg, plan de paix proposé par le dalaï-lama en juin 1988 devant le Parlement Européen et alors rejeté par la Chine.
Quel parcours exemplaire ! Le piston est digne de celui d'un chef d'état africain. Je démissionne mon fils, comme ça tu vas prendre ma place.