Pas qu'au Guidimaxa.
Il est regrétable de constater que les décès sont devenus maintenant des mini-ñaxa sans musique. Les dépenses atteignent des sommes faramineuses. Quand les gens viennent présenter leurs condoléances, ils deviennent des mouke (invités) pour la famille en deuil et dont il faut s'occuper. Alors qu'il aurait été plus facile de simplement présenter ses condoléances, faire des prières pour le défunt et parler du bien de lui.