Bonjour !
Nous remarquons que depuis un certain temps CERTAINS jeunes garçons nés et ayant grandi au bled et qui sont venus en France pour travailler ou pour étudier se sont résolus à l’idée de ne plus contracter des alliances matrimoniales avec les filles nées ou ayant grandi en France, à cause du décalage culturel, des divers problèmes d’incompréhension dans le couple, de la différence au niveau des options de la vie, de la famille, et j’en passe. Je sais qu’il y a des couples qui sont une vraie réussite. Mais ne perdons pas de vue qu’il y a beaucoup qui ne marchent pas du tout, il y a eu beaucoup de divorces, beaucoup de souffrances au sein de ces deux jeunesses où l’une a grandi presque dans la pure tradition et l’autre au contact de la culture occidentale qui a façonné sa façon d’être et d’agir. Je reconnais volontiers que je mets très souvent des sujets polémiques sur le tapis, mais il le faut pour que nous avancions. Nous n’avons pas à avoir peur de discuter des maux de notre société par les mots, car comme on le dit souvent : « De la discussion, jaillit la lumière ». Et cette lumière, nous en avons besoin.
Alors, comme le mariage est une institution sociale importante autour de laquelle l’identité se cristallise, quelles sont, selon vous, les solutions à préconiser pour créer une légale complicité entre ces deux jeunesses, car nous en avons besoin pour la survie de notre identité dans le contexte migratoire ?