Salam
Juste une petite info...
France O diffuse ce soir à 20 h 40, une emission sur le retour de jeunes Maliens dans leur pays d'origine.
FB : bakelinfo departement de Bakel
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Salam
"Ici y a meme pas de feux rouges, même pas de passages piétons, même pas de policiers..." dit une Franco-malienne.
Elle a dit : En France, dans son Montreuil, il a pas besoin de taxi pour se promener ... Elle a dit qu'elle prends le bus chez elle et c'est tranquille mais elle a oublié les controleurs RATP de Bus en France dééééééééééé...
Elle a encore rien vu... Chez la capitale.
Direction : Maintenant direction YELIMANE...
Les commentaires en live... de suite.
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Il y a leur grande soeur : La chef de groupe.
Par contre, elle sait ce qu'elle dit. Elle s'y sent à l'aise. Elle s'apelle Khoudjédji Niakhaté. Elle a l'expérience du Mali. Elle connait bien le village.
Direction : Niongomera,
Ils sont partis à Niongomera... c'est le village de celle qui parlait de Montreuil comme si c'était New York. Elle vient d'arriver chez elle. Elle est débordée Miss Diakha Kanté. Elle a pleuré tellement, elle a flippé sur nos conditions de vie. Ba wé c'est le village... Papa et Maman viennent de là.
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D'autres jeunes filles arrivent dans leur village à Krémiss...
3 jeunes Filles et leur frère.
L'ambiance du Bled... Trankil avec les charettes, les anes, les cases, et les mobylettes.
Krémiss , Xaniaga... La famille vient accueillir les 3 jeunes du convoi.
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Salam
On retourne dans le village de Diakha Kanté...
Elle commence a se sentir à l'aise. Elle présente sa famille. Elle parle de la gentilesse des gens du bled. On lui a tué un mouton.
Elle se faufille entre les maisons en Bancons comme si c'était les appartements de Montreuil.
Mission : elle doit aider sa cousine à faire le linge. Elle essaie qu'à même malgré tout.
Elle montre aussi la boulangerie traditionnele du village. Elle se gave du pain. Les larmes ont cessés déééééééé ma cousine.
C'est reparti :
Elle s'inquiète qu'il n'y a pas de soins pour les enfants qui se blessaient. Elle a trop de peine selon ses dires à voir les gens dans ces conditions précaires.
Elle nous présente la maison de son père. Belle baraque. C'est le palais du village de Niogoméra.
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Village de Xaniaga : chez les soeurs Dango.
Les 2 soeurs présentent leur maison du bled. Elle presente sa famille. Elle a l'air de s'y plaire. C'est ma cousine, c'est ma tante...
Bref, pas dépaysées sauf la chaleur...
Leur quotien : Aller voir la famille, aux Dimbu, Télé et DVD. Par contre, le temps passe pas pour elle même si elle fait des siestes.
Elle pense que les filles sont à l'image des filles françaises. Ce sont les darones qui taffent dur mais pas les jeunes filles. Seuls les jeunes garçons courbent l'échine.
Les soeurs Dango montrent les champs de maïs et les peules.
La grand mère parle de sa joie d'acceuillir ses petites filles. Elle insiste sur la scolarisation des enfants parce que selon elle, c'est la clé de la reussite.
La Soeur Dango se met au travail. Elle pile le mil. On l'appelle cela du Sossonde.
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Cap sur la Mauritanie pour aller voir une autre Vancancière... Koumba.
On la retrouve aux puits entrain de puisser de l'eau dans son village de Kacoulou. C'est la famille de Diadié et de Koumba Traoré.
On se dirige vers le Kora du village pour présenter le chef de village, les boutiques. Diadié est venu plusieurs fois. Il connait très bien son village et il s'y plait. Il parle bien Soninké et monaye avec les Maures qui sont venus acheter du Gasoil chez la famille de Diadié.
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La parole à la grande Soeur
Selon elle, les enfants avaient peur du village et voulaient rester à Bamako. Elle dit avoir joué la mère et la grande soeur surtout avec le Benjamin de 11 ans.
Elle se rejouit que les jeunes se sont sentis peu à peu à l'aise.
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Retour Niongoméra.
C'est jour de fête. Le frère de Diakha Kanté se marie. Il y a un Dimmu et tout le village est en ebulition. Diakha danse même le Worosso from Montreuil. Cela change du Worosso de Niongomera.
Notre vacancière qui pleurait semble être maintenant dans son élément. C'est ça le bled. Le premier jour, on pleure mais le dernier jour, on ne veut pas quitter. Diakha Kanté peut témoigner.
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