Gorinké voila en tapant dans google ça ne m' a même pas pris 5 minutes je t' est trouver ça, il y a pas mal de chose intéréssante d' ailleurs
Bonne lecture
On peut soigner les femmes victimes d’excisionAprès avoir sillonné le monde en tant que médecin humanitaire, le chirurgien urologue Pierre Foldès se consacre aujourd’hui pleinement à la lutte contre l’excision. Ayant mis au point une technique unique au monde, il reconstitue le clitoris des femmes victimes de ces terribles mutilations génitales. Il nous explique son combat.
Interview du Dr Pierre Foldès
Doctissimo : Pourquoi vous être intéressée aux femmes victimes d’excision ?
Dr Pierre Foldès : Principalement pour deux raisons. Premièrement, lors d’une mission humanitaire de l’Organisation mondiale de la santé au Burkina Faso, nous devions soigner les nombreuses complications de ces excisions : des problèmes d’incontinence, des complications obstétricales graves… Lors des consultations, des femmes m’ont demandé d’intervenir sur les douleurs liées aux cicatrices. Enfin, en tant que chirurgie urologue, j’avais pratiqué des techniques de réparation et d’allongement de la verge, qui me semblait capable d’aider ces femmes après quelques adaptations. De retour en France, j’ai adapté et mis au point cette technique.
Doctissimo : En quoi consiste cette technique chirurgicale unique au monde ?
Dr Pierre Foldès : Lors de l’excision, la partie externe du clitoris est enlevée, et non sa totalité qui fait une dizaine de centimètres de longueur. L’opération consiste à retirer la cicatrice (souvent à l’origine des douleurs), à aller chercher sa partie interne, à la repositionner dans un emplacement anatomiquement normal en libérant les ligaments qui la retiennent et à la ré-innerver. En tout, l’opération dure entre 45 minutes et une heure.
Doctissimo : Toutes les formes d’excision sont-elles opérables ?
Dr Pierre Foldès : Oui, toutes les formes d’excision sont opérables et permettent d’obtenir un bénéfice esthétique et sensoriel. Dans tous les cas, la chirurgie réparatrice permet de réparer l’excision et les lésions associées : de l’excision féminine (ablation du capuchon) à l’infibulation (résection de la hampe du clitoris, des petites lèvres et suture des grandes lèvres).
Doctissimo : Combien de femmes avez-vous opéré ? La demande est-elle croissante en France ?
Dr Pierre Foldès : J’ai aujourd’hui opéré à peu près 600 à 700 femmes, dont 500 en France avec les dernières techniques. Chaque mois, je reçois des dizaines de demandes. De nombreuses femmes de 18 à 50 ans avouent qu’elles l’auraient fait avant si elles avaient été informées plus tôt de cette technique. Il faut donc améliorer l’information pour toutes ces femmes. On estime qu’en France au moins 30 000 jeunes filles sont menacées d’excision. Cette technique est remboursée depuis 2004 en France.
Doctissimo : Combien de recul avez-vous par rapport à cette technique ?
Dr Pierre Foldès : Les premières opérations ont été effectuées, il y a 25 ans. Pour les dernières techniques opératoires effectuées en France, le recul est de plus de 5 ans. Après l’opération, les douleurs sont supprimées dans la presque totalité des cas. Sur le plan esthétique, la reconstruction d’un massif clitoridien permet d’obtenir une forme anatomique normale dans près de 8 cas sur 10. Dans le reste des cas, l’aspect est satisfaisant mais la peau peut recouvrir le capuchon reconstruit. Sur le plan de la sensibilité, on peut penser que 60 à 70 % des femmes éprouvent de nouvelles sensations au bout de quatre à six mois. Mais il est difficile d’avoir des données précises car d’une part, ces femmes n’ont pas de point de comparaison et d’autre part, ces mutilations génitales s’accompagnent d’autres facteurs qui peuvent handicaper la reconstitution de sensations clitoridiennes. Toutes les femmes opérées sont orientées vers un psychologue ou un sexologue qui saura les accompagner lors de cette ré-appropriation de leur intégrité physique.
La publication de résultats sur un grand nombre de femmes est en cours de publication. Ces études pourraient débloquer la situation et populariser plus généralement cette technique auprès du corps médical. Mais ce travail est titanesque et malgré toute ma volonté, les choses ne vont pas toujours aussi vite qu’on le s
On peut soigner les femmes victimes d’excision
Interview du Dr Pierre FOLDES
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Dernière modification par Habibatou 19/08/2008 à 21h21
JAMAKSALAM...
Gorinké voila en tapant dans google ça ne m' a même pas pris 5 minutes je t' est trouver ça, il y a pas mal de chose intéréssante d' ailleurs
Bonne lecture
JAMAKSALAM...
Dernière modification par ROUMBALOVE 19/08/2008 à 21h19
Si tu veux savoir quelle place tu occupes auprès de Dieu...
regarde quelle place Dieu prend dans ton coeur
mon frere ta out dit c'est la que je voulais en venir .
par contre si je posais toutes ses question c'est pas pour vous faire parler c'est pour comprendre .
si j'ai offensés n'importer qui par mes questions ou mes propos ( xa yanpi maxa ) on est la pour apprendre ensemble pas pour ( na me sondon joxi )
salam
Et au cou de chaque homme, Nous avons attaché son oeuvre. Et au Jour de la Résurrection, Nous lui sortirons un écrit qu'il trouvera déroulé: ‹Lis ton écrit. Aujourd'hui, tu te suffis d'être ton propre comptable›. SOURATE 17 VERSETS 13 , 14 .
