Salam
De l'afrique centrale en passant par l'afrique de l'ouest , musiques et fetes occupent un large temps dans nos vies. Elles sont organisees dans les rues, de fois les circulations des biens et des personnes posent problemes. Et si nous mettons ce temps precieux et cette organisation à des choses plus importantes ou si nous transfomons cela en d'autres termes du developpement economique et social pour notre pays, notre continent ou notre societe;l'afrique aura mis enfin son propre train sur le rail.
Je pense que nous devons revoir notre copie sur le monde actuel.
De la tele à la radio, nous entendons que des noms comme Chine, Inde and co. Cela doit nous donner reflexion sur l'avenir de nos pays.
Mais non musiques et fetes, pouvoir à vie, rebellion la liste n'est pas exhausive.
Voila en gros je donne un sens à la citation de Senghor.
wa salam
Il suffit que deux personnes se haissent pour que la haine gagne toute l'humainté toute entière.
Ce sujet doit être élargi à tous les africains. Car comme quelqu'un l'a dit plus haut, de l'Afrique du Sud au Mali, en passant par l'Afrique centrale, nous, africains d'Afrque noire, nous accordons beaucoup d'importance à tout ce qui est festivités, folklores.
Qu'est-ce qui cloche chez l'Homo Africanus qui fait que seules les choses futiles l'intéresse ? Les blancs disent souvent que le rythme est dans le sang (ou dans la peau) des africains. C'est une autre façon de parler, une autre façon de nous dire que le rythme, c'est vraiment dans nos gènes. Certes, rien n'est inscrit dans les gènes, mais, il y a lieu de se poser la question pourquoi nous aimons trop la distraction. Et cette question ramène une autre, à savoir, est-ce que cela n'est pas, en partie, responsable de notre retard en matière de développement ?
En ce qui nous concerne, nous les Soninké, j'ai toujours remarqué que quand il y a des rencontres culturelles, s'il n'y a pas de folklore, eh bien, personne ne se déplace. Et quand c'est une rencontre qui mélange des débats avec du folklore, rares sont ceux qui accordent une attention au débat, mais, dès que la musique retentit, tout le monde se tait pour l'apprécier. C'est bien dommage. Que faire pour changer tout cela ?
Sooninko, Soninkara.com est notre village "virtuel " Soninké où il y fait bon vivre, communiquer, échanger. L'Hospitalité, le respect et la solidarité sont nos valeurs. - Laisse parler les gens ... On s'en fout! - Les Chiens aboient .... la caravane passe toujours !
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"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Les gens n'aiment pas les gens mais les gens aiment l'argent des gens.
c'est une realité intrinseque à l'africaine , l'Homme noir aime trop la fete que la fete. pour notre société soninké le pire qu'on ne fait plus la difference entre mariage , bapteme , decés. on voit tout de blasphamatoire à travers les soninkés. les preches des marabouts ne suffisent plus et la sourde d'oreille continue on ignore quand ces pratiques vont prendre fin sans doute pas .
ma famata traore dionsandigui triramakha mouké moussa ni mouké dantouma mouri iban triramakha te ba marafayi ba triramakha te ba triramakha banialosounsarédion moni khatidio