Le portable n'est pour rien. C'est l'homme sans conscience qui l'ulitise mal.
Tout à fait. Les choses en soi ne sont ni bonnes ni mauvaises. Ce sont les usages que l'on en fait d'elles qui les rendent bonnes ou mauvaises. Certes, les téléphones portables sont des outils devenus de nos jours indispensables. Mais, ils charient des nouvelles trés vite aussi. Parfois, ce qui se passe en France avant même que tout le monde soit ici au courant, la nouvelle circule tranquillement au bled. Oui, il y a forcement dans ces conditions, la médaille et son revers. Bien à tout le monde.Posté par alimatou dia
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Le portable n'est pour rien. C'est l'homme sans conscience qui l'ulitise mal.
Nous aimons celui qui croit que nous sommes ce que nous voudrions être. Paul Valéry
Rien qu'hier, je disais à un ami que les téléphones portables, quoi qu'ils soient indispensables, ne favorisent plus le contact humain. Quand j'appelle au pays et qu'on me demande quelqu'un, je leur ai dit généralement, non pas que j'ai vu la personne, mais que je l'ai appelé ou que je l'appellerai pour bientôt. Je suis sûr que je ne suis pas le seul à être dans le même cas.
Mais je pose cependant la question suivante à ceux qui sont en France avant l'arrivée des portables: Avant les portables, comment les gens qui se donnaient rendez dans Paris s'arrangeaient pour se voir en cas de panne de train par exemple?
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Il est vrai qu'avant le portable, il y avait la cabine téléphonique, le truc : c'est que si la personne est en retard tu attends peut être 1/4 d'heure 20 min, et si elle n'arrive pas et bien on rentre chez soi, c'était la galère avant quoi, ou sinon, il y avait le bipeur
C'est en pensant justement à cette galère que j'ai posé cette question. C'était chaud alors. Merci pour ta réponse.Posté par miss Fatou
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Bonsoir les amis, en plus de la cabine téléphonique, l'une des pratiques courantes, en tout cas dans le Guidimakha, c'était de faire des enrigistrements audio (K7), lesquels étaient envoyés aux tierces personnes avec pleines d'informations.
Une femme infidéle a été trahie par son portable, pour en savoir plus, consulter Seneweb news :TROMPANT SON MARI AVEC SON EX-PETIT COPAIN DEPUIS DES ANNÉES : La femme infidèle trahie par la sonnerie de son téléphone portable
TROMPANT SON MARI AVEC SON EX-PETIT COPAIN DEPUIS DES ANNÉES : La femme infidèle trahie par la sonnerie de son téléphone portable
L’histoire qui est arrivée à M.T. pourrait servir de scénario pour un dramatique. Tellement elle sort du commun. L’homme, un riche commerçant demeurant à Rufisque, a vécu des années avec son épouse avant de se rendre compte qu’elle le trompait impunément avec un ex-petit ami. Lui, trop amoureux, ou trop naïf, n’a commencé à avoir des doutes que lors de la naissance de leur deuxième enfant. Puis un beau jour, tout devient clair grâce… à la sonnerie du portable de sa femme. Récit.
M.T. et A.C se sont mariés en 1995. Comme tous les nouveaux mariés, ils vivent pleinement leur amour. Une idylle que rien ne vient entacher, ceci d’autant plus que les affaires de M.T., qui s’active dans le commerce, marchent à merveille. Rien ne manque à A.C., son mari se pliant à tous ses caprices. À cette époque, il est âgé de trente ans, douze ans de plus que son épouse. Mais la romance n’aura duré que le temps d’une rose. Ses affaires commencent à battre de l’aile. Le couple est obligé, dès lors, de serrer la ceinture. C’est alors que son épouse, docile jusqu’alors, commence à lui tenir tête. Durant la journée, alors qu’il se bat pour redresser son magasin, elle passe la journée chez ses parents. Elle ne met les pieds dans la maison conjugale que pour dormir. Son époux ferme les yeux malgré tout et explique ce comportement par son jeune âge. La naissance de leur premier enfant, une fille, semble donner un nouveau souffle à leur idylle. Mais ce n’est que le calme qui précède la tempête. Quelques années plus tard, sa femme lui annonce qu’elle est à nouveau enceinte. Mais la joie qu’elle espérait lire sur le visage de M.T. n’est pas au rendez-vous. Ce dernier, après un rapide calcul, se rend compte que l’enfant ne peut pas être le sien. Car la date de sa conception coïncide avec la période où il se trouvait en Espagne pour ses affaires. Toutefois, après en avoir discuté avec sa propre famille, il consent à pardonner encore une fois et à reconnaître l’enfant, une fille. Cependant, au cours de l’année 2007, ses doutes se confirment. Il a la preuve formelle que sa femme a un amant.
