Desolée - la question est plutôt qu'est ce que les parents en pensent?
Je crois que quelque part les parents ont leur part de responsabilite dans ce comportement. Je connais des parents qui ne cautionnent pas ce libertinage. Ils mettent en demeure leurs filles de se comporter en digne fille ou de prendre tout simplement la porte. Ne pouvant pas se defaire de ce mauvais comportement elles vont vivre chez d'autres copines ou les parents ferment les yeux sur leur conduite. Ces parents vont jusqu'a nourrir la famille avec l'argent que leur amenent leurs filles sans se soucier de la provenance. C'est la deperdition totale de nos jours que dieu nous vienne en aide.
If all is said or done, what else can be said or done?
Unknown
Desolée - la question est plutôt qu'est ce que les parents en pensent?
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Unknown
Je suis d'accord avec toi être un parent stricte est l'une des meilleurs solutions.
Mais ce n'est pas facile de l'être car certain on soit pas le temp et les enfants sont livrés à eux même,soit ils les aiment tellement qu'ils ne veulent pas qu'ils souffrent ou qu'ils pleurent et les laissent en agravant même la situation en les gâtant, en obéissant et en ne refusant rien de ce qu'ils demandent, les transformant en vrai fils ou fille à papa ou maman.
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
http://www.hisnulmuslim.com/index-pa...6-lang-fr.html
Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
L’éducation certes, mais il y a un paramètre important à ne pas perdre de vue LA RELIGION.
Les parents doivent outrepasser ce coté sentimento-affectueux (peur de blesser ou d’entrer en conflit...), avec l’enfant. Désolée mais je me devais de l’écrire.
Le problème doit être pris au sérieux et ils se doivent de réagir de la manière la plus ferme que ce soit.
Soit il y a de la part des parents un manque de connaissance des valeurs de la religion (ce que je doute), qui jouent un rôle capital dans notre quotidien pour ne pas être hors du droit chemin ou soit ils en ont pleinement conscience et préfèrent faire comme si de rien n’était ce qui serait plus grave alors car ils se rendre complice et orientent leur enfants vers le haram.
Salam.
C'est pas pour juger ou manquer de respect que je dit ça de certain parent qui sont concernés par le sujet ce que je vais dire et je m'en excuse mais on récolte se que l'on sème!
Ce n'est pas quand les enfants sont petit qu'ils vont parler mais quand ils seront grands.
Là on va commencer à regretter et à pleurer!
Mais il sera trop tard malheureusement!
Comme on dit en soninké "DOORé nxayé gna téguéné" c'est pendant que la boue est fraiche qu'on peut la modelé.
au lieu de proffité à l'ombre de ce qu'ils ont semé, ils vont souffrir sous le soleil de leurs échècs.
Et pour avoir parler avec plusieurs tonton je sais de quoi je parle.
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
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Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
Salam
Ensuite pour cette parti de ton poste il y a une cause plus précise qui explique cela en voilà un article:
Prostitution : LES "BRANCHÉES" DE LA CAPITALE
Elles ne font pas le trottoir comme "les professionnelles". Mais usent d'autres astuces pour accrocher leur clientèle bien ciblée
La prostitution est aussi veille que le monde. Plus le temps passe plus le phénomène prend de l’ampleur dans le monde pourrait-on ajouter à cet adage.
Définie comme une activité par laquelle une personne donne son corps contre de l’argent, la prostitution est pratiquée par les deux sexes, même si elle est le plus souvent une étiquette collée à la femme dans nos sociétés.
Si le phénomène est contraire à nos us et coutumes, il n’en demeure pas moins qu’il se pratique de nos jours au vu et au su de tous. La prostitution est bel et bien présente dans nos murs et gagne du terrain un peu plus chaque jour aussi bien dans nos grandes villes qu’au niveau des villes secondaires et même des villages. Bamako foisonne aujourd’hui de “call-girls” et autres filles de joie qui arpentent nuitamment les grandes artères. Sans compter bien sûr les prostituées qui occupent les bars et restaurants, auberges chinoises, “night clubs” et autres maisons de tolérance qui poussent dans la capitale comme des champignons.
Comme au cinéma : Ce qui est surtout inquiétant, c’est qu’actuellement la prostitution a gagné le monde scolaire. Un nombre considérable des lycéennes et d’étudiantes s’adonnent à cette pratique, sans même se cacher parfois. On les surnomme les “branchées”. Même si elles ne font pas le trottoir comme “les professionnelles”, elles usent tout de même d’autres astuces pour accrocher les don Juan. Elles traitent surtout avec des clients ciblés et opèrent au sein d’un réseau. Tout se passe surtout dans la plus grande discrétion. Ces semi-professionnelles opèrent en général avec les maîtres d’hôtels ou auberges. Elles déposent au niveau de ces derniers leurs photos et leurs numéros de téléphone. D’après nos informations, un maître d’hôtel peut gagner souvent plus de 75.000 Fcfa pour ses commissions.
Lorsqu’un client se pointe, il fait son choix et le maître d’hôtel appelle tout de suite la fille en question. Tout se passe bien comme au cinéma. La pratique est venue de l’occident pour monter les pays côtiers avant de s’introduire dans notre pays. Il s’est accentué grâce aux médias.
Parmi ces étudiantes et lycéennes, certaines ont bien accepté de parler de leur cas, mais sous des prénoms d’emprunt.
