Bonsoir
Nombreux sont les chercheurs qui, à la suite de leurs expérience de terrain, se sont rendus à l’évidence que ces sont généralement des filles des immigrés qui réussissent mieux, alors que les garçons, heureusement pas tous, préfèrent le pied des immeubles, les cages des escaliers, s’ils ne sont encore été condamnés par la justice, etc. Nous savons heureusement qu’il y certaines réussites masculines à l’image d’un Badem, Dooms, Tribals, Sadia Diawara et d’autres encore. Nous nous en félicitons. Mais ne perdons pas de vue que nombreux sont aussi d’autres qui se sont engouffrés dans la profonde délinquance.
C’est en sens que l’on peut lire à la page 40 de l’article : "modes de vie et intégration des enfants et adolescents issus de familles africaines et subsahariennes", Rapport final à la Direction de la Population et des Migrations, Lyon, CORUM-ISM Rhône-Alpes de BAROU et MAGER, ceci :
« Contrairement à ce qui se passe pour les filles pour lesquelles la prolongation de la scolarité permet l’affirmation de choix de vie personnels et l’accès à un statut plus valorisant au sein de la famille, les garçons vivent les études comme la perpétuation de statuts d’éternels mineurs que leur vécu dans la société d’immigration leur fait de plus en plus mal supporter »
Sans généraliser et sans les stigmatiser, j’aimerais qu’on l’on discute réellement de ce qui ne va pas, afin de conscientiser les jeunes qui se trouvent dans cet engrenage malheureux vers le bon ordre. Merci à tous de ne pas stigmatiser, mais de bien raisonner. Bien à tout le monde.