Coin des hayiranko, gajaaganko et autres cousins à plaisanteries !

[Fodyé Cissé]

Ce sujet m'a manqué, et je le remonte, car je suis sûr Makalou va y pondre des grandes bêtises.

Cheikhna, les gajaaganké ont peur de moi.
Mais, je ne les laisserai aucun répit. J'ouvrirai les hostilités bientôt !

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

J'ouvrirai les hostilités bientôt !

Fodyé, faut pas faire comme Cheikhna Mouhamed Wagué qui dit que je reviendrai plus tard incha Allah et qui ne revient plus dé. Donc, on t'attend.

[Fodyé Cissé]

Un gajaaganké qui n'avait jamais vu de blanc dans sa vie débarque un jour à Dakar.
Il marchait avec son cousin dans la rue quand soudain il tomba et perdit connaissance.

On appela alors une ambulance. Comme la rue n'était pas très loin d'un nouvel hôpital français, l'ambulance amena le gaj dans les urgences de cet hôpital.

Les médecins français firent tout pour le ranimer.
Quand notre gaj reprit connaissance. Les medecins français lui posèrent quelques questions. Ils lui demandèrent : "Monsieur, vous avez quel âge ?"

Le gaj, désamparé, répond : "Bah quand j'étais vivant, j'avais 42 ans".

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Un gajaaganké qui n'avait jamais vu de blanc dans sa vie débarque un jour à Dakar.
Il marchait avec son cousin dans la rue quand soudain il tomba et perdit connaissance.

On appela alors une ambulance. Comme la rue n'était pas très loin d'un nouvel hôpital français, l'ambulance amena le gaj dans les urgences de cet hôpital.

Les médecins français firent tout pour le ranimer.
Quand notre gaj reprit connaissance. Les medecins français lui posèrent quelques questions. Ils lui demandèrent : "Monsieur, vous avez quel âge ?"

Le gaj, désamparé, répond : "Bah quand j'étais vivant, j'avais 42 ans".

Donc, cela veut dire qu'il pensait qu'il était au jour du jugement dernier et que le blanc interrogateur un ange. Tu m'as tué de rire. Mais Fodyé je sens que la réplique gajagoise ne va tarder

[Fodyé Cissé]

Donc, cela veut dire qu'il pensait qu'il était au jour du jugement dernier et que le blanc interrogateur un ange. Tu m'as tué de rire. Mais Fodyé je sens que la réplique gajagoise ne va tarder

Oui, tu as tout compris !
Mais, tu me connais, la réplique des gaj, pour moi, c'est comme ....

[ROUMBALOVE]

Le gaj, désamparé, répond : "Bah quand j'étais vivant, j'avais 42 ans".

Mdrrrrrrrrrrr je voulais pas rigoler de cette blague, mais elle est mortelle

[makalou]

Salam

Mdr, non mais je vais vous raconter une histoire incroyable.

Un vieux Waoundanké était parti regarder la " Zap Foot de la ligue 1 " avec son garçon dans la salle de la mairie mise à disposition pour l'occasion.

Son garçon étant turbulant, se soustrait de la vigilance de son pater pour faire les 400 coups dans la grande salle. Son père supporter du PSG était plongé dans son match...

Le petit traine dans la salle et trouve à coté des portugais une canette de bière à peine entamée. Les portugais commentaient le match et n'ont pas vu le petit bout à coté qui se donnait à coeur joie.

Le petit Hayranké Moussa but jusqu'à remplir son ventre de la canette de bière. Il se soula tellement qu'il ne tint pas debout plusieurs heures. Il tituba et vint dormir à coté de son père.

Après le match, son père remarqua que son fils avait un comportement bizarre. Ses yeux s'ouvraient à peine et il titubait comme un danseur de " Techtonik "...

Son père " Moussa, ké lenki ma a magomou dééé "...

A l'arrivée à la maison, sa soeur prit Moussa en main... Son père, irresponsable continuait ses commentaires " Moussa nta siki soro maxa ba... ".

C'est finalement que sa soeur comprit que Moussa avait bu. Ses habits sentaient le " Heineken "... Il d'adressa à son père " Papa, andi mané kini Moussa "... lol
" Moussa gni do pourtugais ni kou ya karandé, ntatou a guéri kébé mini ".

Sa soeur vient de découvrir que son jeune frère de 8 ans était sourd comme un polonais. Une histoire incroyable.
A ces hayrankos !!!