C’est le cas de Nafissa, âgée de 23 ans, étudiante le jour dans une faculté de la place et prostituée la nuit. “Je suis dans le réseau depuis deux ans”, révèle-t-elle. Nafissa opère avec deux autres étudiantes de la Faculté. Ces trois charmantes filles ont placé leurs photos et adresses dans presque tous les grands hôtels de la capitale. Et ça marche à merveilles pour les trois. Car les clients ne font pas défaut. “C’est pendant la saison touristique que la demande est très forte. Tout comme lors des grandes rencontres où chacune de nous peut gagner des fois 50 000 Fcfa pour une seule nuit”, explique notre interlocutrice.
une clientèle de classe : Nafissa fait partie des étudiantes qui se prostituent pour être à l’abri des besoins. “Je suis issue d’une famille aisée, mais très nombreuse. Mes parents ne peuvent pas actuellement satisfaire tous mes désirs. J’ai donc décidé de me prendre en charge et c’est comme ça que je suis entrée dans le réseau des étudiantes prostituées”, explique-t-elle. On peut dire que cette étudiante a tout réussi dans le métier. “Je n’ai besoin de rien actuellement. Grâce à la prostitution je m’épanouis chaque jour un peu plus. J’ai acheté une moto, des bijoux et des habits de classe. Cette richesse est le fruit de mon métier” dit-elle avec fierté.
L’étudiante Neïssa est le leader incontesté d’un autre groupe de prostituées. Contrairement à Nafissa, elle est issue d’une famille plutôt pauvre. “ La prostitution pour moi est une source de revenu. Mes parents sont pauvres et je suis obligée de me prendre en charge y compris mes frais d’études”, se défend-elle. La prostitution a aidé cette étudiante à réaliser ses rêves : vivre dans le bonheur. “ La prostitution m’a apporté le bonheur, donc je ne regrette pas d’offrir mon intimité au plus offrant”. Mais quel bonheur ?
Neïssa n’accorde aucune considération aux préjugés dont sont victimes les prostituées et ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. “ C’est mon corps, j’en fais comme bon me semble” lance-t-elle à qui essaie de la mettre sur le bon chemin.
À 18 ans, Tima a gagné tout dans la prostitution : voiture, bijoux, habits de luxe. Le professionnalisme de cette lycéenne terminaliste bon teint a même dépassé les frontières. Ses clients se recrutent parmi les grands commis de l’État et patrons de sociétés. Elle a même des clients à l’étranger. “ C’est une clientèle de classe et je gagne beaucoup. J’ai eu la chance de sillonner le pays et actuellement je m’apprête à gagner les pays de la sous région” confesse-t-elle.
Contrairement à la coquette Tima, Halima est une prostituée occasionnelle. Cette universitaire se prostitue que lorsqu’elle est réellement dans le besoin. “ Je ne me prostitue que quand je suis dans le besoin” dit-elle avec sourire.
Le moins qu’on puisse dire c’est que grâce à cette prostitution déguisée, la vie semble bien sourire à ces jeunes filles. Mais jusqu’à quand ?
Mariam A. TRAORÉ(L'ESSOR)
Dernière modification par Ibrahim Soukouna 15/08/2007 à 20h49
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
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Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]
Je m'excuse de le dire mais les parents ont maintenant démissionner comme le disait l'autre.
On voit maintenant des filles qui achetent elles même leurs habits, des filles qui font tout dans la famille, elles assurent la dépense quotidienne sans travailler, dans ces cas là les parents devaient demander des comptes à leurs mais helas non.
Pour vous montrer que maintenant les filles sont libres de faire ce qu'elles veulent sans même avoir peur des parents, sans se soucier de la religion alors qu'elles le devaient.
Tout ce qu'on cachait est maintenant à la vue de tous, la femme a perdu sa valeur, mais heureusement qu'il ya quelque part certaines filles qui ont la tête sur les épaules qui se respectent, pudiques et qui respectent la religion et les parents.
Dernière modification par khadijaa 15/08/2007 à 21h32
"Le vrai bonheur est au paradis, la vie n'est qu 'une épreuve"
T'as raison cousine,j'avoue j'ai un peu exagerer en disant on récolte ce que l'on sème car j'ai oublié de dire qu'il est possible qu'on cultive avec une bonne volonté et que la recolte soit détruite par une calamité(sécheresse, ou innondation) c'est à dire qu'on peut faire de notre mieux pour eduquer un enfant mais que malheuresement si sa destiné est de tomber dans le vice,qu'on soit impuissant.
Mais les calamité ça ne frappe pas les champs tous les ans.
Ce n'est pas parce qu'un enfant est tombé dans le vice malgres les éffort que les autres aussi vont faire pareil.
Donc il faut cultivé quoiqu'il arrive en priant et en ésperant beaucoup et récolter même le peut qui aura poussé car ce sera ce que Dieu nous aura destiné.
En gros fesont de notre mieux pour les enfant car même si il y aura peut être des échècs inshaAllah il y aura des réussites.
Si tu prend le chemin de je m'en fout,tu va arrivé au village de si je savais !
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Abou Hourayra rapporta que le messager d’Allah(saw) dit : »chaque dernier tiers de chaque nuit, Allah descend au ciel le plus bas et dit : Qui m’invoque afin que Je l’accueille, qui Me demande afin que je lui donne, qui M’implore pardon afin que Je lui pardonne » [Boukhari, Mouslim, Abou Daoud, An-nasaî, at -thirmidi et Ibn Majah]