Bonjour!
Loin de donner de fleurs aux Soninkés de Kaédi, ce phénonmène n'y existe pas, ni en Afrique, ni dans le pays d'immigration. Les gens, même s'ils exagèrent comme tout le monde par l'étalage de l'argent lors des cérémonies du deuil, n'ont pas recours aux services d'un jaare (lire : diaré). Quoi qu'il en soit, c'est une histoire de fou, comment on a transformé le deuil en une fête dans le milieu soninké. Que de la fête et du gaspillage chez les Soninkés.
Oui Makalou, je suis d'accord avec toi, c'est à notre génération de stopper toutes ces conneries qui n'ont ni fondement social, ni assise religieuse, si ce n'est de l'ostentation (Du koyintaaxu, lire : Dou koyintakhou)