Un bar Soninké au Sénégal où l'alcool coulerait à flots?

[MARIRENME]

Oui oui, j'ai vu ça, ils ont même decouvert un second bar à coté de la Société Générale du Sénégal. Et pourtant, moi je connais trés bien cet endroit, mais je n'ai jamais remarqué ce fameux bar. Pour le moment, le jugement vous est favorable, vous les hayranko. Mais en droit, on peut toujours revenir sur le jugement, quand il y a des nouvelles preuves. Donc, aux gadiaganko de prouver leur inoncence dans cette affaire d'ouverture de bar.

Salam,
J'avais une confiance totale à Oustaz Cheikhna M.Wagué mais depuis un bout de temps à cause de fréquenter les"Hayirankos",je le comprend plus.
Les Hayirankos sont les premiers à parler de ce bar sans citer les autres bars qu'ils connaissent aussi en faisant croire aux gens qu'ils savaient pas alors qu'ils sont champions de... avec leur passage dans les ports de Dunkerque,Marseille,Bordeaux,etc...

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Salam,
J'avais une confiance totale à Oustaz Cheikhna M.Wagué mais depuis un bout de temps à cause de fréquenter les"Hayirankos",je le comprend plus.
Les Hayirankos sont les premiers à parler de ce bar sans citer les autres bars qu'ils connaissent aussi en faisant croire aux gens qu'ils savaient pas alors qu'ils sont champions de... avec leur passage dans les ports de Dunkerque,Marseille,Bordeaux,etc...

De toutes les façons MARIRENME, en me choisissant comme juge pour trancher le nœud gordien de cette affaire de bar, vous les gadiaganko qui étiez mon maître à moi, en la personne de Abdoulaye Bathily, vous m'aviez invité à juger entre mes propres maîtres et les maîtreS de mon maître, car celui qui m'a formé, théologiquement parlant, a été formé en partie chez les hayranko, précisement à Waoundé. Vous vous rendez compte que vous m'aviez donné une tâche difficile et ardue. Mais je vais m’en sortir.
Et comme, il est clairement dit par l’auteur du Tuhûfat al-Akâm « As soulhou sayyidoul ahkâm », c’est-à-dire : « le consensus ou le compromis a d’abord le primat lors d’un jugement ». Autrement dit, l’on ne doit recourir à l’intransigeance que quand on ne trouve pas une solution intermédiaire qui éviterait les deux parties en litige de se fâcher durablement ou éternellement.
Dans ce cas-là, je rends comme jugement ce qui suit : cette affaire, faute de preuves, est un non lieu. Par contre, si jamais on me dira que l’on a vu quelqu’un à côté du bar, le jugement sera revu. Voilà, la messe est dite.