" Dieu Donne-moi la sérénité d'accepter les choses que je ne peux changer,
le courage de changer celles que je peux changer
et la sagesse de distinguer les premières des secondes".
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Sooninko, Soninkara.com est notre village "virtuel " Soninké où il y fait bon vivre, communiquer, échanger. L'Hospitalité, le respect et la solidarité sont nos valeurs. - Laisse parler les gens ... On s'en fout! - Les Chiens aboient .... la caravane passe toujours !
http://www.waounde.com
On a jamais signé de pacte avec qui que ce soit. Ils se sont imiscés tous seul dans le duel...
Je vous offre cette bourde de ce Waoundanké lors de la première venue à Paris.
Il arriva pendant l'hiver. Il était si pressé de sortir de l'avion afin de decouvrir Paris qu'il sortit le premier.
A peine, est -il sorti qu'il retourna direct dans l'avion.
Il s'adressa à mon cousin qui était juste derriere lui...
Le waoundanké dit: Hé yougou les Wanassara sonts trop forts et travailleurs, même leurs rues sont climatisées.
Pauvre Hayranké, il eut trop froid qu'il prit les rues pour des climatisateurs...
Pire, il ajouta... Pourtant pendant les 2 semaines que j'ai passé à Dakar, je me suis entraîné au froid en me lavant avec de l'eau glacé.... Quelle folie.
Depuis lors, les Hayrankos ont cessé de faire venir les jeunes pour leur première fois en France en hiver...
FB : bakelinfo departement de Bakel
Moi je suis seul face au Haîrankos, je ne suis pas venu en aide au Gajagankos lol
C'est un Hairanké qui pousse sa Mercedes toute neuve sur l'autoroute.
Un gendarme s'arrête et lui demande quelle est la panne.
Non, elle n'est pas en panne, répond le Haîranké, elle est neuve, mais le garagiste m'a dit, pendant le rodage, vous roulez à 50 km/h en ville et vous la poussez un peu sur l'autoroute. Alors c'est ce que je fais !!!
« Saches que celui qui t’a conseillé t’a aimé et celui qui t’a flatté t'a trompé »
Un Gajaaganké qui venait de débarquer en France a été embauché en Interim chez Renault. Il rate un jour le car qui le transporte, lui et son équipe, de son foyer à Renault. Il était 5H du matin. Il croyait que le car allait l'attendre loll. Il s'est résolu à marcher jusqu'à l'usine Renault, courageux qu'il est.
Après avoir parcouru une 10aine de kilomètres à pieds,, fatigué qu'il est, il s'est souvenu que dans les films, quand les blancs veulent arrêter une voiture, ils montrent un doigt à l'automobiliste en secouant la main. Mais, il ne se souvenait plus de quel doigt il s'agit. Il a tout de suite deviné que ça doit forcément être son majeur, car, c'est le doigt le + grand de sa main. Il a donc plié les 4 doigts de sa main, sauf le majeur et a balancé sa main en direction des automobilistes. Sans le savoir, il faisait un doigt d'honneur aux automoblistes . La 1ère voiture qui est arrivée à son niveau s'est arrêté. L'automobiliste est sorti et lui a donné une bonne raclée puis est remonté dans sa voiture avant de repartir en vitesse. Le gaj n'a rien compris. Le 2ème automobiliste, pareil, s'est arrêté et lui a foutu une bonne droite à notre ami gaj avant de retourner dans sa voiture et d'accélérer en trombe. La 3ème voiture, pareil. Jusqu'à ce qu'un africain noir qui passait par là s'arrêta pour le prendre et le déposer à proximité de son usine. Arrivé à l'usine, son chef qui était un hayranké le voit et lui dit : Mais, Moussa, qu'est-ce que tu fais là? Aujourd'hui, c'est ton jour de repos !
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Salam
Même fous, les Gajagaankos sont plus rusés que les Hayrankos.
Il s'agit du fou de Hayré et le fou de Gajaaga...
Un jour, le fou de Hayré prit un enfant du quartier à Pikine ( Dakar ).
Il monta avec lui sur la terrase d'un immeuble pour l'apprendre à voler selon lui.
Il commença a alerter les gens qui étaient en bas...
Regardez, je suis maitre-voleur , je vais apprendre à voler ce gamin.
Les gens apeurés couraient de partout et criaient ne sachant pas quoi faire.
Le fou de Gajaaga , arriva dans le brouhaha et vit son ami en haut tenant un gamin par les pieds en criant... il va apprendre à voler.
Le fou de Gajaaga entre en action.
Il dit:
Oh mon ami Hayranké, tu fais quoi là. Arrête ce que tu fais c'est pas bien.
Le fou de Hayré continuait à donner son cours.
Le fou de Gajaaga , furieux de voir son ami continuer son jeu favori.
Il cria... Tu fais le fou, descends vite ou je vais te massacrer.
Le fou de Hayré continua de jouer au sourd.
Le fou de Gajaaga cria alors et sortit un couteau de sa poche.
Le fou de Hayré vit le couteau et agitait l'enfant de gauche à droite.
Le fou de Gajaaga dit alors:
Bon, comme tu veux pas descendre avec l'enfant , je vais couper l'immeuble avec ce couteau que tu vois dans mes mains.
Le Gajaaganké commença à faire semblant de rayer le mur...
Le fou de Hayré criait de toutes ses forces:
C'est bon, je l'ai laissé. Regarde! Regarde ! je l'ai libéré il descend...
Il a eu très peur de la coupure de l'immeuble qu'il se jetta lui même du haut des 3 etages. Il se fractura les 2 mains.
Tout content de n'avoir que des fractures:
Il s'adressa au fou de Gajaaga, tout fier de lui il dit:
Wééééé, wéééé, je ne suis pas mort. Tu ne m'as pas eu... J'ai gagné
On l'amena alors à l'hopital et pire on l'interna pour de bon.
Aujourd'hui, un Gajaaganké même fou joue des tours au Hayrankos et fait peur pour ses ruses.
Dernière modification par makalou 27/03/2008 à 09h52
FB : bakelinfo departement de Bakel
Lol. Hé Makalou, tu ne te serais pas inspiré d'un certain théâtre intitulé "le bébé de l'année" pour ne pas le citer?