Coin des hayiranko, gajaaganko et autres cousins à plaisanteries !

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Là chauffe dé ! Fodyé, le gars est venu en force dé! Moi, je ne suis qu'arbitre entre vous.

[makalou]

Salam!!!

Un jour de Mars 1996,à Pikine Dakar, on avait un voisin Hayranké...
Il s'appelait Moussa ,il venait toujours de debarquer de son Hayré Natal . C'est la première fois que mon cher ami sortait de son village.
A peine arrivé, on l'initié à nos activités. On regardait que des films de Karaté.
Tous lesjours, le Hay. venait regarder du KARATE.Il était devenu accro.
Mais grave encore, il croyait que les actions des films etaient vraies.
Les sauts, les coup de têtes....
Un jour, le Hayranké n'a rien trouver à faire que d'exercer cette passion du KARATE que les Gajagankés l'ont fait voir.
Il monta les escaliers de la maison en discrétion. On prenait du thé.
Et d'un coup on entendait des cris de " YA" " Ya" Ya"....
Il fait un saut dans l'espace, croyant qu'il allait faire comme les chinois des films Karaté. Voyant que la pesanteur lui a joué des tours. Le "Ya " s'est transformé en " Way may Koy"...
Pauvre hayranké, il a attéri à l'hopital avec un bras et unejambe cassée. Quant on allait lui rendre visite,on pouvait pas se retenir.Il disait: " Xadin ngoto ya...nia sima na sobé niani". Quel interlligent ce HAy.

[coum coum]

oui oui makalou continue j ai confiance

[Fodyé Cissé]

Un gaj débarque en France, et il décide d'aller tout seul acheter des oeufs à l'épicerie située en face de son foyer. Comme il ne sait pas comment on dit "oeufs" en français, alors, il se présente et dit : "Missié, euh,seksiki tu as le fils de poulé" ?

Jeu de jambes, yes papa, ça c'est pour vous!

[Diédji]

Un gaj débarque en France, et il décide d'aller tout seul acheter des oeufs à l'épicerie située en face de son foyer. Comme il ne sait pas comment on dit "oeufs" en français, alors, il se présente et dit : "Missié, euh,seksiki tu as le fils de poulé" ?

Jeu de jambes, yes papa, ça c'est pour vous!

Yé poné djum

[makalou]

Un gaj débarque en France, et il décide d'aller tout seul acheter des oeufs à l'épicerie située en face de son foyer. Comme il ne sait pas comment on dit "oeufs" en français, alors, il se présente et dit : "Missié, euh,seksiki tu as le fils de poulé" ?

Jeu de jambes, yes papa, ça c'est pour vous!

Salam
Eté 2006, je débarque à Marseille.Dans le foyer des Waoundankos, il y a un syteme de tour tour. Les petits s'occupent de la cuisine, les plus grands s'occupent de l'achat des condiments et tout.
Un jour , on me demande d'accompagner un certain " Hayranké"...pour acheter de la viande de boeuf entier.
Aussitot qu'on a franchi la porte de la ferme. Le grand Hayranké se dirige directement vers le fermier, croyant que comme je viens tout juste du bled, je pourrai pas faire l'affaire.
Il me dit de le suivre et de voir comment il négocie bien.
Le Hay : Bonssour !!! Mousié lé nagana...
le fermier n'a rien compris...
Le Hay continue...
Je vais acheter " Mbou " ... wiandé de "Mbou"...
Le fermier change de mine... c'est quoi ça..
Toi ti é bèti... conné pas "mbou"...
J'arrivais à me contenir... Mais le goute d'eau qui a fait debordé la vase est:

Comme le fermier n'a rien compris , notre cher Hatanké utilisa la maniere forte/
Il fait une similation/
J'ai dit " mbou" ... lé "mbou"...Il prend ses mains et les place juste à cotés des oreilles... et aussitot il beugle "mbou" mbou" et donne même un coup de cornes fictif à la poitrine du Monsieur le frmier qui direct a compris...

fermier: Oui oui j'ai compris, viande de boeuf...
Encore pire, lors du reglement, il dit au fermier : C'est combien lé éros..
Le fermier comprit et lui dit 100 Euros HT mais 125 Euros TTC...
Le hayranké donna :
100 euros Hors taxe et encore 125 Euros TTC... En tout il donna 225 Euros au fermier... C'est la que je suis intervenu et l'a sauvé de cette bétise.
Car il aurait donné les 225 euros , les Waoundankos allaient le faire sortir du Guiné...( Leur groupe de cuisine).Hélas j'ai eu pitié et j'ai sorti un speeck au monsieur ...pour regler le probleme, moi le Gajaganké.


Yes Tonton, jeu de cornes, ça s'est Zakat ( aumone )...

[djenawelle]

Salam
Eté 2006, je débarque à Marseille.Dans le foyer des Waoundankos, il y a un syteme de tour tour. Les petits s'occupent de la cuisine, les plus grands s'occupent de l'achat des condiments et tout.
Un jour , on me demande d'accompagner un certain " Hayranké"...pour acheter de la viande de boeuf entier.
Aussitot qu'on a franchi la porte de la ferme. Le grand Hayranké se dirige directement vers le fermier, croyant que comme je viens tout juste du bled, je pourrai pas faire l'affaire.
Il me dit de le suivre et de voir comment il négocie bien.
Le Hay : Bonssour !!! Mousié lé nagana...
le fermier n'a rien compris...
Le Hay continue...
Je vais acheter " Mbou " ... wiandé de "Mbou"...
Le fermier change de mine... c'est quoi ça..
Toi ti é bèti... conné pas "mbou"...
J'arrivais à me contenir... Mais le goute d'eau qui a fait debordé la vase est:

Comme le fermier n'a rien compris , notre cher Hatanké utilisa la maniere forte/
Il fait une similation/
J'ai dit " mbou" ... lé "mbou"...Il prend ses mains et les place juste à cotés des oreilles... et aussitot il beugle "mbou" mbou" et donne même un coup de cornes fictif à la poitrine du Monsieur le frmier qui direct a compris...

fermier: Oui oui j'ai compris, viande de boeuf...
Encore pire, lors du reglement, il dit au fermier : C'est combien lé éros..
Le fermier comprit et lui dit 100 Euros HT mais 125 Euros TTC...
Le hayranké donna :
100 euros Hors taxe et encore 125 Euros TTC... En tout il donna 225 Euros au fermier... C'est la que je suis intervenu et l'a sauvé de cette bétise.
Car il aurait donné les 225 euros , les Waoundankos allaient le faire sortir du Guiné...( Leur groupe de cuisine).Hélas j'ai eu pitié et j'ai sorti un speeck au monsieur ...pour regler le probleme, moi le Gajaganké.


Yes Tonton, jeu de cornes, ça s'est Zakat ( aumone ).

celle la elle est terrible coup de cornes fictif

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Là, ça chauffe toujours. A qui la main? Nous, nous ne sommes que catalyseurs lol.

[soukey]

ça me fait rire tout ça