C'est la même chose en France et dans les autres pays où il y a des métis, les Blancs ne font pas dans le détail, et s'arrêtent sur le teint basané, donc pour eux les métis sont des noirs.
Voilà ils sont logés à la même enseigne que ceux qui sont nés de deux parents blacks.
Durant toute la campgane présidentielle, les gens, les médias n'ont pas arrêté de scander qu'Obama était un Noir qui voulait accéder à la Maison Blanche.
Maintenant que c'est chose faite, du fait de sa victoire aux élections, il est devenu tout d'un coup devenu métis et ces mêmes qui le qualifiait de candidat Noir pour la présidence des Etats-Unis, ont subitement remarqué qu'en fait il était pas si Noir que ça, car il est né d'une mère blanche. Bizarre non !
Aux Etats uNis comme au canada Metissage n'est pas dans la constitution ou da la charte des nations provinces
Mais en Europe occidentale ce mot existe donc ca fait difference entre la culture occidental eurasie et la culture occidentale euro slave
etre metis est une valeur les plus sur dans un monde de tiramment de cultures nous pouvons le voir sur Obama qui a pu se construire avec des multi valeurs positives des deux cotés
Cela montrer que les Americains(Canadiens et US ) nous ont depassés dans le réflexion des valeurs des noirs africains comme afro americains whites comme hispano et autres
L'election d'un Metis doit nous decrire la facon de comprendre et de concevoir l'avenir sur les valeurs positives de nos cultures.
Merci
Les Humains naissent innocents; grandissent ignorances et meureunt amers de savoir
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Dernière modification par haby_gyal maligalsen 15/03/2012 à 01h06
Un an déjà.
Que pouvons-nous dire?
"Si la grandeur du dessein,la petitesse des moyens,l'immensité du resultat,sont les trois mesures du génie de l'homme,qui osera comparer humainement un grand homme de l'histoire moderne à Mahomet?"(SWS)
Alphonse De LAMARTINE
Que la fête est finie il va devoir bosser dur encore plus que les autres président ayant la couleur locale en plus avec la crise la montée du chomage le bourbier Afghan, la réforme de la santé, ..., d'ailleurs il vient de subir un 1er revert de taille dans les urnes :
TchoooUn an après l'élection triomphale du président américain, les électeurs ont choisi des républicains pour gouverner le New Jersey et la Virginie. Des résultats qui sonnent comme un avertissement.
A la veille du premier anniversaire de son élection triomphale à la tête des Etats-Unis, Barack Obama rêvait sans doute d'un meilleur jour. Dans le New Jersey comme en Virginie, ce sont bien les républicains qui l'ont emporté lors d'élections locales considérées comme des tests pour la Maison-Blanche.
Dans le New Jersey d'abord, bastion démocrate où Obama s'était lui-même rendu dimanche pour la deuxième fois en quelques semaines pour soutenir le gouverneur sortant Jon Corzine, le républicain Chris Christie a remporté la bataille avec 49% des voix contre 44% à son adversaire. «Une victoire pour les républicains dans le New Jersey profondément démocrate enverrait des ondes de choc qui seraient ressenties jusque sur les marches de la Maison-Blanche», estimait mardi le site de commentaires républicain redstate.com.
Barack Obama avait également fait campagne en Virginie, un fief conservateur conquis pour la première fois par les démocrates l'an dernier. Mais là aussi, la victoire, conformément aux sondages, est revenue au social-conservateur Bob McDonnell, élu gouverneur avec une large avance sur le démocrate Creigh Deeds.
Et les efforts du porte-parole de la Maison-Blanche, Robert Gibbs, pour minimiser l'impact de ces consultations - «Je ne pense pas que le président croie qu'elles soient vraiment significatives pour l'avenir», a-t-il lancé mardi devant la presse - n'y changeront pas grand-chose : ces victoires républicaines sont bien un revers pour le président américain. Seule consolation pour les démocrates, la victoire de Bill Owens dans le 23e distict de New York - où le vice-président Joe Biden s'était rendu lundi - pour un siège à la chambre des Représentants.
