slt caramelle
ta question n'est pas facile comme tu dis un mari ne se cherche pas je pense qu'il faut être patiente sa va venir inchallah sinon avec les contacts sur ce forum tu pourrais avoir des propositions c'est une possibilit" voila a+++
Bonsoir à tous,
Je suis très contente de retrouver ce site qui célèbre notre culture! Merci à ceux qui l' ont créé et également à ceux qui y participent.
Ma question pourrait peut-être sembler bizarre. Mais c' est une question qui me passe en tête depuis plusieurs mois.
J' ai atteint un certain âge et je pense au mariage. Comment s' y prendre? Je sors très rarement, les discothèques et consorts sont pas du tout mon truc. Je ne réponds également pas aux avances qu' on me fait dans la rue.
Devrais-je attendre qu' un "cousin" vient vers moi? Je suis consciente du fait qu' un mari ne se cherche pas. Certainement il faut de la patience et mettre tout dans la mains de Dieu, mais j' ai tellement hâte d' avoir un mari que je pourrai gâter et une petite famille incha Allah.
slt caramelle
ta question n'est pas facile comme tu dis un mari ne se cherche pas je pense qu'il faut être patiente sa va venir inchallah sinon avec les contacts sur ce forum tu pourrais avoir des propositions c'est une possibilit" voila a+++
Salam caramelle
Ne soit pas presser de nos jours on ne se marie plus à 16 ans ou très rarement chaque chose arrive en son temps. Quand le moment viendra tu te marira incha allah laissont tout entre les mains de dieu . Qu'allah te donne un bon mari.
Bonsoir à tous,
Moi aussi j'y pense vu mon âge (22ans, je commence à me faire vieille lol...), je suis comme toi je ne sors pas beaucoup moi non plus, mais tu peux faire des rencontres sans forcément sortir. Grâce notamment à des connaissances à toi (famille, ami...) .
Je me dis que le jour ou ça viendra j'espére me trouver un bon mari (pas trop tard non plus )
A+
salam
de plus je ne pense pas que sa soit en discothéque que tu trouveras ton mari, ne soit pas pressé, ton homme arrive sur son cheval blanc: attends un peu de patience;.....
La dot est une vieille tradition, encore en cours à travers l’Afrique. Cette coutume demande qu’un prix soit versé pour avoir le droit de prendre une épouse. Cette pratique est encore intensivement utilisée dans la société africaine contemporaine et a fait s’élever à la fois des voix supportrices et critiques.
La dot est une vieille tradition africaine qui est encore pratiquée aujourd’hui et comme c'était le cas il y a des siècles. La famille du marié et de la mariée engagés dans ce procedé serait scandalisée à l’idée de ne pas adhérer à cette coutume.
Pour le non initié, la dot est un procédé de négociation complexe et très formel entre les deux familles pour parvenir à une entente mutuelle sur le prix que le fiancé aura à verser pour pouvoir épouser la fiancée. Cela peut se voir comme un achat vente, mais cette coutume n'a rien à voir en principe avec une transaction commerciale.
Ce qui rend la dot si importante pour le mariage en Afrique est qu’elle est basée sur un procédé qui relie les deux familles. Le respect mutuel et la dignité sont présents tout le long du procédé, et l’amour entre l’homme et la femme est élargie pour y inclure la famille proche et large. Mais, comme pour toutes les coutumes traditionnelles, elle est exposée aux abus et aux distorsions dans le monde moderne.
Le procédé de la dot est souvent compliqué et souvent confus pour les couples modernes. Le procédé est très formel et comporte certains protocoles auxquelles on doit adhérer. Par exemple, malgré le fait que les deux familles peuvent se connaître depuis des années, toute négociation doit se faire par écrit et non par téléphone ou par simple visite. La raison de cette règle assez absurde est que bien que les deux familles puisse se connaître, elles ne le sont pas au regard de l’échange de la dot. En d’autres termes elles ne se connaissent pas au regard du sérieux et de la sainteté du mariage.
