assalam alaykoum
assalam alaykoum
Il existe un phénomène de (La paralysie du sommeil) qui ne date par d’aujourd’hui, mais qui touche de plus en plus de gens musulman ou pas, toutes classes de personnes son concerné par ce phénomène, grand, petit, homme femme.
Ce phénomène connu chez les musulmans, reste une énigme chez les non musulmans, les médecins et spécialistes qui sont confronté a ce phénomène restent sans réponses, il est vrai que le phénomène prend de l’ampleur vu le nombre croissant de témoignages de personnes touché, qui n’hésite plus en en faire part a leur médecin, ces même médecins dépassé par le phénomène n’ont d’autre réponse que d’administrer des médicaments.
Les scientifiques, après des études et recherches ont fait des avances sur une partie du phénomène mais l’autre partie (du au monde occulte) leur reste une énigme sans réponses.
Ils disent :
La « paralysie du sommeil » est un trouble du sommeil qui advient à l’endormissement (état hypnagogique) ou au réveil (état hypnopompique). Caractérisée par l’impossibilité de bouger ou de parler, elle est souvent associée à une sensation de présence inquiétante et à des hallucinations. L’état de paralysie dure généralement de quelques secondes à plusieurs minutes.
Le contenu des hallucinations vécues dans cet état est variable selon les croyances et les représentations sur sujet. Il peut par exemple prendre la forme d’"abductions extraterrestres" ou des visions variées ("fantôme", "apparition", etc.) C’est un trouble du sommeil relativement fréquent : 20% de la population en aurait fait l’expérience, en particulier lors de l’adolescence.
Ce trouble qui survient lors d’états intermédiaires entre la veille et le sommeil se produit le plus souvent au moment du réveil matinal ou à la fin d’une sieste au cours de la journée. La paralysie peut se produire quelle que soit la position du corps, mais on a remarqué qu’elle avait lieu le plus fréquemment quand le dormeur était étendu à plat sur le dos.
Dans cette condition, le dormeur qui se réveille se sent complètement paralysé, incapable de bouger les membres, de parler ou de crier. Cet état désagréable peut durer de quelques secondes à plusieurs minutes.
L’expérience est souvent d’autant plus mal vécue que, dans les deux tiers des cas, elle s’accompagne d’hallucinations hypnagogiques visuelles ou tactiles (présence d’êtres ou d’animaux dans la chambre, sensation d’étouffement). Aussi est-elle souvent associée à une intense sensation d’épouvante et de terreur.
D’autres types d’hallucinations sont parfois rapportées : sonores (craquements, claquements dans la tête ou la nuque, bruits secs, bangs, sonneries) ; tactiles (contacts physiques, sensation d’être tiré par les pieds, vibrations dans le corps, tremblements) ; visuelles (tâches lumineuses, auras, boules de lumière, perception des objets dans le noir) ; kinesthésiques (sensations de flottement, de chute ou d’expérience hors du corps).
Les sensations les plus courantes :
• Peur
Très courant
• Sentir une « présence » (souvent maléfique)
• Pression/poids sur le corps (particulièrement la poitrine)
• Sentiment de danger/mort imminent
Assez courant
• Hallucinations auditives (souvent respirations, bruits de pas, voix indistinctes ou bruits de palpitation)
• Hallucinations visuelles telles que des personnes ou des ombres marchant autour de la pièce
Moins courant
• Sensation de flottement
• Hallucinations tactiles (telles qu'une main touchant ou saisissant)
Rares
• Sensation en chute
• Vibrations
• Interaction sexuelle
Dormir sur le dos
Ces expériences de paralysie peuvent se produire quelle que soit la position du corps, mais elles ont lieu le plus fréquemment lorsque le dormeur est étendu à plat sur le dos. Une peur intense est habituelle, mais parfois d'autres fortes émotions, comme la tristesse ou la colère, se manifestent. Souvent, une sensation de pression sur la poitrine rend la respiration difficile.
Des sensations de flottement sont souvent présentes et certaines personnes vivent même des expériences extra-corporelles (OBE). Certains ressentent une présence dans la chambre, près du lit, ou même dans celui-ci avec eux. Cette présence paraît même parfois diabolique.
Il arrive que le dormeur se sente attaqué, peut-être par strangulation ou suffocation. Certains mentionnent même des attaques sexuelles imaginaires. Les hallucinations peuvent se présenter sous ces diverses formes et d'autres encore.
La chanteuse Sheryl Crow, dans l'interview qu'elle a donnée à ABC News déclare qu'elle est atteinte de ce trouble.
Elle explique qu'il y a souvent un moment où « vous êtes certain que vous allez mourir ».
Exemple
"Mon mari souffrait d' apnée du sommeil grave, ce qui a contribué à sa mort. Je suis persuadée, même si cela n'a jamais été diagnostiqué, que mon grand-père souffrait de terreurs nocturnes. Ses cris dans la nuit me terrifiaient lorsque, enfant, je passais la nuit chez mes grands-parents. Mon grand-père ne parvenait jamais à se rappeler son rêve lorsqu'il se réveillait. Mon fils a presque trente ans et il souffre encore d'accès occasionnels de terreurs nocturnes.
J'étais assez contente de ne souffrir d'aucun trouble du sommeil. Maintenant, après avoir lu de nombreux témoignages et avoir effectué des heures de recherche, j'ai découvert que je souffrais en réalité d'un trouble du sommeil, toutefois bien moins handicapant ou dangereux que l'apnée du sommeil. En outre, je souffre probablement de ce trouble depuis mon enfance.
