La crise financière, un prétexte de licenciement!

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

Bonsoir!

Vous avez sans doute remarqué que par les temps qui courent la crise financière est en train de devenir un prétexte pour nombre d’entreprises véreuses pour se débarrasser d’une partie de leur personnel. C’est dire qu’en résumé la crise est passe de devenir un jackpot pour certains entrepreneurs peu scrupules pour accroître leurs capacités de bénéfice au grand dam de leurs employés. Qu’en pensez-vous ?

[Fodyé Cissé]

Bonsoir!

Vous avez sans doute remarqué que par les temps qui courent la crise financière est en train de devenir un prétexte pour nombre d’entreprises véreuses pour se débarrasser d’une partie de leur personnel. C’est dire qu’en résumé la crise est passe de devenir un jackpot pour certains entrepreneurs peu scrupules pour accroître leurs capacités de bénéfice au grand dam de leurs employés. Qu’en pensez-vous ?

En tout cas, ce sujet mérite débat, surtout quand on voit qu'aux Etats-Unis, ce sont des millions d'emplois qui sont perdus en l'espace de quelques mois seulement. C'est à dire des millions de gens qui n'ont plus d'emploi. Là-bas, les entreprises peuvent se débarrasser de leurs collaborateurs du jour au lendemain.

En France aussi, malgré les lois qui existent, beaucoup d'entreprises n'hésitent pas à brandir la menace du dépôt de bilan contre une réduction drastique des salaires ou des ressources humaines.

Et les premières victimes sont certainement toutes ces personnes sans-papiers qui sont exploitées. Les entreprises s'en servent comme du kleenex.
Puisse Allah leur faciliter les choses à tous ces sans-papiers.

[ami wague]

Tout à fait d'accord avec vous les entreprises ont trouvé la meilleure excuse pour mettre à la porte leur employé entre licenciement et départ volontaire contre rémunération. On va voir ce que cette crise nous réserve.

[Cheikhna Mouhamed WAGUE]

J'ai été manifesté hier avec des collègues de l'Université. J'entendais le slogan selon lequel les patrons ont beaucoup profité abusivement de la crise pour mettre à porte beaucoup de leurs employés, d'où il y a lieu de continuer ce débat.