Les dispositions pour la rencontre entre les deux familles implique des négociations sans fins. Souvent, les négociations ne sont pas conduites par les parents du futur marié mais par les proches, généralement les oncles du marié. La raison de ce fait étant que la famille élargie est un élément important dans la culture africaine et spécialement dans l’institution du mariage. Si vous ne vous entendez pas bien avec votre famille paternelle, c’est le moment de tenter un rapprochement que ce soit pour la future mariée que pour le futur marié car elle est un élément important dans ce processus surtout si votre père ne vit plus.
Une grande cérémonie alliée à une grande dignité sont présentes dans les équipes de négociation quand les deux familles se rencontrent. La tension formelle entre les deux parties engagées dans la négociation est rompue très souvent par une bouteille de brandy placée sur la table. Même si la bouteille n’est pas ouverte à ce moment là, cela indique un relâchement de la tension et une acceptation des requêtes. Ce geste est connu comme l’ouverture de la bouche.
Les négociations peuvent prendre jusqu’à deux journées et en parlant, on va généralement trouver le nombre de bêtes à payer comme prix de la mariée.
Il existe une variation moderne à ce thème. Très souvent, on ne parle pas de bêtes mais plutôt d’argent. Les bêtes sont symboliques et représentent une certaine quantité d’argent. Une fois que le prix de la future mariée ou la dot est fixée, les négociations sont en principe terminées.
Néanmoins, il y a certaines règles qui doivent être suivies avant le véritable mariage. On interdit généralement au jeune couple de se rencontrer avant le véritable mariage. Dans d’autres ethnies, le mariage coutumier est considérée comme le véritable mariage et la femme peut aller rejoindre son fiancé et est reconnue comme femme mariée.
Le pourquoi de tous ces chichis et cette bienséance est de créer un climat de confiance et une compréhension mutuelle à un niveau profond entre les deux familles; et plus important, un sentiment communautaire.
Beaucoup de personnes ne réalisent pas que le but de la dot n’est pas l’enrichissement personnel mais que l’argent reçu par la famille de la mariée est utilisé par la jeune mariée pour fonder son foyer. La dot est aussi un geste de gratitude de la part de la famille du marié envers la famille de la mariée pour avoir élevé et pris soin de cette dernière.
Aujourd'hui, pour certaines familles la dot sert à payer leur dette. Pire encore, certains hommes voient les femmes comme des marchandises qu’ils ont payées. Cela crée un climat de tension entre les mariés qui n’est pas propice à la confiance et à l’amour.
Il existe un cas documenté en Afrique du sud d’une femme malheureuse qui ne peut obtenir le divorce de son mari parce que sa famille ne peut pas rembourser la dot. Il y a même une corrélation entre la grande incidence du HIV et la dot. La dot est vue comme une transaction monétaire et la femme comme un objet acheté. Le mari peut alors prendre des maîtresses et augmente les possibilités d’être infecté, et peut à son tour transmettre à la femme.
Néanmoins, ce sont des aberrations et ne découlent pas de l’essence même de la dot. Elle reste une coutume qui est toujours populaire parce qu’elle promouvoit l’harmonie entre le couple des mariés et leurs familles, tout en instaurant aussi bien un sens de dignité et d’entraide qui peut être utile au mariage et aider à une union harmonieuse.
Mes chèrs frères et soeures, je vous demande de beaucoup analyser certains faits, ne jamais se précipiter pour se lancer dans un mariage. Surtout je conseille mes soeurs qui ont tendance à dire : ("vu mon âge j'ai 22 ans, j'ai 30 ans, j'ai 45 ans"); non il n'ya pas d'âge pour se marier...
"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots"
il vaut mieux mourir debout que de vivre à genou.
"Martin Luther King"
Gigatriangle : Vous souhaite une bonne et heureuse Année 2008.
"Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse".(Alfred de Vigny). "Je rends un hommage bien mérité à l'amitié quand elle est sincère et à la parenté quand elle est bien entretenue". http://smk.eklablog.com/
Tout d'abord bienvenue à toi au plaisir de te lire.
Pour ce qui concerne le mariage il faut pas se précipiter sous pretexte que ds ton entourage tout le monde est marié, faut trouver la bonne personne car le mariage n'est pas l'histoire d'un jour c'est toute une vie.
Le jour où Dieu décidera que tu te marieras ça se fera sans problème. Qu'Allah te donne un bon mari...