Bonjour, je remonte le sujet si vous le voulez bien
Que sont les mutilations génitales féminines ? Qui les pratique ? Quelles conséquences sur la santé des femmes ? Le Gams (Groupe femmes pour l’Abolition des mutilations sexuelles et autres pratiques affectant la santé des femmes et des enfants) pose toutes les questions sur son site Internet. La seule que l’association ne se pose pas, c’est de savoir s’il faut lutter contre cette pratique. " En ce moment la mode est moins de nous reprocher de bafouer les traditions culturelles que de nous accuser de vivre du sang des petites excisées... ", explique, blasée, Isabelle Gillette-Faye, la directrice. Après vingt ans de bons et loyaux services, le Gams n’est plus en quête de légitimité, mais d’action.
Mutilées du monde entier
Pour aborder le sujet délicat de l’excision, l’écran est parfois un intermédiaire nécessaire. Avec prêt de 4 000 visiteurs, le site est une réussite. Créé en France et consulté pour l’instant par les internautes francophones, il sera bientôt entièrement bilingue (français-anglais) et devrait toucher les pays anglophones. La page a déjà subi un apport documentaire très important ces derniers temps et son contenu ne cesse d’augmenter.
Interface limpide, rubriques exhaustives. Juridique : l’excision et la législation française. Médicale : la santé des femmes et des enfants. Sociologiques : les raisons qui perpétuent l’excision. Intéressant chapitre où sont abordés les aspects religieux et culturels de cette pratique qui, souligne le Gams, sans la pression sociale " aurait certainement depuis longtemps disparu ". " En ce moment, beaucoup de femmes viennent nous voir pour savoir si l’Islam requiert l’excision. Evidemment, non. ", explique encore Isabelle Gillette-Faye. Pour les questions qui brûlent les lèvres et que l’on n’oserait pas forcément poser de vive voix, l’e-mail de l’association est également à disposition des internautes. Et les 10 permanentes du Gams essayent de répondre de leur mieux aux messages qu’elles reçoivent tous les jours du monde entier.
Le GAMS
Le rôle du GAMS dans les affaires d'excision n'a pas toujours été quelque chose de positif pour les familles des excisées. Le GAMS s'est servi d'elles pour se faire connaître médiatiquement et pour peut être se faire un nom dans l'univers associatif, bénéficier de subventions, j'en passe.
Il faut dire les choses telles qu'elles sont, appeler un chat un chat. Des excisées, avec le soutien du GAMS ont traduit en justice leurs propres parents comme des vulgaires criminels, alors que les parents qui ont excisé leurs filles ne l'ont pas fait dans le but de commettre un crime. Ils l'ont fait parce que tout simplement selon leurs traditions, exciser leurs filles était pour leur bien.
Heureusement qu'il y a eu de la sensibilisation pour sensibiliser toutes ces personnes sur les risques liés à l'excision et que cette pratique est aujourd'hui en voie d'être abandonnée, grâce à ces sensibilisations et non à cause de la répression (exemple: cas du Sénégal).
Je reste sur mes positions concernant le rôle néfaste du GAMS dans ces familles concernées par l'excision, notamment les familles Soninké : http://www.soninkara.com/forums/gran...html#post20428
Sooninko, Soninkara.com est notre village "virtuel " Soninké où il y fait bon vivre, communiquer, échanger. L'Hospitalité, le respect et la solidarité sont nos valeurs. - Laisse parler les gens ... On s'en fout! - Les Chiens aboient .... la caravane passe toujours !
http://www.waounde.com
Assalamou Aleykoum
J'adhére à tes propos.
Le GAMS s'est servi parfois de la naiveté de certaines de ses membres pour désagréger des familles.
Aujourd'hui,Khady Koîta s'est servie du GAMS comme tribune pour atteindre et assouvir des ambitions personnelles.
Je suis contre l'excision mais suis cependant partisan d'un travail en amont pour informer sur les méfaits et dangers d'une telle pratique.
Mieux vaut prévenir que sanctionner
"Si la grandeur du dessein,la petitesse des moyens,l'immensité du resultat,sont les trois mesures du génie de l'homme,qui osera comparer humainement un grand homme de l'histoire moderne à Mahomet?"(SWS)
Alphonse De LAMARTINE
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Dernière modification par Antoine 27/04/2009 à 20h47
salam aleykoum .
Je n'y comprend rien a tout se bruit qu'on fait a se sujet la alors qu'il y a des sujets beaucoup plus important a traités , les sommes colossales qui sont investi dans ses projets . Ce sont des coutumes que nos parents on pratiqués de mere en fille , c'est vrai qu'il y a certains danger , mais qu'elle est la principale causes pour laquels ils s'opposent a l'excisions ?
Et au cou de chaque homme, Nous avons attaché son oeuvre. Et au Jour de la Résurrection, Nous lui sortirons un écrit qu'il trouvera déroulé: ‹Lis ton écrit. Aujourd'hui, tu te suffis d'être ton propre comptable›. SOURATE 17 VERSETS 13 , 14 .