Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
http://www.hisnulmuslim.com/index-pa...6-lang-fr.html
Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
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Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
loool
Ce que j'avais mis est un hadith pas un verset de coran dé lol
Mais bon il y a telement de hadith sur les femmes...
En voilà un autre:
‘Aisha Qu'Allah l'agrée rapporte :
« Onze femmes réunies ensemble promirent et s’engagèrent à ne rien cacher de l’état de leurs maris.
La première dit ainsi : Mon mari est une viande de chameau décharné, au sommet d’une montagne escarpée, ni facile pour être surmonté, ni gras pour être pris et échangé.
Mon mari, dit la deuxième, je n’oserai parler de lui, car j crains de ne point m’interrompre. Si j’en parlais, je ne citerais que ses défauts apparents et cachés.
Le mien dit, dit la troisième, est seulement escogriffe. Si je parle, il me répudie, si je me tais, il m’oublie.
La quatrième quant à elle, dit : Mon époux est comme une nuit de Tihâma (région de La Mecque) : ni trop chaud, ni top froid. Avec lui, ni crainte, ni lassitude.
Le mien dit la cinquième, lorsqu’il rentre chez lui, dort comme un guépard (i.e il ferme les yeux sur ce qui se passe dans le foyer et se montre doux avec elle) et lorsqu’il sort est brave comme le lion. Il ne demande point compte de ce qu’il voit dans sa maison.
Mon mari dit la sixième, quand il mange, rafle tout et quand il boit, vide tout. S’il s’allonge, il s’enroule dans sa couverture. Sous la mienne, il n’entre pas sa main pour connaitre mon chagrin.
La septième dit : Mon époux est impuissant ou irrésolu, lourdaud, tout défaut existant est aussi le sien. Il t’entaille le visage ou te querelle, ou te cause tout cela en même temps.
Le mien, dit la huitième, a le toucher (délicat) du lapin et l’odeur parfumée du safran.
Mon mari, dit la neuvième, a le pilier de sa maison élevé (sociabilité et générosité), et bien long est son baudrier (grand est son courage). La cendre est considérable dans son foyer (son hospitalité est grande) et sa maison voisine l’assemblée (conseil ou se réunissent les notables).
La dixième affirma : -Mon mari c’est Mâlik. Que peut-on dire assez de Mâlik ! Bien mieux que tout cela ! Nombreux sont ses chameaux qui font halte et peu parmi eux se déplacent. Lorsqu’ils entendent le son du luth, ils savent que leur fin arrive
Mon mari, dit enfin la onzième, c’est Abu-Zar’. Quel grand homme qu’Abu-Zar’ ! Il a chargé mes oreilles de bijoux, a engraissé mes bras, m’a remplie de joie, et mon âme fut ravie. Il m’a trouvée parmi les miens et leurs quelques moutons, au flanc d’une montagne et m’a conduite parmi les siens, là ou l’on entend les hennissements des chevaux et le bruit des chameaux, ou l’on voit qui bat le blé où tamise le grain.
Quand je parle auprès de lui, je ne suis guère insultée. Je dors jusqu’au matin et dois à satiété. La mère d’Abou-Zar’ ! Pourrait-on assez la décrire ! Ses marmites sont chargées et sa maison, spacieuse. Et quel fils est le fils d’Abu-Zar’ ! Son lit est (mince) comme la tige d’une palme brandie. L’épaule d’une chevrette le rassasie.
Et la fille d’Abu-Zar’ ! Obéissante à ses père et mère, elle remplit son vêtement de son corps et rend jalouse sa coépouse.
Quelle servant que la servante d’Abu-Zar’ ! Elle ne divulgue pas nos propos, ne dilapide pas nos provisions et n’accumule point les balayures dans notre maison.
Puis (Oum-Zar’) ajouta : Abu-Zar’ sortit alors qu’on battait les outres à lait (pour faire du beurre) et rencontra une femme avec deux enfants tels deux guépards, qui jouaient sous ses hanches avec deux grenades. Il se sépara de moi et l’épousa.
Je me mariais ensuite avec un homme parmi les nobles. Il monta à cheval fringant, porta une lance de Khat (région de Bahreïn) et s’en revint les soir en m’offrant deux bêtes de chaque bétail.
Il me dit alors :
-Tu peux en manger Oum-Zar’, et en donner à ta famille !
Or, si je pouvais rassembler tout ce qu’il m’a donné, cela ne pourrait atteindre le plus petit récipient d’Abu-Zar’.
‘Aisha, radhiaAllahu ‘anha ajouta : « Le Messager d’Allah me dit alors :
-Je suis pour toi comme Abu-Zar’ pour Oum-Zar’ ! »
[At-Tirmidhi]
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
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Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
Au passage en y pensant, bien que c'est négligé, il y a le kali(kohol) et le djabé(henne) qui embélli aussi les femmes(c'est mon point de vu,après chacun ses gout).
Le kali embélli le regard et a des vertu bénéfique pour la santé des yeux.
Le henne pour les mains et les pieds aussi...............
Mais bon de nos jours elle le mette que lors du mariage après c'est fini.
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
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Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
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Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
Ibrahima la femme doit toujours mettre envaleur sont mari partout ou elle vas depuis dans la maison.
ne jamais parler de mal de son mari a ces amies (les copines)
LE METTRE TOUJOURS EN VALEURS IL LE FAUT MES SOEURS.
ne jamais semer de la jalousie a ses copines et coepouses pour dire
voilà ces mon mari qui m'a acheter ça encore .
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Il ne faut pas mettre du vinaigre dans ces ecrits,il faut y mettre du sel
montesqieu
Il ne faut pas mettre du vinaigre dans ces ecrits,il faut y mettre du sel
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Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]