Gueule de bois
Un an après ce raz de marée d'enthousiasme, de cet espoir démesuré qui a submergé l'Amérique et le monde, le 4 novembre 2008 à l'annonce de la victoire d'Obama, ces deux victoires républicaines ternissent l'aura du premier président noir des Etats-Unis. Comme au lendemain d'une fête trop réussie, les Américains ont la gueule de bois. Après avoir caracolé à 68% d'opinions favorables, la cote de popularité de Barack Obama a entamé une chute importante cet été lors du débat sur son projet santé, se stabilisant à quelque 52% d'opinions favorables..
Attaqué sur sa droite par un camp républicain qui l'accuse de mettre en péril la nature de la tradition américaine en accroissant de manière démesurée le rôle de l'État, il est aussi très critiqué sur sa gauche démocrate pour ses hésitations et son obsession du juste milieu. Le maintien d'une situation économique morose et la persistance d'un fort taux de chômage pourraient encore aggraver la tendance en 2010.
Le dossier de la réforme de la santé, qui progresse avec lenteur au Congrès est caractéristique des obstacles que doit affronter la nouvelle équipe pour mettre en œuvre ses promesses de campagne. L'espoir de parvenir à forger des consensus bipartisans s'est brisé sur la radicalisation du Parti républicain.
Une réputation de «naïf»
De même, si l'entrée de Barack Obama sur la scène du monde a été triomphale, elle n'a pas encore donné de fruits convaincants. Malgré ses ouvertures spectaculaires, Obama bataille toujours pour amener l'Iran à des concessions sur le nucléaire. Sur le front russe, le renoncement unilatéral de Washington au déploiement d'un bouclier antimissiles en Europe de l'Est, n'a pas permis de gagner de manière certaine le soutien de Moscou dans le bras de fer engagé avec Téhéran. Une incertitude qui vaut au président une réputation de «naïf».
Le temps de réflexion que le chef de l'État a décidé de s'accorder pour prendre sa décision concernant l'envoi de troupes supplémentaires en Afghanistan suscite également nombre de piques acerbes. Les républicains appellent à renforcer massivement le contingent comme le demandent les militaires. Les démocrates, eux, redoutent un embourbement à la vietnamienne. C'est dire si la marge de manœuvre politique d'Obama se rétrécit au fur et à mesure que les mois passent. Toute la question est de savoir si sa base électorale diminue elle aussi au même rythme, ramenant vers le camp républicain les brebis égarées indépendantes qui avaient «craqué» pour le jeune candidat démocrate.
Bastien Hugues (lefigaro.fr) avec Laure Mandeville
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.
les gens oublient vite. je trouve que son bilan n'est pas mediocre. il faut rappeler les problemes actuels des USA ne datent pas d'un an .ce monsieur a redressé l'economie et la croissance repart de belle . certes il a fait trop de promesses qui ne peuvent etre tenues à l'echeance et cela est du à la realité du pouvoir et les imperatifs d'alliance et de securite dans le monde. par exemple sur la politique etrangere notamment le reglement du conflit israelo-palestinien dont on sait ce qu'il faut faire et reste à faire au 21é siecle.
quand aux deux guerres irak et afghanistan , leur enlisement est du à cause
de la politique d'unilateralisme de bush qu'il a changé en revoyant les strategies pour s'en sortir sans que les USA ne perdent la face. c'est normal cette situation qu'un citoyen vote contre un parti quand il vient de perdre son emploi croyant sanctionner le pouvoir alors qu'un an auparavant il a porté ce meme parti au pouvoir c'est dingue
Dernière modification par lass77 05/11/2009 à 10h00
traites les autres comme, tu veux qu'on te traite
Ils a fait beaucoups de promesses certes ( 500 d'après ce que j'ai entendu), mais il ne peut en tenir une prommesse par jour, il faut laisser le temps au temps .
Je pense que les américains ne s'attendent pas à une révolution de leurs système, la politique d'Obama est celle du changement l'essentiel est qu'il aille dans ce sens.
PEACE
Personne ne peut passer une chaîne à la cheville de son compagnon humain sans finir pas se nouer l'autre bout autour du cou.
Frederick Douglass