éh mon frere;il faut aller doucement;fodyé n'a plus rien à direUn jour d'Avril 1996, on accueillit un Hayranké chez nous. Comme à l'accoutumée, on prenait le " Sombi" du matin ensemble.
Un jour, le " Sombi" etait trop chaud. Mais comme le Hayranké avait une faim de loup, il rempli son gobelet et buva d'un coup sec. La mine de notre Hauranké changea de suite. Les larmes commencèrent à sortir. Il pleurait...
Mon oncle genait par les larmes de son hote lui demanda :
Et Cher cousin Hayranké , qu'est ce qui t'arrive ?
Le Hayranké: Rien , rien que des souvenirs... Je pensais à mon fils ainé qui est décédé l'année dernière. Quant je regarde ce petit garçon à coté, il me rapelle mon dit ainé... Quel mensonge.
En fait il avait si chaud à la bouche, comme ce serait indecessant de ressortir cette gorgée de bouche, il a prit son courage à deux mains pour resister... Mais hélas, la chaleur n'a pas d'amis.
Depuis lors, les Hayrankos ne prennent plus la bouille avec les Gaj...
Ce meme Hayranké qui avait son beau père à Gajaga est parti rendre visite à sa belle famille.
Il trouva sa belle mère dans la cour en train de frire des poissons. En bonne femme Gaj... elle proposa au Hayranké d'en prendre. Mais il refusa.
Elle a supplié pendant des minutes... toujours c'est non.
La femme rentrait dans sa chambre pour lui anemer une chaise.
A peine a t'elle tourné le dos que le Hayranké s'est saisi de 3 Poissons et les mis sous son chapeau. Ces poisons venaient tout juste d'être retirés de l'huile.
Sa belle mere vint avec la chaise et lui dit de s'assoir mais le Hayranké dit alors:
Non , je dois rentrer... c'etait juste pour un coucou.
La dame insista.. mais le hayranké voulait à tout prix rentrer.En plus sa tête était rasée ce jour la alors imaginez la douleur...
Il refusa a tout prix de rester.
Sa belle mère la racompagna alors... mais dés la porte de la maison.
Le Hayranké dit : C'est bon... merci..
La dame dit: Non on va discuter un peu comme on a pas eu l'occasion tout à l'heure.
Le hayranké dit: Non , une prochaine fois... A chaque 1 mn, il disait c'est bon ... retourne c'est gentil.
La dame continuait a vouloir discuter.
Le Hayranké n'en pouvait plus.
Le hayranké: 5 mn plutard le Hayranké, les larmes aux yeux dit :
" Eh , j'ai tout compris, tu veux tes poissons. Tiens ! "
La honte , il sortit les 3 poissons brulants sous son chapeau.Sa belle mère n'eut rien compris de son forfait...
C'est depius lors que les Hayrankos ont cessé de prendre des epouses Gaj...
tres fort makalou