Bonjour Jean Luc Delarue!
Ton sujet est très intéressant. En ce qui me concerne, j'ai toujours été proche de ma famille, notamment mes deux parents et ma fratrie dans son ensemble et, en particulier, mon frère benjamin. Pour voir quitté très tôt ma famille, la distance et la vie à l'étranger n'ont fait que consolider mes liens avec ma famille. Je ne peux pas rester un jour sans passer un coup de téléphone au pays pour m'assurer que tout va bien.
J'ai aussi gardé des liens très étroits avec mes anciens amis et professeurs de Dakar, car j'ai été très proche de ce monde.
En outre, maintenant que je suis fiancé avec la plus belle fille du monde, je combats la distance tous les soirs par le grattage des cartes. N'a-t-on pas dit : "quand on aime sans se le dire, l'on perd les deux tiers de son amour". (Et oui, je ne parle presque jamais de ma vie privée en public, mais là il le faut pour faire plaisir à une fidèle lectrice toujours en mode invitée sur Soninkara)
Pour récapituler, la distance et la vie à l'étranger, loin d'émousser en moi la complicité avec les gens qui m'ont toujours été chers, n'ont fait qu'accroître ma folie à garder mes anciennes relations, mes amitiés, mes complicités. Les bons souvenirs de mon enfance, de mes années d'études me donnent toujours l'envie de garder ces passés et les différents acteurs de mon enfance et de mes études dans mon cercle le plus intime et proche, malgré la distance et l'usure du temps.