T'inquiètes pas tu trouveras ton mair Incha Allah, la patiente est la meilleure des choses, et ne t'inquiètes pas tu peux trouver ton mari aussi bien dans l'entourage familiale qu'amical
Salam aleykoum
L’Islam considère la dot comme un des droits de l’épouse.
Elle en perçoit l’intégralité contrairement à ce qui se passe la où l’épouse en est privée. Les arguments de la nécessité du versement de la dot sont nombreux. En voici quelques uns :
- les propos du Très Haut : «Et donnez aux épouses leur nihla, de bonne grâce. Si de bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez- en alors à votre aise et de bon cœur. » (Coran, 4 : 4). Ibn Abbas dit que le terme ‘nihla’ utilisé dans ce verset signifie la dot. Parmi les commentaires suscités par ce verset, figure celui d’Ibn Kathir (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) qui dit: « L’homme doit obligatoirement verser la dot avec gaieté de coeur. Car Allah le Très Haut a dit : « Si vous voulez substituer une épouse à une autre, et que vous ayez donné à l' une un qintâr, n' en reprenez rien. Quoi! Le reprendriez- vous par injustice et péché manifeste? » (Coran, 4 : 20 - 21) Ibn Kathir (Puisse Allah lui accorder sa miséricorde) ajoute : « Si le mari veut se séparer de sa femme et la remplacer par une autre, il ne doit pas récupérer la dot déjà versée à la première, fût-elle un quintal, c’est-à-dire un montant énorme. Car la dot compense la jouissance sexuelle. C’est pourquoi le Très Haut dit : « Si de bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez- en alors à votre aise et de bon cœur » (Coran, 4 :4 ).
L’expression « mithaqan ghalizan » (engagement solennel) renvoie au contrat .
La dot est un droit de la femme et il n’est pas permis ni à son père ni à un autre de s’en emparer, sauf avec son consentement.
D’après Abou Salih, quand un homme avait marié sa fille, il s’emparait de la dot. Ce qu’Allah leur a interdit en révélant : « Et donnez aux épouses leur nihla, de bonne grâce. Si de bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez- en alors à votre aise et de bon cœur. » (Coran, 4 : 4). Voir le Tafsir d’Ibn Kathir. Si l’épouse renonce à une partie de la dot au profit du mari, il lui est permis de le prendre conformément aux propos du Très Haut ( Coran, 4 : 4). Allah le Très Haut le sait mieux.
Selon la Législation islamique (sharî`ah), la dot doit être raisonnable. Son montant n’est pas fixe. Il doit être déterminé en fonction de la situation financière du mari, du moment et du lieu. Nous ne pouvons pas appliquer une dot du VIIe siècle au XXe siècle, ni une dot d’Inde ou du Pakistan aux Etats-Unis ou au Canada. Puisque la situation financière des gens varie selon le lieu et l’époque, le montant de la dot doit être fixé en fonction de ces données. Cependant, la sharî`ah recommande la modération en matière de dot. Il est mauvais de déclarer un gros montant au moment du mariage pour se vanter. Parfois, la famille de la mariée fait pression sur l’époux et sa famille pour obtenir un montant élevé pour ensuite s’en vanter devant leurs proches et leurs amis et dire que leur fille a été mariée pour une dot importante. Quelquefois, l’époux déclare un gros montant et pense secrètement qu’il s’agit juste d’un engagement sur le papier. On entend souvent les gens dire : « Ecris ce que tu veux, personne ne demande et personne ne paye ». Cela revient à badiner avec les lois de Dieu. Les Musulmans doivent être justes et s’engager pour ce qu’ils sont capables de verser et ce qu’ils ont l’intention de payer véritablement.
Il est illicite de jouir de relations conjugales avec une épouse puis de lui refuser la dot qui lui a été promise. Cependant, gardons à l’esprit que la dot n’est pas le prix de la mariée. C’est un droit qui revient à l’épouse et qui symbolise l’amour et la reconnaissance de son mari. Dans le Coran, ceci est appelé "sadâq" et a le sens de gage d’amitié. La dot traduit également l’engagement d’un homme à prendre en charge les besoins financiers de sa femme (nafaqah).