En tout cas, le président, a viré depuis 7 heures son porte-parole qu'il avait traité d'imbécile, après avoir comploté pour le disqualifier de la course pour l'investiture à la Mairie de Neuilly. Que la politique n'est pas saine!
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Salam la compagnie,
Je vois que les municipales vous ont tenues en haleine !!
Pour ma part certes, il y a eu un vote sanction mais ce n'est pas pour autant que les français laissent l'opportunité à la gauche de faire leur preuve (à quelques communes près biensûr ou la réélection va de soi) --- à en juger du taux d'abstention de 38% dans les grandes communes et des votes en blancs.
Quand la gauche sera au gouvernement (on le souhaite pour le prochain quinquenat) on aura droit au même jeu de revers (sans vouloir être péssimiste). Du déjà vu!!!!
Bonne journée!
On a qu'une vie, alors autant en faire bon usage !
Salam!
Je suis d'accord avec ton raisonnement. Pour être plus péremptoire, je dirai même que la gauche doit faire attention avec ces résultats locaux. Car, selon mes analyses personnelles, les français, à quelques exceptions près, considèrent les gens de la gauche comme des assistances sociales auxquelles peuvent avoir recours en cas des difficultés, comme c'est le cas par les temps qui courent. Mais quand il s'agit des enjeux nationaux, c'est la droite qu'il font confiance, parce qu'elle traque et matraque les immigrés, entre autres. Pour moi, la gauche n'a pas à se réjouir de ses résultats, elle doit chercher des voies et des moyens pour émerger de ce naufrage. Si François Mietterand disait qu'il ne serait vraiment tranquille dans sa tombe que le jour un autre socialiste accedera au pouvoir, il doit bien y baver en ce moment. Car les socialistes traversent une période de déconfiture totale. De toutes les façons, pour moi, gauche, droite, centre, demi-centre, trapeze et quoi encore, c'est pareil pour moi. Je ne fais pas confiance aux politiques. Bonne soirée
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
de notre coté a gennevilliers pas de problèmes avec notre maire jacques bourgouins et son équipe. On a pas eu besoin de second tout il l'a emporté au premier tour avec 74.95% des voix.
Notre ville tourne bien : un espace assez plaisant, pas trop de grands ensemble qui gâche le paysage beaucoup d'expaces verts, des logement sociaux en augmentation.
Et une chose respectable une reelle volonté de pousser les jeunes étudiants, jeunes de cité a gravir les échelons.
notre maire à compris que la ville c'est l'affaire de tous.
tu m'aime, tu me déteste, c'est pareil je reste la même toujours fidèle qu'a moi même!
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
http://www.hisnulmuslim.com/index-pa...6-lang-fr.html
Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
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Franchément très fort le Sarko ... En tous cas c'est pas Bayrou qui dira le contraire.
TchoooLa défaite de François Bayrou à Pau constitue un des rares motifs de satisfaction pour Nicolas Sarkozy. Décidé à réduire celui qu'il considérait alors comme son plus dangereux adversaire, il a dès l'automne 2007 mis sur pied un dispositif destiné à empêcher l'ancien candidat à la présidentielle d'accéder à la mairie de Pau. C'est dans son bureau de l'Elysée et en présence d'Alain Marleix, le "M. élections" de l'UMP, que s'est prise la décision de mettre les moyens du parti présidentiel au service du maire sortant (ex-PS, fabiusien), Yves Urieta, que le décès d'André Labarrère, en mai 2006, avait propulsé à la tête de l'hôtel de ville.
L'objectif était simple : empêcher, en provoquant une triangulaire au second tour, l'élection de celui qui avait toutes les chances de l'emporter dans un duel face à la candidate désignée par le PS.
Au début de l'année – c'était à l'époque où le chef de l'Etat disait encore vouloir prendre une part active dans les élections municipales –, M. Sarkozy réservait à Pau et à son maire une de ses premières visites "sur le terrain".
Les coups bas n'ont pas été absents de la campagne à Pau : tracts anonymes, lancement début janvier d'un hebdomadaire gratuit distribué à 50 000 exemplaires, au financement obscur, épousant les thèses du maire sortant et s'en prenant violemment à M. Bayrou et à ses colistiers.
DUPLICITÉ OU NAÏVETÉ ?
Pau est soudainement devenue la seule ville de France dont le résultat déterminerait l'avenir national de celui qui n'y serait pas élu. Le syllogisme palois s'écrivait simplement : comment celui qui n'est pas capable de remporter la ville pourrait-il prétendre à la présidence de la République ? La stratégie présidentielle a fonctionné, au-delà de toute espérance. Devancé d'un point au premier tour par Martine Lignières-Cassou, M. Bayrou voyait s'éloigner ses chances de remporter son pari. Ne restait plus qu'à enfoncer le clou. Duplicité ou naïveté ? Jean-Pierre Raffarin et Patrick Devedjian qui, au lendemain du premier tour, promettaient au chef de file du MoDem le retrait du candidat soutenu par l'UMP à Pau dès lors qu'il accepterait un accord "global" avec la majorité présidentielle, se sont vite fait reprendre. Nicolas Sarkozy n'a pas tardé à les rappeler à l'ordre : à ses yeux, la défaite de M. Bayrou valait bien le sacrifice de quelques villes.
Entre les deux tours, Le Monde a eu confirmation que le secrétaire départemental de l'UMP, Jean Goujy, et ses fidèles faisaient le nécessaire pour que quelques paquets de voix "uriétistes" se portent sur la candidate d'union de la gauche. A l'arrivée, 342 voix séparent M. Bayrou de Mme Lignières-Cassou. Il est battu. Neuf mois après son élection à l'Elysée, M.Sarkozy finit de régler ses comptes.
Patrick Roger
La plus belle chose que l’on puisse offrir aux autres n’est pas notre richesse mais plutôt leurs révéler la leur.