«Lorsque son portable sonnait la nuit, je pensais que c’est sa fille qui pleurait»
«Elle me parlait souvent de lui. Elle me disait que c’était un ami de sa mère. Qu’il travaillait à la mairie de Rufisque et qu’il était même prêt à lui trouver un poste dans cette institution. D’ailleurs, on s’est même disputés à ce propos parce que je ne voulais pas qu’elle ait du travail de cette manière. Je lui recommandais plutôt de déposer sa candidature pour faire partie des volontaires, puisqu’elle avait le Bfem, mais elle ne voulait rien entendre», raconte plus tard le mari cocufié. En fait, cet ami du nom de S.M. avait été son petit ami avant qu’elle ne se marie. M.T. apprendra plus tard qu’ils se voyaient chaque jour chez ses beaux-parents. «On aurait dit qu’ils l’encourageaient dans cette débauche, lâche-t-il, le regard lointain. Des amis m’ont dit que c’est même la mère qui achetait la boisson, avant de les laisser discuter. Quant à son père, il lui disait : « Ton époux ne peut pas t’empêcher de travailler à la mairie si c’est possible. Accepte cette offre ». Afin de recevoir ses appels sans que son mari ne le sache, l’épouse infidèle avait enregistré la voix de sa fille qui pleurait en demandant que sa grande sœur vienne près d’elle, et avait attribué cette «sonnerie» à l’appel de son amant. La nuit, elle laissait le portable dans la chambre des enfants. Chaque fois que le téléphone sonnait ainsi, elle se levait en grommelant pour aller voir ce qui n’allait pas. Son époux n’y voyait que du feu. «Moi, je croyais qu’elle faisait réellement des cauchemars. Et je commençais même à m’en inquiéter au point de lui conseiller d’en parler à sa mère. Je me disais qu’elle pouvait lui recommander un marabout afin qu’il fasse des prières pour elle». Mais la comédie ne pouvait pas durer longtemps. Un jour, alors que son épouse se trouvait à la cuisine, son portable qu’elle avait laissé dans le salon s’est mis à sonner. « Mais, je rêve.C’est ce que j’entends chaque nuit, croyant que c’est ma fille qui pleure !», me suis-je dit. «De retour au salon, elle consulte l’appareil et me demande bêtement si je l’avais appelée. Je lui réponds que non. Au même moment, le portable sonne à nouveau. Acculée, elle décroche devant moi. Mais à sa manière de parler je vois qu’elle est affolée. « C’est mon frère, je n’ai rien compris à ce qu’il dit », prétexte-t-elle. Et elle sort laissant le portable sur place. Je l’entends s’enfermer dans les toilettes attenantes à la chambre à coucher. Un peu plus tard, le téléphone sonne à nouveau. Comme je suis plus près, je m’en empare. Elle se lève d’un bond et tente de me l’arracher des mains en criant que je n’ai pas le droit de consulter son portable. Dans ses efforts pour le reprendre, elle a même déchiré le boubou que je portais», raconte le mari. Quelque temps après, M.T., le portable à la main, sort dans la rue. Son épouse le suit durant plusieurs mètres avant de faire demi-tour. Il profite alors de cette promenade pour consulter la messagerie ainsi que les derniers appels. Ce qu’il découvre alors le laisse sans voix. D’abord le dernier qu’elle a envoyé et dans lequel elle disait à son frère : « Si M.T. te demande si c’est toi qui m’appelais tout à l’heure, dis lui que oui ». Les derniers messages s’adressaient visiblement à son amant. Quant à la boîte de réception, elle est remplie de messages de son ami. Extraits choisis : «C’est lorsque que je t’ai perdue que j’ai réellement su que je t’aimais», ou alors : «Chérie, wax ma lu neex waay, ndax sa ma journée neex ! » (dis-moi quelque chose de gentil pour que je puisse avoir une journée faste). «Ce qu’elle a répondu à ce message, je n’ose même pas le lire», s’offusque le mari cocu, dépité. Lorsque qu’il est rentré à la maison, son épouse est aussitôt allée s’enfermer dans les toilettes. Où, d’après son mari, elle a passé toute la nuit. «J’ai appelé chez ses parents pour leur demander de venir prendre leur fille car elle refuse de sortir des toilettes. Le lendemain, le frère de son père s’est présenté. Ce n’est que quand il a frappé à la porte qu’elle a consenti à sortir de son refuge. Il m’a alors demandé ce qui se passait. Je lui ai rétorqué que c’était à A.C. de répondre, de dire ce qui l’a poussée à s’enfermer toute la nuit». « Elle a commencé par raconter des histoires disant qu’il arrive qu’on lui envoie des messages par erreur, etc. Mais comme il était clair qu’elle me trompait avec quelqu’un d’autre, j’ai pris sur le champ la décision de lui rendre sa liberté. Le lendemain, elle a profité d’un moment où j’étais absent pour venir prendre tout ce qui se trouvait dans la maison. Elle n’a rien laissé : les meubles, les ustensiles de cuisine, même mes propres habits. Elle m’a laissé une maison totalement vide. On m’a dit qu’elle avait garé deux camionnettes».
«Je n’ose pas penser à ce qui aurait pu m’arriver si je n’avais pas découvert le pot aux roses ! »
Le 04 décembre, M.T. dépose une demande de divorce. Et porte plainte contre son épouse et son amant pour adultère. Cette dernière affaire est d’ailleurs en cours d’instruction à la Brigade des affaires générales (Bag) de la division des investigations criminelles (Dic). Aujourd’hui, M.T., qui a encore du mal à se remettre de ce coup dur, se demande ce qui lui serait arrivé s’il n’avait pas découvert le pot aux roses plus tôt. Il se demande si son épouse, de concert avec sa famille qui semblait approuver son comportement immoral, ne fomentait pas un coup pour pouvoir disposer du peu de biens qui lui restaient encore avant de le quitter pour de bon. «Je ne peux pas formellement dire qu’elle m’avait marabouté, mais en tout cas, durant les derniers mois qu’elle a vécus à la maison, je ne restais pratiquement pas une semaine sans tomber malade. Et elle n’a pas encore terminé de s’en prendre à moi puisqu’elle raconte à qui veut l’entendre que je ne m’occupais pas d’elle».
Dernière modification par Fodyé Cissé 07/05/2008 à 13h40
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