De temps en temps, je me réveille d'un sommeil profond et je suis totalement incapable de bouger. Je suis comme paralysée et parfois je sens comme si un poids appuyait lourdement sur ma poitrine. J'éprouve des difficultés à respirer. Je lutte et me bats pour essayer de bouger, mais sans aucun résultat. Finalement, je parviens à remuer un doigt ou à étendre la jambe. Je prends une bonne bouffée d'air et je vais de nouveau bien. La paralysie a disparu. C'est une expérience terrifiante. J'ai toujours cru qu'il s'agissait simplement des restes d'un mauvais cauchemar.
Au cours d'un été, j'ai eu la sensation de flotter ou de voler pendant la paralysie. A cette époque, nous vivions dans un mobile-home. Un long couloir s'étendait de l'avant à l'arrière de celui-ci et je pouvais me sentir parfois flotter doucement juste en dessous du plafond. A d'autres moments, j'avais l'impression de parcourir le couloir d'un bout à l'autre à toute allure. J'étais énormément stressée à cette époque et un mois plus tard, je fus hospitalisée avec des ulcères saignants. Il est possible que le stress ait engendré ces problèmes pendant le sommeil.
Lorsque j'étais enfant, je me souviens m'être réveillée parfois avec la même sensation de paralysie, et je voyais en outre une forme tapie près de mon lit. Je me débattais jusqu'à ce que je puisse bouger et ensuite je commençais à hurler. Mon père arrivait et me réconfortait. Il me disait que j'avais juste eu un mauvais rêve et il s'asseyait près de moi et me tenait la tête jusqu'à ce que je me rendorme. Plusieurs fois, alors que mon père était présent, je continuais à voir cette forme tapie près de mon lit. Je pense que j'avais une hallucination. Ma mère ne supportait pas mes bêtises et prétendait que je faisais semblant pour attirer l'attention. Ce n'est pas vrai ! J'étais réellement terrifiée".
L’équipe du Dr Maurice M. Ohayon du centre de recherche Philippe Pinel de Montréal, a interrogé 8 085 personnes de 15 ans et plus en Allemagne et en Italie entre 1996 et 1997. Ces chercheurs ont constaté que 494 individus (soit 6,2 %) ont connu une expérience de paralysie du sommeil au moins une fois au cours de leur vie .
Cette étude montre que la paralysie du sommeil concerne de façon égale tous les âges, sexes et états civils, et que les premières expériences surviennent aussi bien pendant la petite enfance qu’à un âge avancé. Deux personnes sur cent vivent une expérience plus ou moins claire de ce type au moins une fois par mois.
« ne pouvez pas parler, pas bouger, ni remuer la main, ou respirer profondément, ni même ouvrir les paupières pour voir ».
La paralysie du sommeil s’accompagne souvent d’hallucinations impressionnantes. La personne peut ressentir la présence de quelqu’un dans la pièce, ou même une présence rôdant autour d’elle. A d’autres moments, elle ressent comme une pression sur la poitrine, comme si quelqu’un ou quelque chose était perché dessus.
Il y a même parfois des cas d’attaques sexuelles associés à ces hallucinations. Le bruit de pas, de portes s’ouvrant et se refermant ou de voix, sont parfois des manifestations effrayantes de la paralysie du sommeil. Celles-ci sont connues sous le nom d’expériences hypnagogiques et hypnopompiques et constituent les raisons pour lesquelles les gens redoutent d’expérimenter ces épisodes de paralysie du sommeil.
Lors de leurs recherches ils ont découvert que ce phénomène avec une liaison direct avec le cerveau :
Ils disent :
On pense que la paralysie normale du sommeil est due à des mécanismes dans le tronc cérébral, en particulier les neurones réticulaires, vestibulaires, et oculomoteurs, qui empêchent les mouvements corporels, bloquent l'influx sensoriel et fournissent au prosencéphale l'activité interne qui caractérise l'activité cérébrale pendant le sommeil paradoxal.
En effet, pendant le sommeil paradoxal, phase pendant laquelle le cerveau est particulièrement actif, les muscles sont « déconnectés ». Cela empêche que l'on vive physiquement les rêves, ce qui peut s'avérer dangereux pour soi ou les autres.
Les yeux cependant ne sont pas paralysés par ce système, et cette exception a été employée pour montrer que le rêve lucide était un phénomène objectivement vérifiable.
On pense qu'environ 25% des gens expérimenteront cet état au moins une fois dans leur vie.
Le trouble connu sous le nom de « paralysie de sommeil » se produit quand la conscience est entre un état de sommeil paradoxal et un état d'éveil, mais où la paralysie musculaire est maintenue. Il peut se manifester aussi bien au moment de l'endormissement (état hypnagogique) que du réveil (état hypnopompique).
La personne se croit réveillée, mais ne peut bouger. En outre, cet état est habituellement accompagné de certains genres d'hallucinations visuelles et sonores spécifiques, car la conscience est à mi-chemin de l'état onirique et la paralysie crée un état de tension/peur/panique.
C'est une sorte de semi-éveil. La personne peut « voir » son environnement mais s'y mélangent les hallucinations oniriques (le rêve peut être défini comme une forme d'hallucination). Elle pourra donc avoir conscience que la porte de sa chambre est réellement ouverte, mais elle verra en même temps un tableau imaginaire à son mur.
Cet état ne dure habituellement pas plus de deux minutes avant que la personne ne retourne vers un rêve ou se réveille complètement, cependant la perception du temps est souvent déformée pendant la paralysie de sommeil.
On connaît peu de choses sur la physiologie du trouble de l'éveil pendant la paralysie du sommeil. Cependant, certains suggèrent que cela pourrait être lié à l'inhibition post-synaptique de moto-neurones dans la région pontique du cerveau. En particulier, de bas niveaux de mélatonine peuvent stopper le courant de dépolarisation des nerfs, ce qui empêche la stimulation des muscles.